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Afin de faire progresser la R&D industrielle, l'ONG Euroscience invite les personnels de la sphère technologique à remplir en ligne son questionnaire.
Comment peut-on expliquer le retard d'investissement des entreprises européennes en R&D par rapport à leurs concurrentes américaines ou japonaises ?
Pour répondre à cette question, le groupe sciences et technologies de l'organisation non gouvernementale Euroscience propose depuis juin 2004 un questionnaire en ligne.
A travers cette initiative, l'association paneuropéenne, espace de débat, de promotion et d'action en faveur des technologies et des sciences, pourra analyser l'état actuel des financements et du fonctionnement de la recherche et du développement dans les entreprises européennes, de l'informatique aux biotechnologies.
Afin d'assurer la pertinence de son analyse, le groupe invite tous les personnels (informaticiens, ingénieurs, chercheurs, consultants, éditeurs de logiciels, statisticiens, etc.) travaillant dans la R&D industrielle européenne à remplir son questionnaire disponible sur http://www.euroscience.org/WGROUPS/IST/index.htm
Les thématiques abordées concernent notamment : la situation du marché en Europe et hors frontières, l'investissement R&D proprement dit, la mobilité, la situation des jeunes pousses, le capital humain - "la relève" - , la problématique de l'externalisation, la barrière linguistique et le rôle de la recherche publique.
Les réponses proposées en plus de constituer le socle d'une analyse de la situation actuelle de la R&D européenne, permettront d'établir des "recommandations constructives" prochainement transmises au monde politique.
"Les responsables politiques comme les industriels ont tendance à minimiser les risques économiques en finançant prioritairement les produits qui marchent bien. Par engagement dans la R&D industrielle, nous entendons plus d'investissement de la part des décideurs dans les projets de recherche innovant", déclarait en juin dernier Claus HILLEBRAND, un membre d'Euroscience (www.arborescience.com).
Les résultats de l'enquête R&D industrielle devraient être publiés à l'automne 2004.
Comment peut-on expliquer le retard d'investissement des entreprises européennes en R&D par rapport à leurs concurrentes américaines ou japonaises ?
Pour répondre à cette question, le groupe sciences et technologies de l'organisation non gouvernementale Euroscience propose depuis juin 2004 un questionnaire en ligne.
A travers cette initiative, l'association paneuropéenne, espace de débat, de promotion et d'action en faveur des technologies et des sciences, pourra analyser l'état actuel des financements et du fonctionnement de la recherche et du développement dans les entreprises européennes, de l'informatique aux biotechnologies.
Afin d'assurer la pertinence de son analyse, le groupe invite tous les personnels (informaticiens, ingénieurs, chercheurs, consultants, éditeurs de logiciels, statisticiens, etc.) travaillant dans la R&D industrielle européenne à remplir son questionnaire disponible sur http://www.euroscience.org/WGROUPS/IST/index.htm
Les thématiques abordées concernent notamment : la situation du marché en Europe et hors frontières, l'investissement R&D proprement dit, la mobilité, la situation des jeunes pousses, le capital humain - "la relève" - , la problématique de l'externalisation, la barrière linguistique et le rôle de la recherche publique.
Les réponses proposées en plus de constituer le socle d'une analyse de la situation actuelle de la R&D européenne, permettront d'établir des "recommandations constructives" prochainement transmises au monde politique.
"Les responsables politiques comme les industriels ont tendance à minimiser les risques économiques en finançant prioritairement les produits qui marchent bien. Par engagement dans la R&D industrielle, nous entendons plus d'investissement de la part des décideurs dans les projets de recherche innovant", déclarait en juin dernier Claus HILLEBRAND, un membre d'Euroscience (www.arborescience.com).
Les résultats de l'enquête R&D industrielle devraient être publiés à l'automne 2004.
