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Lors de l'inauguration du FMSN lundi à Genève, le ministre français des affaires étrangères a annoncé le versement d'une contribution de 300.000 euros.
Malgré les réticences de la Banque mondiale, le "Fonds mondial pour la solidarité numérique" (FMSN) a été officiellement lancé le 14 mars 2005 depuis la Suisse.
Proposé lors de la phase I du Sommet mondial sur la société de l'information (décembre 2003 Genève) par le Président sénégalais Abdoulaye WADE, le Fonds va soutenir le développement technologique des pays pauvres et, par extension, limiter le fossé numérique.
Lundi, la conseillère fédérale suisse Micheline CALMY-REY a précisé que le Fonds allait être alimenté par les collectivités qui le souhaitent, à hauteur de 1% du montant des contrats publics conclus dans le domaine des TIC. En outre, le succès du FMSN implique Etats, collectivités locales, secteur privé et société civile.
La Suisse qui héberge le bureau chargé de récolter le Fonds, l'Algérie, le Maroc et le Nigeria ont d'ores et déjà confirmé leur participation au FMSN. La France également.
Présent à Genève, le ministre français des affaires étrangères a annoncé le versement d'une première contribution de 300.000 euros. Par ailleurs, Michel BARNIER a signalé souhaiter que cette initiative soit associée au projet Aden (Appui au désenclavement numérique de l'Afrique).
La phase II du SMSI (novembre 2005 Tunis) sous l'égide de l'ONU doit concrétiser la déclaration de principes en faveur du développement de la société de l'information pour tous adoptée en 2003 (www.itu.int/wsis/).
Malgré les réticences de la Banque mondiale, le "Fonds mondial pour la solidarité numérique" (FMSN) a été officiellement lancé le 14 mars 2005 depuis la Suisse.
Proposé lors de la phase I du Sommet mondial sur la société de l'information (décembre 2003 Genève) par le Président sénégalais Abdoulaye WADE, le Fonds va soutenir le développement technologique des pays pauvres et, par extension, limiter le fossé numérique.
Lundi, la conseillère fédérale suisse Micheline CALMY-REY a précisé que le Fonds allait être alimenté par les collectivités qui le souhaitent, à hauteur de 1% du montant des contrats publics conclus dans le domaine des TIC. En outre, le succès du FMSN implique Etats, collectivités locales, secteur privé et société civile.
La Suisse qui héberge le bureau chargé de récolter le Fonds, l'Algérie, le Maroc et le Nigeria ont d'ores et déjà confirmé leur participation au FMSN. La France également.
Présent à Genève, le ministre français des affaires étrangères a annoncé le versement d'une première contribution de 300.000 euros. Par ailleurs, Michel BARNIER a signalé souhaiter que cette initiative soit associée au projet Aden (Appui au désenclavement numérique de l'Afrique).
La phase II du SMSI (novembre 2005 Tunis) sous l'égide de l'ONU doit concrétiser la déclaration de principes en faveur du développement de la société de l'information pour tous adoptée en 2003 (www.itu.int/wsis/).
