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Mardi 5 juillet 2005, le Mouvement des entreprises de France a élu dès le 1er tour une femme de tête à la présidence de l'organisation : Laurence Parisot.
Le Mouvement des entreprises de France (www.Medef .fr) serait-il plus prompt au changement que le gouvernement et les grandes centrales syndicales ?
Laurence PARISOT, Présidente de l'IFOP et de la société Optimum, succède à Ernest-Antoine SEILLIERE à la tête du Medef et devient ainsi "la patronne des patrons".
Mardi 5 juillet 2005, journée historique, 271 des 508 votants du mouvement réunis en assemblée générale à Paris - La Défense, ont élu Laurence PARISOT, 45 ans, à la présidence du Medef pour les 5 années à venir.
A cette occasion, l'élue a déclaré : "Vous m'avez choisie pour présider notre Mouvement qui en choisissant de porter une femme à sa tête indique à la France entière l'esprit de modernité qui anime ses entreprises."
La pilule est difficile à avaler pour les candidats déçus, Yvon JACOB, président du conseil de surveillance de Legris Industrie et de la Fédération des industries mécaniques, Hugues-Arnaud MAYER, président d'Abeil SA et du MEDEF Auvergne.
Quoi qu'il en soit, le programme présenté par Madame PARISOT a de quoi séduire les sceptiques. Parmi ses engagements :
"Mettre l'organisation au travail, au service d'un intérêt économique et social commun, d'une démocratie renforcée ; Faire aimer l'économie ; Concentrer les efforts du Mouvement sur la petite et moyenne entreprise ; Ouvrir le Medef à la société civile toute entière". Prometteur ?
Laurence PARISOT a insisté : "Le Medef prendra part pleinement à la définition des orientations stratégiques des pôles d'excellence et de compétitivité, encouragera les clusters, favorisera les mobilisations autour des technologies clés, soutiendra les pouvoirs publics dans leurs initiatives en faveur de l'innovation industrielle.",
Pour conclure le Medef "sera le lobbyiste du plan d'action de Lisbonne", à savoir faire de l'Europe l'économie de la connaissance la plus compétitive au monde d'ici à 2010. "Nous sommes en retard sur l'agenda, chacun le sait, raison de plus : hâtons nous !", a insisté Laurence PARISOT. La France va-t-elle enfin sortir de la déprime ?
Le Mouvement des entreprises de France (www.Medef .fr) serait-il plus prompt au changement que le gouvernement et les grandes centrales syndicales ?
Laurence PARISOT, Présidente de l'IFOP et de la société Optimum, succède à Ernest-Antoine SEILLIERE à la tête du Medef et devient ainsi "la patronne des patrons".
Mardi 5 juillet 2005, journée historique, 271 des 508 votants du mouvement réunis en assemblée générale à Paris - La Défense, ont élu Laurence PARISOT, 45 ans, à la présidence du Medef pour les 5 années à venir.
A cette occasion, l'élue a déclaré : "Vous m'avez choisie pour présider notre Mouvement qui en choisissant de porter une femme à sa tête indique à la France entière l'esprit de modernité qui anime ses entreprises."
La pilule est difficile à avaler pour les candidats déçus, Yvon JACOB, président du conseil de surveillance de Legris Industrie et de la Fédération des industries mécaniques, Hugues-Arnaud MAYER, président d'Abeil SA et du MEDEF Auvergne.
Quoi qu'il en soit, le programme présenté par Madame PARISOT a de quoi séduire les sceptiques. Parmi ses engagements :
"Mettre l'organisation au travail, au service d'un intérêt économique et social commun, d'une démocratie renforcée ; Faire aimer l'économie ; Concentrer les efforts du Mouvement sur la petite et moyenne entreprise ; Ouvrir le Medef à la société civile toute entière". Prometteur ?
Laurence PARISOT a insisté : "Le Medef prendra part pleinement à la définition des orientations stratégiques des pôles d'excellence et de compétitivité, encouragera les clusters, favorisera les mobilisations autour des technologies clés, soutiendra les pouvoirs publics dans leurs initiatives en faveur de l'innovation industrielle.",
Pour conclure le Medef "sera le lobbyiste du plan d'action de Lisbonne", à savoir faire de l'Europe l'économie de la connaissance la plus compétitive au monde d'ici à 2010. "Nous sommes en retard sur l'agenda, chacun le sait, raison de plus : hâtons nous !", a insisté Laurence PARISOT. La France va-t-elle enfin sortir de la déprime ?
