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L'Institut de recherche en informatique marque de son influence les pôles de compétitivité techno-industrielle sélectionnés par le gouvernement français.
L'Institut national de recherche en informatique et en automatique (www.inria.fr) se place au cœur des "pôles de compétitivité" qui bénéficieront du soutien de l'Etat ces trois prochaines années.
Mardi 12 juillet 2005, le Premier ministre Dominique de VILLEPIN a dévoilé les noms de 67 "pôles d'excellence de la R&D française" qui se partegeront 1,5 milliard d'euros sur la période 2006-2008. Le budget a été doublé par rapport à la somme initiallement fixée.
Les pôles de compétitivité regroupent sur un espace géographique précis des entreprises, des laboratoires et des organismes de formation qui travaillent à la mise en œuvre "de projets coopératifs innovants."
Bien que certains estiment à moins de 10 le nombre de projets "pérennes" - autrement dit d'envergure internationale - sur la centaine de dossiers présentés, l'INRIA ne boude pas son plaisir. Mercredi, l'Institut s'est félicité de voir "la totalité des dossiers soutenus sélectionnés."
Les unités de recherche de l'INRIA (Futurs, Rocquencourt, Rennes, Lorraine, Rhône-Alpes, Sophia Antipolis) "sont parties prenantes dans 8 projets mondiaux ou à vocation mondiale", dans les systèmes informatiques, communications, images & réseaux, santé.
Est-ce la preuve que l'INRIA est "un atout maître" pour la France confrontée "au défi international des sciences et technologies de l'information" ?
L'Institut national de recherche en informatique et en automatique (www.inria.fr) se place au cœur des "pôles de compétitivité" qui bénéficieront du soutien de l'Etat ces trois prochaines années.
Mardi 12 juillet 2005, le Premier ministre Dominique de VILLEPIN a dévoilé les noms de 67 "pôles d'excellence de la R&D française" qui se partegeront 1,5 milliard d'euros sur la période 2006-2008. Le budget a été doublé par rapport à la somme initiallement fixée.
Les pôles de compétitivité regroupent sur un espace géographique précis des entreprises, des laboratoires et des organismes de formation qui travaillent à la mise en œuvre "de projets coopératifs innovants."
Bien que certains estiment à moins de 10 le nombre de projets "pérennes" - autrement dit d'envergure internationale - sur la centaine de dossiers présentés, l'INRIA ne boude pas son plaisir. Mercredi, l'Institut s'est félicité de voir "la totalité des dossiers soutenus sélectionnés."
Les unités de recherche de l'INRIA (Futurs, Rocquencourt, Rennes, Lorraine, Rhône-Alpes, Sophia Antipolis) "sont parties prenantes dans 8 projets mondiaux ou à vocation mondiale", dans les systèmes informatiques, communications, images & réseaux, santé.
Est-ce la preuve que l'INRIA est "un atout maître" pour la France confrontée "au défi international des sciences et technologies de l'information" ?