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La nouvelle capitale française du haut débit se fait désirer. Suite à un petit retard dans la livraison de modems, le projet Pau Broadband county, soutenu par le sénateur-Maire de Pau André Labarrère et Jean-Michel BILLAUT, ne devrait ouvrir que courant Mai alors que l'ouverture initiale était annoncée pour le 13 Avril.
Construit en fibre optique, le réseau PBC entend faire de l'agglomération urbaine de Pau un véritable laboratoire du très haut débit en France. La ville dispose pour cela d'un fournisseur d'accès baptisé IPVSET offrant un débit de 10 Mb/s pour les particuliers (30 euros par mois) et de 100 Mb/s pour les entreprises (1200 euros par mois). Mais PBC expérimente également les connexions sans-fil tels que le WiFi et met en place de nouvelles applications de vidéo à la demande ou encore de téléformation.
Financé par les collectivités locales, le réseau télécom "PBC" a coûté environ 35 millions d'euros et devrait équiper à terme 150.000 foyers palois, soit un coût unitaire de l'ordre de 2300 euros, amortissable sur environ 15 ans. Première ville française à s'être lancée dans l'aventure du Très haut débit, Pau devrait néanmoins rapidement retrouver son investissement initial en attirant de nombreuses entreprises et en établissant des partenariats avec d'autres capitales technologiques à travers le monde.
Par contre, les traditionnels suiveurs pourraient se casser les dents en investissant dans la fibre optique alors que se profilent des technologies telles que l'hypercâble ou le WiMax, capables de diffuser par les ondes hertziennes des services multimédia interactifs à des coûts nettement inférieurs. Fascinée par la vitesse (TGV, Concorde), la France doit certainement s'engager dans la voie du très haut débit mais peut-être pas à n'importe quel prix.
Construit en fibre optique, le réseau PBC entend faire de l'agglomération urbaine de Pau un véritable laboratoire du très haut débit en France. La ville dispose pour cela d'un fournisseur d'accès baptisé IPVSET offrant un débit de 10 Mb/s pour les particuliers (30 euros par mois) et de 100 Mb/s pour les entreprises (1200 euros par mois). Mais PBC expérimente également les connexions sans-fil tels que le WiFi et met en place de nouvelles applications de vidéo à la demande ou encore de téléformation.
Financé par les collectivités locales, le réseau télécom "PBC" a coûté environ 35 millions d'euros et devrait équiper à terme 150.000 foyers palois, soit un coût unitaire de l'ordre de 2300 euros, amortissable sur environ 15 ans. Première ville française à s'être lancée dans l'aventure du Très haut débit, Pau devrait néanmoins rapidement retrouver son investissement initial en attirant de nombreuses entreprises et en établissant des partenariats avec d'autres capitales technologiques à travers le monde.
Par contre, les traditionnels suiveurs pourraient se casser les dents en investissant dans la fibre optique alors que se profilent des technologies telles que l'hypercâble ou le WiMax, capables de diffuser par les ondes hertziennes des services multimédia interactifs à des coûts nettement inférieurs. Fascinée par la vitesse (TGV, Concorde), la France doit certainement s'engager dans la voie du très haut débit mais peut-être pas à n'importe quel prix.
