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Le raz de marée qui a frappé l'Asie du Sud Est le 26 décembre dernier a entraîné un afflux de dons effectués sur Internet auprès d'organisations caritatives.
Le raz de marée d'origine sismique ("tsunami" en japonais) qui a frappé l'Asie du Sud Est le 26 décembre 2004 et fait environ 150 000 victimes, a entraîné un afflux sans précédent de dons effectués sur Internet auprès d'organisations caritatives.
Les Etats-Unis comptent parmi les premiers pays à avoir mis en ligne des appels à l'aide d'urgence sur les sites institutionnels, les sites non gouvernementaux, et ceux de multinationales telles que Amazon et . Microsoft, numéro un mondial de l'édition de logiciels, a débloqué 3,5 millions de dollars pour porter secours aux victimes du raz de marée.
Comme de nombreux pays européens, la France n'a pas tardé à réagir. Pour soutenir les populations sinistrées et les victimes françaises, le gouvernement a mis en oeuvre "un dispositif d'aide humanitaire, logistique et médicale".
Les entreprises des télécoms participent au mouvement : Les trois opérateurs mobiles français, Orange (France Télécom), SFR (groupe Cegetel) et Bouygues Telecom, ont lancé une opération de soutien par SMS. L'équipementier télécoms Alcatel a débloqué 1 million de dollars, le groupe Cegetel a effectué un don de 500 000 euros destiné à plusieurs associations.
Quant à la presse en ligne, elle propose depuis plus d'une semaine des liens vers les organisations telles que la Croix-Rouge et l'UNICEF (www.unicef.asso.fr)
Selon Libération, le Secours catholique (www.secours-catholique.asso.fr) aurait enregistré ces deux derniers jours 3000 dons en ligne d'une valeur moyenne de 150 euros chacun.
La Croix-Rouge française a annoncé avoir récolté plus d'un million d'euros (www.croix-rouge.fr). Médecins sans frontières (www.msf.fr) a signalé avoir reçu par le biais d'Internet plus de 15 millions d'euros, dont 800 000 en France.
A ces dons en ligne effectués par carte bancaire viennent s'ajouter les dons par chèques bancaires. Médecins du monde (www.medecinsdumonde.org) note que parmi les donateurs se trouvent une majorité d'actifs appartenant aux catégories socioprofessionnelles supérieures.
Bien que ces dons puissent faire l'objet d'une déduction d'impôt en France, c'est avant tout la médiatisation de la catastrophe, ses répercussions internationales et l'émotion qu'elle suscite, qui ont influencé cette dynamique.
Quoi qu'il en soit malgré les aides publiques et les nombreux dons reçus par les ONG, la coordination et l'efficacité de l'aide internationale aux victimes du tsunami restent difficiles à mettre en œuvre.
Le raz de marée d'origine sismique ("tsunami" en japonais) qui a frappé l'Asie du Sud Est le 26 décembre 2004 et fait environ 150 000 victimes, a entraîné un afflux sans précédent de dons effectués sur Internet auprès d'organisations caritatives.
Les Etats-Unis comptent parmi les premiers pays à avoir mis en ligne des appels à l'aide d'urgence sur les sites institutionnels, les sites non gouvernementaux, et ceux de multinationales telles que Amazon et . Microsoft, numéro un mondial de l'édition de logiciels, a débloqué 3,5 millions de dollars pour porter secours aux victimes du raz de marée.
Comme de nombreux pays européens, la France n'a pas tardé à réagir. Pour soutenir les populations sinistrées et les victimes françaises, le gouvernement a mis en oeuvre "un dispositif d'aide humanitaire, logistique et médicale".
Les entreprises des télécoms participent au mouvement : Les trois opérateurs mobiles français, Orange (France Télécom), SFR (groupe Cegetel) et Bouygues Telecom, ont lancé une opération de soutien par SMS. L'équipementier télécoms Alcatel a débloqué 1 million de dollars, le groupe Cegetel a effectué un don de 500 000 euros destiné à plusieurs associations.
Quant à la presse en ligne, elle propose depuis plus d'une semaine des liens vers les organisations telles que la Croix-Rouge et l'UNICEF (www.unicef.asso.fr)
Selon Libération, le Secours catholique (www.secours-catholique.asso.fr) aurait enregistré ces deux derniers jours 3000 dons en ligne d'une valeur moyenne de 150 euros chacun.
La Croix-Rouge française a annoncé avoir récolté plus d'un million d'euros (www.croix-rouge.fr). Médecins sans frontières (www.msf.fr) a signalé avoir reçu par le biais d'Internet plus de 15 millions d'euros, dont 800 000 en France.
A ces dons en ligne effectués par carte bancaire viennent s'ajouter les dons par chèques bancaires. Médecins du monde (www.medecinsdumonde.org) note que parmi les donateurs se trouvent une majorité d'actifs appartenant aux catégories socioprofessionnelles supérieures.
Bien que ces dons puissent faire l'objet d'une déduction d'impôt en France, c'est avant tout la médiatisation de la catastrophe, ses répercussions internationales et l'émotion qu'elle suscite, qui ont influencé cette dynamique.
Quoi qu'il en soit malgré les aides publiques et les nombreux dons reçus par les ONG, la coordination et l'efficacité de l'aide internationale aux victimes du tsunami restent difficiles à mettre en œuvre.
