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La mission IST, qui a pour objectif le "haut débit pour tous", a officiellement présenté lundi le projet de réseau d'accès européen MUSE.
La coordination du projet européen MUSE (Multi service access everywhere) revient à l'équipementier télécoms et réseaux français Alcatel (www.alcatel.fr).
Le projet MUSE constitue une des priorités de la mission européenne IST - Technologies de la société de l'information (www.ist-muse.org).
Dans un communiqué daté du 3 mai 2004, la mission a précisé que MUSE vise la mise en œuvre d'un réseau d'accès multiservices, qui permettra de fournir « à tous les citoyens européens » des services haut débit tels que : l'enseignement à distance, le télétravail, la vidéoconférence, les jeux en ligne et la vidéo à la demande.
Le projet MUSE est doté d'un budget de près de 34 millions d'euros sur deux ans (janvier 2004 - décembre 2005), dont 18,6 millions sont financés par la Commission européenne, dans le cadre du 6ème Programme Cadre (FP6) européen, principal instrument communautaire de financement de la recherche.
En plus de la coordination générale du projet, Alcatel est également chargé de la direction du sous-projet « architecture d'accès», MUSE étant organisé en 4 sous-projets.
Les solutions développées dans ce cadre feront l'objet de tests réalisés à travers les trois autres sous-projets organisés par scénarii de déploiement : « migration de l'ATM vers le paquet » (Ethernet, IPv4, IPv6), également coordonné par Alcatel ; « sans héritage » (Non Legacy ), optimisé pour Ethernet et IPv6, coordonné par le suédois Ericsson ; et enfin le scénario « très haut débit » (VDSL, boucle fibre optique), coordonné par les Bell Labs de l'équipementier américain Lucent Technologies.
« Avec la participation des grands spécialistes européens, MUSE à tous les atouts pour relever le défi du futur réseau d'accès européen », a déclaré enthousiaste Peter VETTER, coordinateur du projet MUSE pour Alcatel.
Au total, une trentaine de partenaires issus de l'industrie et de la recherche académique collaborent au projet MUSE, parmi lesquels : British Telecom, France Télécom, Lucent Technologies, Siemens, STMicroelectronics, l'INRIA et l'Université d'Essex (UK).
La coordination du projet européen MUSE (Multi service access everywhere) revient à l'équipementier télécoms et réseaux français Alcatel (www.alcatel.fr).
Le projet MUSE constitue une des priorités de la mission européenne IST - Technologies de la société de l'information (www.ist-muse.org).
Dans un communiqué daté du 3 mai 2004, la mission a précisé que MUSE vise la mise en œuvre d'un réseau d'accès multiservices, qui permettra de fournir « à tous les citoyens européens » des services haut débit tels que : l'enseignement à distance, le télétravail, la vidéoconférence, les jeux en ligne et la vidéo à la demande.
Le projet MUSE est doté d'un budget de près de 34 millions d'euros sur deux ans (janvier 2004 - décembre 2005), dont 18,6 millions sont financés par la Commission européenne, dans le cadre du 6ème Programme Cadre (FP6) européen, principal instrument communautaire de financement de la recherche.
En plus de la coordination générale du projet, Alcatel est également chargé de la direction du sous-projet « architecture d'accès», MUSE étant organisé en 4 sous-projets.
Les solutions développées dans ce cadre feront l'objet de tests réalisés à travers les trois autres sous-projets organisés par scénarii de déploiement : « migration de l'ATM vers le paquet » (Ethernet, IPv4, IPv6), également coordonné par Alcatel ; « sans héritage » (Non Legacy ), optimisé pour Ethernet et IPv6, coordonné par le suédois Ericsson ; et enfin le scénario « très haut débit » (VDSL, boucle fibre optique), coordonné par les Bell Labs de l'équipementier américain Lucent Technologies.
« Avec la participation des grands spécialistes européens, MUSE à tous les atouts pour relever le défi du futur réseau d'accès européen », a déclaré enthousiaste Peter VETTER, coordinateur du projet MUSE pour Alcatel.
Au total, une trentaine de partenaires issus de l'industrie et de la recherche académique collaborent au projet MUSE, parmi lesquels : British Telecom, France Télécom, Lucent Technologies, Siemens, STMicroelectronics, l'INRIA et l'Université d'Essex (UK).
