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Mercredi, la Commission européenne a exprimé son point de vue sur la déclaration de principes et le plan d'action adoptés par les Nations unies (www.un.org/french/) comme fondement à une approche commune de la société de l'information.
Pour rendre son verdict, l'exécutif européen s'est intéressé aux conclusions du Sommet mondial de la société de l'information (SMSI) de décembre 2003 à Genève.
« Le Sommet a confirmé que la société de l'information est un moteur du développement économique et social dans le monde entier », a souligné Erkki LIIKANEN, commissaire européen en charge des entreprises et de la société de l'information.
C'est pourquoi, la Commission européenne est bien « résolue à mettre en œuvre l'approche globale et multilatérale issue du SMSI, y compris le principe de solidarité. »
Dans ce cadre, la vision européenne « d'une société de l'information pour tous » inclut trois éléments majeurs :
La mise en place d'un cadre législatif favorable aux investissements et au renforcement de la confiance des utilisateurs, l'exploitation plus étendue des outils informatiques et télématiques par les pouvoirs publics, une politique active en faveur de la recherche et de l'innovation.
Par ailleurs, l'exécutif européen participera activement aux groupes de travail sur la gouvernance et le financement de l'Internet qui ont été mis en place sous l'autorité du secrétaire général de l'ONU afin de contribuer à la deuxième phase du SMSI, à Tunis en novembre 2005.
La Commission européenne s'est également déclarée « déterminée » à faire de la deuxième phase du SMSI « une réussite », réussite qui passe par des progrès sur des dossiers tels que la liberté de parole et d'accès à l'information, et toujours le respect des Droits de l'Homme.
Pour rendre son verdict, l'exécutif européen s'est intéressé aux conclusions du Sommet mondial de la société de l'information (SMSI) de décembre 2003 à Genève.
« Le Sommet a confirmé que la société de l'information est un moteur du développement économique et social dans le monde entier », a souligné Erkki LIIKANEN, commissaire européen en charge des entreprises et de la société de l'information.
C'est pourquoi, la Commission européenne est bien « résolue à mettre en œuvre l'approche globale et multilatérale issue du SMSI, y compris le principe de solidarité. »
Dans ce cadre, la vision européenne « d'une société de l'information pour tous » inclut trois éléments majeurs :
La mise en place d'un cadre législatif favorable aux investissements et au renforcement de la confiance des utilisateurs, l'exploitation plus étendue des outils informatiques et télématiques par les pouvoirs publics, une politique active en faveur de la recherche et de l'innovation.
Par ailleurs, l'exécutif européen participera activement aux groupes de travail sur la gouvernance et le financement de l'Internet qui ont été mis en place sous l'autorité du secrétaire général de l'ONU afin de contribuer à la deuxième phase du SMSI, à Tunis en novembre 2005.
La Commission européenne s'est également déclarée « déterminée » à faire de la deuxième phase du SMSI « une réussite », réussite qui passe par des progrès sur des dossiers tels que la liberté de parole et d'accès à l'information, et toujours le respect des Droits de l'Homme.