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Bras de fer entre et Microsoft ? D'après le Financial Times, le numéro un mondial du logiciel s'apprêterait à tester son service de musique en ligne.
Le groupe Microsoft serait prêt à entrer sur le marché de la musique en ligne, marché aujourd'hui dominé par le fabricant informatique à la pomme, Apple, à travers iTunes Music Store.
Selon l'édition en ligne du quotidien britannique Financial Times (www.ft.com), Microsoft, géant mondial du logiciel (www.microsoft.com) pourrait tester son propre "Store" sur le portail de MSN, sa filiale Internet, avant la fin août 2004.
Sur ce terrain, Apple (Macintosh), groupe informatique américain, a pris ses concurrents de vitesse en adaptant iTunes Music Store, service à 0,99 euro le morceau, aux systèmes d'exploitation Mac/PC : Mac OS X et Windows.
Depuis son lancement en avril 2003 aux Etats-Unis, le service est aujourd'hui également accessible en France, en Allemagne et au Royaume Uni, Apple a vendu plus de 100 millions de titres à travers iTunes (www.apple.com/fr/).
Le succès de ce "disquaire virtuel" répond à celui de l'iPod d'Apple, le plus vendu des lecteurs MP3 (plus d'un million d'exemplaires au niveau mondial) désormais proposé dans sa 4ème version.
Microsoft devrait proposer un service similaire à l'iTunes Music Store, afin de permette aux internautes d'acheter en ligne puis de télécharger des morceaux sur le disque dur de leur PC et, éventuellement, de les transférer sur un lecteur numérique de musique.
L'inconnue réside dans le modèle tarifaire qu'adoptera Microsoft. Or, c'est sur ce point que pourrait se faire la différence.
Outre l'américain Apple, le britannique Virgin et le japonais Sony comptent parmi les ténors du divertissement multimédia qui proposent un service "légal" de musique en ligne.
Ces services payants respectent les droits d'auteur conformément aux accords signés avec les "majors" du disque (Warner, Universal, EMI, Sony Music et BMG) et avec des labels indépendants.
L'arrivée prochaine de Microsoft sur le marché devrait satisfaire industrie du disque et autorités politiques. Ces dernières multiplient leurs offensives pour imposer l'offre "légale payante" de musique en ligne face à l'échange "illégal gratuit" sur réseaux peer-to-peer.
Le groupe Microsoft serait prêt à entrer sur le marché de la musique en ligne, marché aujourd'hui dominé par le fabricant informatique à la pomme, Apple, à travers iTunes Music Store.
Selon l'édition en ligne du quotidien britannique Financial Times (www.ft.com), Microsoft, géant mondial du logiciel (www.microsoft.com) pourrait tester son propre "Store" sur le portail de MSN, sa filiale Internet, avant la fin août 2004.
Sur ce terrain, Apple (Macintosh), groupe informatique américain, a pris ses concurrents de vitesse en adaptant iTunes Music Store, service à 0,99 euro le morceau, aux systèmes d'exploitation Mac/PC : Mac OS X et Windows.
Depuis son lancement en avril 2003 aux Etats-Unis, le service est aujourd'hui également accessible en France, en Allemagne et au Royaume Uni, Apple a vendu plus de 100 millions de titres à travers iTunes (www.apple.com/fr/).
Le succès de ce "disquaire virtuel" répond à celui de l'iPod d'Apple, le plus vendu des lecteurs MP3 (plus d'un million d'exemplaires au niveau mondial) désormais proposé dans sa 4ème version.
Microsoft devrait proposer un service similaire à l'iTunes Music Store, afin de permette aux internautes d'acheter en ligne puis de télécharger des morceaux sur le disque dur de leur PC et, éventuellement, de les transférer sur un lecteur numérique de musique.
L'inconnue réside dans le modèle tarifaire qu'adoptera Microsoft. Or, c'est sur ce point que pourrait se faire la différence.
Outre l'américain Apple, le britannique Virgin et le japonais Sony comptent parmi les ténors du divertissement multimédia qui proposent un service "légal" de musique en ligne.
Ces services payants respectent les droits d'auteur conformément aux accords signés avec les "majors" du disque (Warner, Universal, EMI, Sony Music et BMG) et avec des labels indépendants.
L'arrivée prochaine de Microsoft sur le marché devrait satisfaire industrie du disque et autorités politiques. Ces dernières multiplient leurs offensives pour imposer l'offre "légale payante" de musique en ligne face à l'échange "illégal gratuit" sur réseaux peer-to-peer.
