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A l'occasion de la journée internationale des femmes, la Commission européenne a organisé lundi 8 mars 2004 une conférence sur la place des femmes dans la vie politique européenne.
A cette occasion se sont notamment exprimées Mesdames Ene ERGMA, qui préside le Parlement estonien, Anne VAN LANCKER, membre du Parlement européen, Bérengère MARQUES-PEREIRA, professeur de sciences politiques à l'Université libre de Bruxelles, et Margot WALLSTROM, membre de la Commission européenne chargée de l'emploi et des affaires sociales.
Le discours de cette dernière, mis en ligne lundi sur le portail de l'Union européenne (http://europa.eu.int/), est un plaidoyer pour « la cause des femmes. »
L'UE va bientôt représenter 450 millions de personnes, dont plus de la moitié de femmes et de filles. « Malheureusement, nous ne pouvons toujours pas dire que les femmes disposent d'un statut social équivalent à celui des hommes dans nos sociétés européennes, elles restent très mal représentées dans les sphères de décision politiques et économiques », a déclaré Margot WALLSTROM.
Bien que les femmes européennes soient de plus en plus nombreuses à être diplômées, « le plafond de verre » reste une réalité.
Pour améliorer ce tableau, « nous avons organisé des tables rondes et mené des campagnes d'information dans un certain nombre d'Etats membres pour encourager les femmes à se porter candidates et à participer massivement aux élections, afin que le Parlement européen soit aussi représentatif que possible », a ajouté Madame WALLSTROM.
Avant de préciser : « Notre objectif est de porter à plus de 33% la proportion de femmes qui siégeront au Parlement européen issu des prochaines élections. »
Quant au commissaire européen en charge des entreprises et de la société de l'information, Erkki LIIKANEN, il a réaffirmé son engagement en faveur d'un renforcement de la présence féminine au niveau de la direction des entreprises, notamment par le biais du plan d'action pour l'esprit d'entreprise, récemment adopté par la Commission européenne.
A cette occasion se sont notamment exprimées Mesdames Ene ERGMA, qui préside le Parlement estonien, Anne VAN LANCKER, membre du Parlement européen, Bérengère MARQUES-PEREIRA, professeur de sciences politiques à l'Université libre de Bruxelles, et Margot WALLSTROM, membre de la Commission européenne chargée de l'emploi et des affaires sociales.
Le discours de cette dernière, mis en ligne lundi sur le portail de l'Union européenne (http://europa.eu.int/), est un plaidoyer pour « la cause des femmes. »
L'UE va bientôt représenter 450 millions de personnes, dont plus de la moitié de femmes et de filles. « Malheureusement, nous ne pouvons toujours pas dire que les femmes disposent d'un statut social équivalent à celui des hommes dans nos sociétés européennes, elles restent très mal représentées dans les sphères de décision politiques et économiques », a déclaré Margot WALLSTROM.
Bien que les femmes européennes soient de plus en plus nombreuses à être diplômées, « le plafond de verre » reste une réalité.
Pour améliorer ce tableau, « nous avons organisé des tables rondes et mené des campagnes d'information dans un certain nombre d'Etats membres pour encourager les femmes à se porter candidates et à participer massivement aux élections, afin que le Parlement européen soit aussi représentatif que possible », a ajouté Madame WALLSTROM.
Avant de préciser : « Notre objectif est de porter à plus de 33% la proportion de femmes qui siégeront au Parlement européen issu des prochaines élections. »
Quant au commissaire européen en charge des entreprises et de la société de l'information, Erkki LIIKANEN, il a réaffirmé son engagement en faveur d'un renforcement de la présence féminine au niveau de la direction des entreprises, notamment par le biais du plan d'action pour l'esprit d'entreprise, récemment adopté par la Commission européenne.