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Accusé par d'abus de position dominante, Microsoft versera 775 millions de dollars au groupe informatique et lui fournira pour 75 M$ de logiciels.
En bisbille depuis plusieurs années, les deux poids lourds américains de l'informatique pro Microsoft et IBM, sont parvenus à un accord qui vaut de l'or.
Je t'aime moi non plus ? Accusé d'abus de position dominante par IBM dans les années 1990, le numéro un mondial du logiciel versera 775 millions de dollars au groupe informatique et lui fournira pour 75 millions de dollars de logiciels.
En contrepartie, IBM clôt le différend concernant les pratiques commerciales de Microsoft dans le domaine des systèmes d'exploitation et des suites bureautiques professionnelles. En revanche, Big Blue n'abandonne pas ses griefs à propos des pratiques de Microsoft sur le marché des logiciels pour serveurs.
La firme co-fondée par Bill GATES, architecte en chef du groupe, tente depuis 5 ou 6 ans de trouver un terrain d'entente hors tribunaux avec ses concurrents. Les procès sont interminables, coûtent très chers, entament la croissance de Microsoft.
L'éditeur a fait ses calculs et intégré la douloureuse à sa comptabilité :
En 2003, Microsoft a versé 750 M$ à AOL pour clore l'affaire du navigateur web Netscape. L'année suivante, 2 milliards de dollars ont été versés à Sun, 536 M$ à l'éditeur open source . A la même période, la Commission européenne a infligé à Microsoft une amende de 497 M€.
Au printemps 2005, enfin, Microsoft a signalé verser 60 M$ à Burst.com dans une affaire de brevets, mais également 150 M$ sur 4 ans au fabricant de PC Gateway...
Seul RealNetworks refuse à ce jour, de négocier un accord amiable avec Microsoft.
En bisbille depuis plusieurs années, les deux poids lourds américains de l'informatique pro Microsoft et IBM, sont parvenus à un accord qui vaut de l'or.
Je t'aime moi non plus ? Accusé d'abus de position dominante par IBM dans les années 1990, le numéro un mondial du logiciel versera 775 millions de dollars au groupe informatique et lui fournira pour 75 millions de dollars de logiciels.
En contrepartie, IBM clôt le différend concernant les pratiques commerciales de Microsoft dans le domaine des systèmes d'exploitation et des suites bureautiques professionnelles. En revanche, Big Blue n'abandonne pas ses griefs à propos des pratiques de Microsoft sur le marché des logiciels pour serveurs.
La firme co-fondée par Bill GATES, architecte en chef du groupe, tente depuis 5 ou 6 ans de trouver un terrain d'entente hors tribunaux avec ses concurrents. Les procès sont interminables, coûtent très chers, entament la croissance de Microsoft.
L'éditeur a fait ses calculs et intégré la douloureuse à sa comptabilité :
En 2003, Microsoft a versé 750 M$ à AOL pour clore l'affaire du navigateur web Netscape. L'année suivante, 2 milliards de dollars ont été versés à Sun, 536 M$ à l'éditeur open source . A la même période, la Commission européenne a infligé à Microsoft une amende de 497 M€.
Au printemps 2005, enfin, Microsoft a signalé verser 60 M$ à Burst.com dans une affaire de brevets, mais également 150 M$ sur 4 ans au fabricant de PC Gateway...
Seul RealNetworks refuse à ce jour, de négocier un accord amiable avec Microsoft.
