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L'éditeur de MIMEsweeper, logiciel de sécurisation du courriel, fait la promo d'une étude IDC sur les coûts supportés par les entreprises inondées de spams.
Editeur britannique de logiciels de gestion et de sécurisation des communications électroniques, Clearswift (www.clearswift.com) a annoncé lundi la disponibilité d'une étude réalisée par le cabinet IDC sur les coûts induits par le spam.
Cette étude est présentée sous la forme d'un "Livre Blanc" au titre évocateur : "What you can and should do about the rising cost of spam".
En résumé, IDC (www.idc.com) propose aux responsables informatique des solutions pour limiter les coûts liés aux spams, soit les e-mails commerciaux non sollicités, pourvoyeurs potentiels de virus, qui submergent les messageries électroniques des entreprises et des administrations.
Selon le cabinet d'études, dans les organisations non équipées de solutions Anti-Spam chaque utilisateur du courrier électronique "perd" en moyenne 10 minutes par jour du fait de la présence de spams dans sa messagerie (tri, suppression du courrier indésirable, etc.)
Cela se traduit, pour une grande entreprise disposant environ de 5000 boîtes aux lettres électroniques, "par une perte de productivité estimée à 4,1 millions de dollars par an", d'après IDC.
Toutefois aux Etats-Unis, les entreprises non équipées sont de moins en moins nombreuses. D'après IDC, plus de 70% d'entre elles ont intégré des solutions anti-spam à leur parc informatique connecté au Net.
Ces solutions anti-spam réduiraient "de 50% en moyenne" le temps passé par les utilisateurs finaux du courriel "à gérer" les spams reçus au quotidien. Dans ce cas, IDC estime qu'une entreprise disposant de 5000 boites aux lettres électroniques peut réaliser une économie de 783 000 dollars.
De plus, l'utilisation "d'outils adaptés" (anti-spam, anti-virus et solution d'authentification) peut générer un gain de productivité de "13 000 dollars par membre du service informatique chargé de la gestion des messageries électroniques de l'entreprise", a souligné IDC.
Bien entendu, l'éditeur Clearswift, qui a "sponsorisé" cette étude, propose sa propre solution globale de sécurisation du courrier électronique : MAILsweeper Business Suite.
Cette suite intègre : un logiciel de sécurisation des contenus, un logiciel anti-spam "à apprentissage intuitif" et une fonctionnalité de gestion à distance censée permettre à plusieurs administrateurs d'analyser les e-mails mis en quarantaine, et ce via une interface web.
A noter : Un calculateur IDC accessible en ligne offre la possibilité aux responsables informatique d'estimer le coût du spam pour leur société (http://www.clearswift.com/products/ROI/Clearswift_Anti-spam_ROI.htm).
Editeur britannique de logiciels de gestion et de sécurisation des communications électroniques, Clearswift (www.clearswift.com) a annoncé lundi la disponibilité d'une étude réalisée par le cabinet IDC sur les coûts induits par le spam.
Cette étude est présentée sous la forme d'un "Livre Blanc" au titre évocateur : "What you can and should do about the rising cost of spam".
En résumé, IDC (www.idc.com) propose aux responsables informatique des solutions pour limiter les coûts liés aux spams, soit les e-mails commerciaux non sollicités, pourvoyeurs potentiels de virus, qui submergent les messageries électroniques des entreprises et des administrations.
Selon le cabinet d'études, dans les organisations non équipées de solutions Anti-Spam chaque utilisateur du courrier électronique "perd" en moyenne 10 minutes par jour du fait de la présence de spams dans sa messagerie (tri, suppression du courrier indésirable, etc.)
Cela se traduit, pour une grande entreprise disposant environ de 5000 boîtes aux lettres électroniques, "par une perte de productivité estimée à 4,1 millions de dollars par an", d'après IDC.
Toutefois aux Etats-Unis, les entreprises non équipées sont de moins en moins nombreuses. D'après IDC, plus de 70% d'entre elles ont intégré des solutions anti-spam à leur parc informatique connecté au Net.
Ces solutions anti-spam réduiraient "de 50% en moyenne" le temps passé par les utilisateurs finaux du courriel "à gérer" les spams reçus au quotidien. Dans ce cas, IDC estime qu'une entreprise disposant de 5000 boites aux lettres électroniques peut réaliser une économie de 783 000 dollars.
De plus, l'utilisation "d'outils adaptés" (anti-spam, anti-virus et solution d'authentification) peut générer un gain de productivité de "13 000 dollars par membre du service informatique chargé de la gestion des messageries électroniques de l'entreprise", a souligné IDC.
Bien entendu, l'éditeur Clearswift, qui a "sponsorisé" cette étude, propose sa propre solution globale de sécurisation du courrier électronique : MAILsweeper Business Suite.
Cette suite intègre : un logiciel de sécurisation des contenus, un logiciel anti-spam "à apprentissage intuitif" et une fonctionnalité de gestion à distance censée permettre à plusieurs administrateurs d'analyser les e-mails mis en quarantaine, et ce via une interface web.
A noter : Un calculateur IDC accessible en ligne offre la possibilité aux responsables informatique d'estimer le coût du spam pour leur société (http://www.clearswift.com/products/ROI/Clearswift_Anti-spam_ROI.htm).
