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En campagne contre l'usage de composants électroniques toxiques, l'organisation écologiste a déposé un chargement de déchets devant le siège européen d'HP.
Greenpeace s'attaque aux 'géants électroniques toxiques'.
A travers une nouvelle opération médiatique lancée lundi, l'organisation écologiste espère limiter les comportements jugés "irresponsables" des fabricants de matériel électronique et informatique, à l'égard de l'environnement.
Greenpeace s'adresse plus particulièrement au groupe informatique américain HP (Hewlett Packard) qu'elle désigne du nom d'oiseau : "toxic tech". L'association lui reproche d'équiper ses PC de composants toxiques.
Pour faire passer le message, 15 militants de Greenpeace ont déposé aux portes du siège européen de HP, à Meyrin en Suisse, un chargement de déchets électroniques.
"Les fabricants de matériel comme HP génèrent un nouveau flux de déchets dangereux. Chaque heure, 4000 tonnes de déchets électroniques toxiques sont déchargés", a déclaré à cette occasion Kevin MAY de Greenpeace Chine.
Il a ajouté : "Si les appareils électroniques ne deviennent pas propres et ne peuvent être recyclés en fin de vie, la planète va devenir une poubelle".
Par ailleurs, dans un communiqué daté du 25 mai 2005, Greenpeace souligne que les ouvriers des sites de production et de démolition, notamment en Asie, "sont menacés d'intoxication parce que téléphones mobiles, ordinateurs et autres terminaux sont équipés de composants toxiques".
Plus positif : L'organisation note que des entreprises comme "Nokia, Samsung et Sony Ericsson ont fait un premier pas en éliminant les retardateurs de flammes bromés et le PVC de certains de leurs produits".
A l'inverse, "Apple, , Fujitsu-Siemens, HP, , LG, , Panasonic et Toshiba n'ont encore pris aucun engagement", affirme Greenpeace.
Organisation mondiale à but non lucratif, Greenpeace déclare refuser les dons des gouvernements et des entreprises afin de garder "son indépendance".
Greenpeace s'attaque aux 'géants électroniques toxiques'.
A travers une nouvelle opération médiatique lancée lundi, l'organisation écologiste espère limiter les comportements jugés "irresponsables" des fabricants de matériel électronique et informatique, à l'égard de l'environnement.
Greenpeace s'adresse plus particulièrement au groupe informatique américain HP (Hewlett Packard) qu'elle désigne du nom d'oiseau : "toxic tech". L'association lui reproche d'équiper ses PC de composants toxiques.
Pour faire passer le message, 15 militants de Greenpeace ont déposé aux portes du siège européen de HP, à Meyrin en Suisse, un chargement de déchets électroniques.
"Les fabricants de matériel comme HP génèrent un nouveau flux de déchets dangereux. Chaque heure, 4000 tonnes de déchets électroniques toxiques sont déchargés", a déclaré à cette occasion Kevin MAY de Greenpeace Chine.
Il a ajouté : "Si les appareils électroniques ne deviennent pas propres et ne peuvent être recyclés en fin de vie, la planète va devenir une poubelle".
Par ailleurs, dans un communiqué daté du 25 mai 2005, Greenpeace souligne que les ouvriers des sites de production et de démolition, notamment en Asie, "sont menacés d'intoxication parce que téléphones mobiles, ordinateurs et autres terminaux sont équipés de composants toxiques".
Plus positif : L'organisation note que des entreprises comme "Nokia, Samsung et Sony Ericsson ont fait un premier pas en éliminant les retardateurs de flammes bromés et le PVC de certains de leurs produits".
A l'inverse, "Apple, , Fujitsu-Siemens, HP, , LG, , Panasonic et Toshiba n'ont encore pris aucun engagement", affirme Greenpeace.
Organisation mondiale à but non lucratif, Greenpeace déclare refuser les dons des gouvernements et des entreprises afin de garder "son indépendance".