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Après !, c'est au tour de Google d'affronter une problématique éthique liée aux contenus hébergés à travers le réseau social Orkut.com.
Après le dossier des objets nazis sur Yahoo!, Google affronte une problématique sensible liée aux contenus hébergés.
Depuis près d'un an, le plus dynamique des moteurs de recherche sur le Net (www.google.com) administre un site web communautaire Orkut (www.orkut.com) très populaire au Brésil.
A la fois forum de discussions et réseau social accessible aux membres identifiés par un nom d'utilisateur et un mot de passe, Orkut est aujourd'hui sous le feu médiatique.
Suspecté d'avoir hébergé des contenus incitant à la haine raciale à travers certains de ses espaces de discussion, Orkput fait l'objet d'une enquête ouverte fin janvier 2005 par un procureur de Sao Paulo, selon le New York Times.
La justice brésilienne s'intéresse plus particulièrement à deux forums créés sur Orkut par un internaute lusophone invitant le visiteur à "décharger toute sa furie" contre l'autre qu'il soit noir, arabe ou juif. Les enquêteurs s'intéressent également à des diatribes contre les homosexuels et à des contenus anglophones à caractère xénophobe.
Il revient aux enquêteurs de déterminer si le site a bafoué la législation brésilienne contre les crimes et délits en hébergeant ces contenus. Par ailleurs, Orkput étant affilié à Google, la société américaine pourrait faire l'objet d'un procès civil pour n'avoir pas pris les "mesures de précaution" adaptées.
Les auteurs sont-ils responsables des contenus qu'ils rédigent et diffusent par le biais d'Internet ? Cette responsabilité incombe-t-elle aux sites qui hébergent ces contenus ? Doit-on balayer le principe de libre expression du web ?
Une porte parole de Google aurait fait savoir à la presse que "des millions" d'internautes sont membres d'Orkut et que ces agissements contraires à l'éthique du site, sont le fait d'une minorité.
La 'charte' d'Orkut.com précise : "Un compte ouvert sur ce site ne peut contenir ou diffuser de contenus haineux ou insultant basés sur l'origine ethnique, la nationalité, la religion, le sexe, l'orientation sexuelle."
Après le dossier des objets nazis sur Yahoo!, Google affronte une problématique sensible liée aux contenus hébergés.
Depuis près d'un an, le plus dynamique des moteurs de recherche sur le Net (www.google.com) administre un site web communautaire Orkut (www.orkut.com) très populaire au Brésil.
A la fois forum de discussions et réseau social accessible aux membres identifiés par un nom d'utilisateur et un mot de passe, Orkut est aujourd'hui sous le feu médiatique.
Suspecté d'avoir hébergé des contenus incitant à la haine raciale à travers certains de ses espaces de discussion, Orkput fait l'objet d'une enquête ouverte fin janvier 2005 par un procureur de Sao Paulo, selon le New York Times.
La justice brésilienne s'intéresse plus particulièrement à deux forums créés sur Orkut par un internaute lusophone invitant le visiteur à "décharger toute sa furie" contre l'autre qu'il soit noir, arabe ou juif. Les enquêteurs s'intéressent également à des diatribes contre les homosexuels et à des contenus anglophones à caractère xénophobe.
Il revient aux enquêteurs de déterminer si le site a bafoué la législation brésilienne contre les crimes et délits en hébergeant ces contenus. Par ailleurs, Orkput étant affilié à Google, la société américaine pourrait faire l'objet d'un procès civil pour n'avoir pas pris les "mesures de précaution" adaptées.
Les auteurs sont-ils responsables des contenus qu'ils rédigent et diffusent par le biais d'Internet ? Cette responsabilité incombe-t-elle aux sites qui hébergent ces contenus ? Doit-on balayer le principe de libre expression du web ?
Une porte parole de Google aurait fait savoir à la presse que "des millions" d'internautes sont membres d'Orkut et que ces agissements contraires à l'éthique du site, sont le fait d'une minorité.
La 'charte' d'Orkut.com précise : "Un compte ouvert sur ce site ne peut contenir ou diffuser de contenus haineux ou insultant basés sur l'origine ethnique, la nationalité, la religion, le sexe, l'orientation sexuelle."