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Face à la pression internationale, Google pourrait retarder le lancement officiel de Gmail, selon l'édition « monde » de BBC News (http://news.bbc.co.uk/).
Proposé en version beta sur le site du moteur de recherche américain (http://gmail.google.com), le service en ligne de gestion du courrier électronique Gmail suscite de vives inquiétudes.
Plusieurs organisations américaines et européennes, dont la très active Privacy International (www.privacyinternational.org), s'interrogent quant à la confidentialité des données et au respect de la vie privée.
Comme pour tout webmail, interface web permettant aux internautes d'accéder à leurs e-mails depuis n'importe quel terminal disposant d'une connexion à Internet et d'un navigateur web, la sécurité du système reste problématique.
Pour sa part, Google précise à l'attention des utilisateurs du service que « des copies résiduelles de données peuvent rester stocker dans nos systèmes, même après que ces informations aient été supprimées de votre boite (mailbox) ou après clôture de votre compte » (http://gmail.google.com/gmail/help/privacy.html).
Ce passage concernant la politique de confidentialité du service (Gmail Privacy Policy) a attisé les critiques. De plus, certaines associations reprochent à Google de vouloir insérer automatiquement des liens sponsorisés dans les e-mails gérés à travers Gmail.
Google, de son côté, souligne « qu'aucun humain ne lit les messages pour cibler les publicités », cette analyse de contenus étant automatisée.
Quoi qu'il en soit, le britannique Simon DAVIES, Directeur de Privacy International, affirme que cette opération constitue « une large violation des lois européennes », la législation communautaire étant plus restrictive que la législation américaine sur la protection de la vie privée.
Si Google parvient à convaincre, Gmail pourrait devenir le « killer Mailer » du web. Celui-ci devrait fournir des services inédits et une capacité de stockage d'un giga-octet par utilisateur, bien plus que la capacité actuellement fournie par ! Mail ou par MSN Hotmail.
Proposé en version beta sur le site du moteur de recherche américain (http://gmail.google.com), le service en ligne de gestion du courrier électronique Gmail suscite de vives inquiétudes.
Plusieurs organisations américaines et européennes, dont la très active Privacy International (www.privacyinternational.org), s'interrogent quant à la confidentialité des données et au respect de la vie privée.
Comme pour tout webmail, interface web permettant aux internautes d'accéder à leurs e-mails depuis n'importe quel terminal disposant d'une connexion à Internet et d'un navigateur web, la sécurité du système reste problématique.
Pour sa part, Google précise à l'attention des utilisateurs du service que « des copies résiduelles de données peuvent rester stocker dans nos systèmes, même après que ces informations aient été supprimées de votre boite (mailbox) ou après clôture de votre compte » (http://gmail.google.com/gmail/help/privacy.html).
Ce passage concernant la politique de confidentialité du service (Gmail Privacy Policy) a attisé les critiques. De plus, certaines associations reprochent à Google de vouloir insérer automatiquement des liens sponsorisés dans les e-mails gérés à travers Gmail.
Google, de son côté, souligne « qu'aucun humain ne lit les messages pour cibler les publicités », cette analyse de contenus étant automatisée.
Quoi qu'il en soit, le britannique Simon DAVIES, Directeur de Privacy International, affirme que cette opération constitue « une large violation des lois européennes », la législation communautaire étant plus restrictive que la législation américaine sur la protection de la vie privée.
Si Google parvient à convaincre, Gmail pourrait devenir le « killer Mailer » du web. Celui-ci devrait fournir des services inédits et une capacité de stockage d'un giga-octet par utilisateur, bien plus que la capacité actuellement fournie par ! Mail ou par MSN Hotmail.
