0
L'éditeur américain a demandé au TPI de suspendre la décision de Bruxelles qui lui impose de modifier ses pratiques commerciales concernant l'OS Windows.
Après avoir fait appel de la décision de la Commission européenne lui infligeant une amende de 497 millions d'euros, Microsoft cherche à suspendre l'obligation qui lui a été faite par Bruxelles de modifier ses méthodes pour commercialiser Windows.
L'éditeur américain, numéro un mondial du logiciel, "a demandé à la cour de suspendre la mise en oeuvre de la décision contestée et de prendre toute autre mesure provisoire qu'elle jugerait appropriée", a déclaré vendredi dans un communiqué le Tribunal de première instance de l'UE (TPI).
Microsoft a déjà saisi début juin le TPI installé à Luxembourg afin de contrer la décision lui imposant le versement d'une amende. A travers cette nouvelle initiative, l'éditeur cherche à ne pas être forcé à commercialiser une version de Microsoft Windows qui soit plus ouverte à la concurrence.
L'exécutif européen accuse, en effet, l'éditeur américain de limiter l'accès aux informations techniques qui permettent aux solutions d'éditeurs concurrents de fonctionner sous Windows, système d'exploitation le plus utilisé sur PC.
Par ailleurs, la Commission européenne affirme que l'éditeur "a affaibli la concurrence et réduit le choix du consommateur" en intégrant son lecteur media à Windows.
Par conséquent, en mars dernier, Bruxelles a donné 90 jours à l'éditeur pour proposer une version de l'OS qui n'intègre pas Windows Media Player... Or, la nouvelle contre-attaque de Microsoft pourrait faire traîner le dossier en justice trois années ou plus !
Après avoir fait appel de la décision de la Commission européenne lui infligeant une amende de 497 millions d'euros, Microsoft cherche à suspendre l'obligation qui lui a été faite par Bruxelles de modifier ses méthodes pour commercialiser Windows.
L'éditeur américain, numéro un mondial du logiciel, "a demandé à la cour de suspendre la mise en oeuvre de la décision contestée et de prendre toute autre mesure provisoire qu'elle jugerait appropriée", a déclaré vendredi dans un communiqué le Tribunal de première instance de l'UE (TPI).
Microsoft a déjà saisi début juin le TPI installé à Luxembourg afin de contrer la décision lui imposant le versement d'une amende. A travers cette nouvelle initiative, l'éditeur cherche à ne pas être forcé à commercialiser une version de Microsoft Windows qui soit plus ouverte à la concurrence.
L'exécutif européen accuse, en effet, l'éditeur américain de limiter l'accès aux informations techniques qui permettent aux solutions d'éditeurs concurrents de fonctionner sous Windows, système d'exploitation le plus utilisé sur PC.
Par ailleurs, la Commission européenne affirme que l'éditeur "a affaibli la concurrence et réduit le choix du consommateur" en intégrant son lecteur media à Windows.
Par conséquent, en mars dernier, Bruxelles a donné 90 jours à l'éditeur pour proposer une version de l'OS qui n'intègre pas Windows Media Player... Or, la nouvelle contre-attaque de Microsoft pourrait faire traîner le dossier en justice trois années ou plus !