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Le groupe annonce un chiffre d'affaires annuel de 47.2 milliards d'euros, tiré par le succès de l'ADSL et de la téléphonie mobile.
La crise est terminée chez l'opérateur historique français. A l'occasion de la publication de ses résultats financiers, le groupe a fait état d'un chiffre d'affaires consolidé de 47.2 milliards d'euros, en hausse de 4.1% (pro forma) ou 2.2% (historique).
Forte de plus de 63.3 millions de clients, l'activité téléphonie mobile est en hausse de 10% mais la progression la plus spectaculaire vient du haut débit, dont le chiffre d'affaire progresse de plus de 88% en un an. Opérateur historique, FT profite des 6.3 millions d'abonnés ADSL en France et revendique pour sa part 5.1 millions d'abonnés ADSL à travers l'Europe dont 260.000 utilisateurs de son boîtier multiservices LiveBox.
Le lancement de nouvelles offres sur le marché résidentiel comme "MaLigneTV" (75.000 clients) ou des options de téléphonie illimitée (617 000 clients) semblent avoir limité le recul de la téléphonie fixe à seulement 0.3%. Après deux années de réorganisation et malgré l'intensification de la concurrence, le groupe est ainsi en mesure d'annoncer un REAA de 18.3 Md€ (+7.4%) et un résultat d'exploitation de 10.8 Md€ (+12.4%). Après deux années d'effort, le groupe ralentit son désendettement qui s'élève encore à 43.9 Md€ et a décidé de distribuer un dividende de 0.48 € par action.
Thierry Breton, Président-Directeur général de France Télécom, a déclaré : " France Télécom a pleinement rempli en 2004 les objectifs sur lesquels nous nous étions engagés dès la fin de l'année 2002 dans le cadre du plan Ambition FT 2005 visant à conjuguer croissance, gestion rigoureuse, désendettement et dynamisme opérationnel. Les résultats enregistrés en 2004 nous permettent ainsi d'améliorer notre structure financière, tout en concentrant notre effort sur l'innovation qui constitue le moteur de notre stratégie et de lancer avec succès une gamme de produits et services allant au devant des besoins de nos clients. L'année 2005 marquera une accélération de la stratégie de France Télécom en tant qu`opérateur intégré. La poursuite active de notre politique de désendettement ainsi que l'amélioration constante de nos fondamentaux opérationnels, permettent à France Télécom de s'engager avec confiance dans une nouvelle phase de son développement. "
Tout en se désengageant des , le groupe France Telecom a racheté les minoritaires de ses filiales Wanadoo, Orange et Equant afin de bâtir une stratégie "d'opérateur intégré", présent sur les marchés résidentiels, personnels et entreprise. Tout en poursuivant sa politique d'investissement dans la 3G, la téléphonie IP ou encore la télévision, le groupe pourrait profiter de l'année 2005 pour reprendre sa croissance à l'international afin de tenir tête aux géants NTT, Deutsche Telekom, Vodafone mais également à l'ambitieux groupe américain SBC, qui vient de racheter AT&T.
La crise est terminée chez l'opérateur historique français. A l'occasion de la publication de ses résultats financiers, le groupe a fait état d'un chiffre d'affaires consolidé de 47.2 milliards d'euros, en hausse de 4.1% (pro forma) ou 2.2% (historique).
Forte de plus de 63.3 millions de clients, l'activité téléphonie mobile est en hausse de 10% mais la progression la plus spectaculaire vient du haut débit, dont le chiffre d'affaire progresse de plus de 88% en un an. Opérateur historique, FT profite des 6.3 millions d'abonnés ADSL en France et revendique pour sa part 5.1 millions d'abonnés ADSL à travers l'Europe dont 260.000 utilisateurs de son boîtier multiservices LiveBox.
Le lancement de nouvelles offres sur le marché résidentiel comme "MaLigneTV" (75.000 clients) ou des options de téléphonie illimitée (617 000 clients) semblent avoir limité le recul de la téléphonie fixe à seulement 0.3%. Après deux années de réorganisation et malgré l'intensification de la concurrence, le groupe est ainsi en mesure d'annoncer un REAA de 18.3 Md€ (+7.4%) et un résultat d'exploitation de 10.8 Md€ (+12.4%). Après deux années d'effort, le groupe ralentit son désendettement qui s'élève encore à 43.9 Md€ et a décidé de distribuer un dividende de 0.48 € par action.
Thierry Breton, Président-Directeur général de France Télécom, a déclaré : " France Télécom a pleinement rempli en 2004 les objectifs sur lesquels nous nous étions engagés dès la fin de l'année 2002 dans le cadre du plan Ambition FT 2005 visant à conjuguer croissance, gestion rigoureuse, désendettement et dynamisme opérationnel. Les résultats enregistrés en 2004 nous permettent ainsi d'améliorer notre structure financière, tout en concentrant notre effort sur l'innovation qui constitue le moteur de notre stratégie et de lancer avec succès une gamme de produits et services allant au devant des besoins de nos clients. L'année 2005 marquera une accélération de la stratégie de France Télécom en tant qu`opérateur intégré. La poursuite active de notre politique de désendettement ainsi que l'amélioration constante de nos fondamentaux opérationnels, permettent à France Télécom de s'engager avec confiance dans une nouvelle phase de son développement. "
Tout en se désengageant des , le groupe France Telecom a racheté les minoritaires de ses filiales Wanadoo, Orange et Equant afin de bâtir une stratégie "d'opérateur intégré", présent sur les marchés résidentiels, personnels et entreprise. Tout en poursuivant sa politique d'investissement dans la 3G, la téléphonie IP ou encore la télévision, le groupe pourrait profiter de l'année 2005 pour reprendre sa croissance à l'international afin de tenir tête aux géants NTT, Deutsche Telekom, Vodafone mais également à l'ambitieux groupe américain SBC, qui vient de racheter AT&T.
