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Le Commissariat à l'énergie atomique français persiste et assigne le fabricant sud-coréen Samsung Electronics devant le TGI de Paris.
Le Commissariat à l'énergie atomique (www.cea.fr) a signalé mardi avoir assigné, le 15 juillet 2004, le constructeur sud-coréen Samsung Electronics devant le Tribunal de Grande Instance de Paris.
Samsung (www.samsung.com), fabricant de produits électroniques et de terminaux mobiles, est accusé d'avoir utilisé, "sans accord de licence", des technologies brevetées par l'organisme de recherche technologique français.
En précurseur, le Commissariat détient depuis plus de 10 ans un portefeuille de brevets sur la technologie des écrans à cristaux liquides (LCD - Liquid Crystal Display), en particulier la technique VA (Vertically Aligned) qui offre "une meilleure qualité de l'image et un plus grand angle de vue."
A l'heure actuelle, cette technique est largement utilisée au niveau mondial pour produire les grands écrans LCD des téléviseurs et des ordinateurs, une spécialité des fabricants asiatiques.
LG.Philips, coentreprise entre les groupes sud-coréen et néerlandais, contrôle plus de 21% du marché mondial des grands écrans à cristaux liquides. Quant au sud-coréen Samsung Electronics, il arrive en seconde position (19,6%) devant le taïwanais AU Optronics (11,6%).
"Convaincu de la contrefaçon de sa technologie VA par Samsung", le CEA a porté l'affaire devant la justice française. A travers cette action, qui n'est pas une première, le Commissariat à l'énergie atomique "entend défendre ses innovations et valoriser sa recherche" sur un marché LCD en pleine effervescence.
Avant de s'opposer au fabricant sud-coréen en France, l'organisme public français a également déposé plainte devant la justice américaine contre six fabricants de modules LCD, outre Samsung, les taïwanais AU Optronics et Chi Mei, et les japonais Fujitsu, Sanyo et Sharp.
Affaires à suivre !
Le Commissariat à l'énergie atomique (www.cea.fr) a signalé mardi avoir assigné, le 15 juillet 2004, le constructeur sud-coréen Samsung Electronics devant le Tribunal de Grande Instance de Paris.
Samsung (www.samsung.com), fabricant de produits électroniques et de terminaux mobiles, est accusé d'avoir utilisé, "sans accord de licence", des technologies brevetées par l'organisme de recherche technologique français.
En précurseur, le Commissariat détient depuis plus de 10 ans un portefeuille de brevets sur la technologie des écrans à cristaux liquides (LCD - Liquid Crystal Display), en particulier la technique VA (Vertically Aligned) qui offre "une meilleure qualité de l'image et un plus grand angle de vue."
A l'heure actuelle, cette technique est largement utilisée au niveau mondial pour produire les grands écrans LCD des téléviseurs et des ordinateurs, une spécialité des fabricants asiatiques.
LG.Philips, coentreprise entre les groupes sud-coréen et néerlandais, contrôle plus de 21% du marché mondial des grands écrans à cristaux liquides. Quant au sud-coréen Samsung Electronics, il arrive en seconde position (19,6%) devant le taïwanais AU Optronics (11,6%).
"Convaincu de la contrefaçon de sa technologie VA par Samsung", le CEA a porté l'affaire devant la justice française. A travers cette action, qui n'est pas une première, le Commissariat à l'énergie atomique "entend défendre ses innovations et valoriser sa recherche" sur un marché LCD en pleine effervescence.
Avant de s'opposer au fabricant sud-coréen en France, l'organisme public français a également déposé plainte devant la justice américaine contre six fabricants de modules LCD, outre Samsung, les taïwanais AU Optronics et Chi Mei, et les japonais Fujitsu, Sanyo et Sharp.
Affaires à suivre !
