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Le Conseil supérieur de l'audiovisuel invite les professionnels à préciser leurs projets et leurs attentes en matière de diffusion numérique de la radio.
Alors que le DAB (Digital Audio Broadcasting) dynamise le marché britannique depuis bientôt 5 ans, la France s'interroge encore sur son potentiel.
Cette technologie de radiodiffusion numérique a été développée par Eureka 147 consortium international regroupant diffuseurs, équipementiers réseaux, constructeurs et centres de recherche (http://www.worlddab.org/eureka.aspx).
Le DAB permet de transmettre et de recevoir sur récepteur compatible des sons en MPEG audio ainsi que des données associées aux programmes diffusés (textes, images et séquences vidéo).
Par rapport à la diffusion radio analogique en FM - appelée à disparaître, on gagne : une qualité audio proche du CD, un nombre plus important de stations, un réseau à fréquence unique, une meilleure réception en usage nomade.
Doucement mais sûrement ?
"Afin de connaître les projets et les attentes des acteurs du marché", le Conseil supérieur de l'audiovisuel (www.csa.fr) a ouvert le 26 avril 2005 une consultation publique sur cette fameuse diffusion numérique de la radio.
Un questionnaire est proposé aux éditeurs de services, distributeurs, prestataires, diffuseurs, constructeurs électroniques... Leurs réponses doivent être transmises au CSA avant le 30 juin prochain (www.csa.fr/actualite/decisions/decisions_detail.php?id=25162).
Bonne nouvelle, cette consultation pourrait précéder "le lancement d'éventuelles procédures d'appel aux candidatures". C'est pas trop tôt !
La France qui s'enorgueillit d'être un des pays européens les plus avancés en terme de haut débit multiservices (Net/TV numérique/Tel sur IP) a tout à gagner à assurer le succès commercial du DAB sur son territoire.
Selon Ian DICKENS, Directeur du DRDB (www.drdb.org), au Royaume-Uni plus de 1,2 million de récepteurs radio numérique (Arcam, Clarion, Harman-Kardon, Pure, Sony, TAGMcLaren, etc.) ont été vendus ces cinq dernières années. En valeur, le marché britannique du DAB aurait atteint 87 millions de livres en 2004.
Alors que le DAB (Digital Audio Broadcasting) dynamise le marché britannique depuis bientôt 5 ans, la France s'interroge encore sur son potentiel.
Cette technologie de radiodiffusion numérique a été développée par Eureka 147 consortium international regroupant diffuseurs, équipementiers réseaux, constructeurs et centres de recherche (http://www.worlddab.org/eureka.aspx).
Le DAB permet de transmettre et de recevoir sur récepteur compatible des sons en MPEG audio ainsi que des données associées aux programmes diffusés (textes, images et séquences vidéo).
Par rapport à la diffusion radio analogique en FM - appelée à disparaître, on gagne : une qualité audio proche du CD, un nombre plus important de stations, un réseau à fréquence unique, une meilleure réception en usage nomade.
Doucement mais sûrement ?
"Afin de connaître les projets et les attentes des acteurs du marché", le Conseil supérieur de l'audiovisuel (www.csa.fr) a ouvert le 26 avril 2005 une consultation publique sur cette fameuse diffusion numérique de la radio.
Un questionnaire est proposé aux éditeurs de services, distributeurs, prestataires, diffuseurs, constructeurs électroniques... Leurs réponses doivent être transmises au CSA avant le 30 juin prochain (www.csa.fr/actualite/decisions/decisions_detail.php?id=25162).
Bonne nouvelle, cette consultation pourrait précéder "le lancement d'éventuelles procédures d'appel aux candidatures". C'est pas trop tôt !
La France qui s'enorgueillit d'être un des pays européens les plus avancés en terme de haut débit multiservices (Net/TV numérique/Tel sur IP) a tout à gagner à assurer le succès commercial du DAB sur son territoire.
Selon Ian DICKENS, Directeur du DRDB (www.drdb.org), au Royaume-Uni plus de 1,2 million de récepteurs radio numérique (Arcam, Clarion, Harman-Kardon, Pure, Sony, TAGMcLaren, etc.) ont été vendus ces cinq dernières années. En valeur, le marché britannique du DAB aurait atteint 87 millions de livres en 2004.