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D'après le Wall Street Journal, l'autorité européenne pourrait déterminer mi-avril 2005 s'il convient de suspendre ou d'alourdir l'amende imposée à Microsoft.
Décidément le courant ne passe pas entre Bruxelles et Microsoft !
Selon le Wall Street Journal, la Commission européenne pourrait infliger une astreinte de 3,8 millions d'euros par jour au numéro un mondial du logiciel si celui-ci persiste à freiner la mise en œuvre des mesures correctives imposées l'an dernier.
Après une enquête "antitrust" de quatre années, l'autorité européenne a exigé en mars 2004 que l'éditeur américain commercialise une version de Windows sans Windows Media Player et fournisse certaines informations clés à ses concurrents.
Par ailleurs, jugeant "anti-concurrentielles" certaines pratiques commerciales de l'éditeur (www.microsoft.com), l'autorité européenne (http://europa.eu.int/) lui a infligé une amende de 497 millions d'euros.
Dans un premier temps, Microsoft a fait appel de cette décision afin de bloquer la sanction financière. Dans un second temps, début 2005, l'éditeur s'est engagé à commercialiser une version "allégée" de Windows et à permettre à la concurrence "serveurs" de fonctionner.
Plusieurs expérimentations ont été réalisées depuis, sans convaincre Bruxelles. La Commission a "de sérieux doutes" et trouve "inacceptable" la proposition de l'éditeur visant à limiter la marge de manœuvre de l'expert indépendant chargé du dossier.
Néanmoins, Jonathan TODD, porte-parole de Neelie CROES, commissaire européenne à la concurrence, a déclaré le 21 mars 2005 : "Nous sommes persuadés que Microsoft va prendre les mesures nécessaires".
D'après le Wall Street Journal, l'autorité européenne pourrait déterminer mi-avril 2005 s'il convient de suspendre ou d'alourdir la sanction imposée à Microsoft.
Décidément le courant ne passe pas entre Bruxelles et Microsoft !
Selon le Wall Street Journal, la Commission européenne pourrait infliger une astreinte de 3,8 millions d'euros par jour au numéro un mondial du logiciel si celui-ci persiste à freiner la mise en œuvre des mesures correctives imposées l'an dernier.
Après une enquête "antitrust" de quatre années, l'autorité européenne a exigé en mars 2004 que l'éditeur américain commercialise une version de Windows sans Windows Media Player et fournisse certaines informations clés à ses concurrents.
Par ailleurs, jugeant "anti-concurrentielles" certaines pratiques commerciales de l'éditeur (www.microsoft.com), l'autorité européenne (http://europa.eu.int/) lui a infligé une amende de 497 millions d'euros.
Dans un premier temps, Microsoft a fait appel de cette décision afin de bloquer la sanction financière. Dans un second temps, début 2005, l'éditeur s'est engagé à commercialiser une version "allégée" de Windows et à permettre à la concurrence "serveurs" de fonctionner.
Plusieurs expérimentations ont été réalisées depuis, sans convaincre Bruxelles. La Commission a "de sérieux doutes" et trouve "inacceptable" la proposition de l'éditeur visant à limiter la marge de manœuvre de l'expert indépendant chargé du dossier.
Néanmoins, Jonathan TODD, porte-parole de Neelie CROES, commissaire européenne à la concurrence, a déclaré le 21 mars 2005 : "Nous sommes persuadés que Microsoft va prendre les mesures nécessaires".
D'après le Wall Street Journal, l'autorité européenne pourrait déterminer mi-avril 2005 s'il convient de suspendre ou d'alourdir la sanction imposée à Microsoft.