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Dans un communiqué publié le 2 mars 2004 sur le portail Internet de l'UE (http://europa.eu.int/), la Commission européenne a présenté les principaux axes de la politique communautaire visant à stimuler l'esprit d'entreprise ces prochaines années.
« Il faut, pour renforcer l'innovation, la compétitivité et la croissance, que les Européens soient plus nombreux à monter une affaire, ou à reprendre une entreprise existante, et, une fois en place, celle-ci doit pouvoir opérer dans un environnement propice à son développement », a déclaré mardi Erkki LIIKANEN, commissaire européen en charge des entreprises et de la société de l'information.
Le plan européen définit plusieurs actions prioritaires à mener : promouvoir l'esprit d'entreprise chez les jeunes, moins stigmatiser l'échec (bonne idée !), proposer un soutien aux femmes et aux « minorités ethniques », réduire la complexité de la législation fiscale et faciliter les transmissions d'entreprises.
Au sein de l'Union européenne élargie à 25, des exemples de meilleures pratiques seront recensés et diffusés, en particulier concernant les petites et moyennes entreprises.
M. LIIKANEN a ajouté que la réussite du plan d'action en faveur de l'esprit d'entreprise nécessite « la participation active des gouvernements des Etats membres de l'UE, des collectivités régionales et locales ainsi que des organisations professionnelles. »
Selon l'Eurobaromètre 2003, seuls 4% des Européens ont participé à la création d'une entreprise au cours de ses trois dernières années. Par comparaison, aux Etats-Unis, la proportion de personnes engagées dans un tel processus est trois fois plus importante ! Au sein de l'UE, seules l'Irlande et la Grèce enregistrent de telles performances.
Le nouveau plan d'action européen fait suite à la consultation engagée à propos du « Livre vert sur l'esprit d'entreprise » publié en 2003 par l'exécutif européen (http://europa.eu.int/comm/enterprise/entrepreneurship/green_paper/index.htm).
« Il faut, pour renforcer l'innovation, la compétitivité et la croissance, que les Européens soient plus nombreux à monter une affaire, ou à reprendre une entreprise existante, et, une fois en place, celle-ci doit pouvoir opérer dans un environnement propice à son développement », a déclaré mardi Erkki LIIKANEN, commissaire européen en charge des entreprises et de la société de l'information.
Le plan européen définit plusieurs actions prioritaires à mener : promouvoir l'esprit d'entreprise chez les jeunes, moins stigmatiser l'échec (bonne idée !), proposer un soutien aux femmes et aux « minorités ethniques », réduire la complexité de la législation fiscale et faciliter les transmissions d'entreprises.
Au sein de l'Union européenne élargie à 25, des exemples de meilleures pratiques seront recensés et diffusés, en particulier concernant les petites et moyennes entreprises.
M. LIIKANEN a ajouté que la réussite du plan d'action en faveur de l'esprit d'entreprise nécessite « la participation active des gouvernements des Etats membres de l'UE, des collectivités régionales et locales ainsi que des organisations professionnelles. »
Selon l'Eurobaromètre 2003, seuls 4% des Européens ont participé à la création d'une entreprise au cours de ses trois dernières années. Par comparaison, aux Etats-Unis, la proportion de personnes engagées dans un tel processus est trois fois plus importante ! Au sein de l'UE, seules l'Irlande et la Grèce enregistrent de telles performances.
Le nouveau plan d'action européen fait suite à la consultation engagée à propos du « Livre vert sur l'esprit d'entreprise » publié en 2003 par l'exécutif européen (http://europa.eu.int/comm/enterprise/entrepreneurship/green_paper/index.htm).