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Une étude commandée par le groupe informatique HP fait état de la progression de "l'infomania" ou dépendance à l'email et aux messages instantanés (IM).
L'attention constante portée aux messageries électroniques, instantanées, mobiles, serait plus nocive aux performances intellectuelles des travailleurs que de fumer de la marijuana...
Cette conclusion émane d'une étude réalisée par le professeur Glenn WILSON (Institut psychiatrique Londres - www.iop.kcl.ac.uk) pour le compte de la filiale britannique du groupe informatique américain Hewlett-Packard.
Les travailleurs de l'ère numérique seraient de plus en plus nombreux à répondre sur-le-champ aux messages instantanés reçus, aux e-mails, aux SMS et autres communications mobiles pros et persos.
L'étude réalisée en mars 2005 au Royaume-Uni auprès d'un échantillon "représentatif" de 1.100 actifs, montre que 62% d'entre eux vérifient très régulièrement leurs messageries hors bureau, du domicile au lieu de vacances.
Par ailleurs, la moitié du panel affirme réagir dans l'instant ou dans l'heure à un e-mail. Cerise sur le gâteau, une personne sur cinq se déclare "ravie" d'interrompre une mission, un entretien ou une réunion, pour le faire.
Les travailleurs "constamment distraits" par les e-mails et les appels téléphoniques perdraient un moment 10 points sur leur QI, soit deux fois plus que s'ils avaient fumé de la marijuana !
"C'est un phénomène qui prend de l'ampleur, a déclaré Glenn WILSON à HP, l'infomania si elle n'est pas freinée, joue négativement sur les performances des travailleurs”.
Bien entendu les technologies de l'information et de la communication, Internet en tête, soutiennent la croissance et la flexibilité. Les sociétés comme HP sont amenées à fournir PC portables, assistants numériques et autres mobiles 3G à leurs ouailles afin de leur permettre de travailler en mode nomade.
Revers de la médaille : l'attention des professionnels peut être constamment détournée de l'activité en cours. Devenus "Infomaniaques", ils font un usage intensif des technologies mobiles sans craindre les effets secondaires : ras le bol des proches, perte de sommeil, baisse des capacités intellectuelles et de la réactivité.
L'attention constante portée aux messageries électroniques, instantanées, mobiles, serait plus nocive aux performances intellectuelles des travailleurs que de fumer de la marijuana...
Cette conclusion émane d'une étude réalisée par le professeur Glenn WILSON (Institut psychiatrique Londres - www.iop.kcl.ac.uk) pour le compte de la filiale britannique du groupe informatique américain Hewlett-Packard.
Les travailleurs de l'ère numérique seraient de plus en plus nombreux à répondre sur-le-champ aux messages instantanés reçus, aux e-mails, aux SMS et autres communications mobiles pros et persos.
L'étude réalisée en mars 2005 au Royaume-Uni auprès d'un échantillon "représentatif" de 1.100 actifs, montre que 62% d'entre eux vérifient très régulièrement leurs messageries hors bureau, du domicile au lieu de vacances.
Par ailleurs, la moitié du panel affirme réagir dans l'instant ou dans l'heure à un e-mail. Cerise sur le gâteau, une personne sur cinq se déclare "ravie" d'interrompre une mission, un entretien ou une réunion, pour le faire.
Les travailleurs "constamment distraits" par les e-mails et les appels téléphoniques perdraient un moment 10 points sur leur QI, soit deux fois plus que s'ils avaient fumé de la marijuana !
"C'est un phénomène qui prend de l'ampleur, a déclaré Glenn WILSON à HP, l'infomania si elle n'est pas freinée, joue négativement sur les performances des travailleurs”.
Bien entendu les technologies de l'information et de la communication, Internet en tête, soutiennent la croissance et la flexibilité. Les sociétés comme HP sont amenées à fournir PC portables, assistants numériques et autres mobiles 3G à leurs ouailles afin de leur permettre de travailler en mode nomade.
Revers de la médaille : l'attention des professionnels peut être constamment détournée de l'activité en cours. Devenus "Infomaniaques", ils font un usage intensif des technologies mobiles sans craindre les effets secondaires : ras le bol des proches, perte de sommeil, baisse des capacités intellectuelles et de la réactivité.
