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La Fondation Internet nouvelle génération a mis en ligne mardi un dossier concernant la situation des nouvelles technologies sur l'île rouge en milieu rural.
Lors d'une rencontre à la Fondation Internet nouvelle génération (www.fing.org), organisation française, Lucien RATOVOHERY, secrétaire général de la Société civile malgache - Droits de l'Homme (SCM-DH), a présenté une analyse de l'état du développement des nouvelles technologies en milieu rural à Madagascar.
Ancienne colonie française, pays pauvre, mais riche de ses populations et de sa culture, Madagascar n'a pas que sa faune et sa flore pour intéresser les esprits.
La Grande Ile installée en plein Océan Indien, à l'Est de l'Afrique du Sud, abrite une population de plus de 17 500 870 habitants. Sur cet ensemble, 60 000 individus sont abonnés à la téléphonie filaire, 150 000 à la téléphonie mobile (GSM).
Selon madanight.com, l'île est équipée de quelques 693 cabines téléphoniques, seulement, dont 386 sont installées dans la capitale malgache (Antananarivo) ! Par ailleurs, seuls 15 000 clients sont abonnés à Internet - la bande passante à Madagascar étant de 6 Mb/s.
En référence à une émission diffusée le 4 avril dernier sur la radio malgache Les Echos du Capricorne et sur la télévision participative Vidéon, Lucien RATOVOHERY a mis l'accent sur les points clés qui faciliteront la diffusion des TIC à Madagascar : l'info via les radios locales, le téléphone satellitaire Thuraya, une radio pour diffuser du "Web Worldspace", le livre électronique "à très bas prix", le bon choix des réseaux en milieu rural (technologies satellitaires, WiMAX, etc.)
Enfin, selon le Directeur général du département TIC du ministère malgache des télécommunications, des postes et de la communication, Olivier ROBINSON : "Les nouvelles technologies de l'information et de la communication sont directement applicables à Madagascar malgré le niveau de pauvreté du pays, de nos moyens, et la faiblesse de nos équipements."
Différentes solutions peuvent être envisagées, notamment à travers le PNUD - Programme des Nations Unies pour le Développement (www.undp.org/french/), afin d'implémenter et d'utiliser les TIC pour lutter contre l'analphabétisme ou encore permettre d'accélérer l'obtention de documents administratifs.
Lors d'une rencontre à la Fondation Internet nouvelle génération (www.fing.org), organisation française, Lucien RATOVOHERY, secrétaire général de la Société civile malgache - Droits de l'Homme (SCM-DH), a présenté une analyse de l'état du développement des nouvelles technologies en milieu rural à Madagascar.
Ancienne colonie française, pays pauvre, mais riche de ses populations et de sa culture, Madagascar n'a pas que sa faune et sa flore pour intéresser les esprits.
La Grande Ile installée en plein Océan Indien, à l'Est de l'Afrique du Sud, abrite une population de plus de 17 500 870 habitants. Sur cet ensemble, 60 000 individus sont abonnés à la téléphonie filaire, 150 000 à la téléphonie mobile (GSM).
Selon madanight.com, l'île est équipée de quelques 693 cabines téléphoniques, seulement, dont 386 sont installées dans la capitale malgache (Antananarivo) ! Par ailleurs, seuls 15 000 clients sont abonnés à Internet - la bande passante à Madagascar étant de 6 Mb/s.
En référence à une émission diffusée le 4 avril dernier sur la radio malgache Les Echos du Capricorne et sur la télévision participative Vidéon, Lucien RATOVOHERY a mis l'accent sur les points clés qui faciliteront la diffusion des TIC à Madagascar : l'info via les radios locales, le téléphone satellitaire Thuraya, une radio pour diffuser du "Web Worldspace", le livre électronique "à très bas prix", le bon choix des réseaux en milieu rural (technologies satellitaires, WiMAX, etc.)
Enfin, selon le Directeur général du département TIC du ministère malgache des télécommunications, des postes et de la communication, Olivier ROBINSON : "Les nouvelles technologies de l'information et de la communication sont directement applicables à Madagascar malgré le niveau de pauvreté du pays, de nos moyens, et la faiblesse de nos équipements."
Différentes solutions peuvent être envisagées, notamment à travers le PNUD - Programme des Nations Unies pour le Développement (www.undp.org/french/), afin d'implémenter et d'utiliser les TIC pour lutter contre l'analphabétisme ou encore permettre d'accélérer l'obtention de documents administratifs.
