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Une victoire pour l'élargissement : Jeudi, six pays en voie d'adhésion à l'UE ont conclu avec la Commission européenne un protocole d'accord afin de participer au programme IDA (Interchange of Data between Administrations), et ce aux mêmes conditions que les membres de l'Espace économique européen.
"IDA constitue l'élément central des efforts déployés par l'Union européenne pour fournir des services administratifs en ligne modernes", a rappelé à cette occasion Erkki LIIKANEN, commissaire européen chargé des entreprises et de la société de l'information.
Avec les signatures de l'Estonie, de la Pologne, de la République tchèque, et de la Slovénie, ce programme d'échange de données entre administrations s'ouvre largement à l'Est de l'Europe, et se renforce au Sud avec les signatures de Chypre et de Malte.
Tous ces pays vont pouvoir accéder à l'infrastructure électronique paneuropéenne utilisée par les Etats membres et par les institutions du "vieux" continent pour échanger des données dans le but "d'appliquer le droit communautaire et de fournir des services administratifs électroniques transfrontaliers aux citoyens et aux entreprises."
Les nouveaux signataires bénéficieront également de services et outils tels que des logiciels spécialisés et des orientations pour la mise en œuvre de solutions d'administration en ligne, comme le prévoit le plan d'action eEurope 2005.
En échange, les "6 nouveaux" devront contribuer au budget annuel du programme IDA, un budget qui s'élève à 25 millions d'euros.
Il semble que le jeu en vaille la chandelle puisque les autorités hongroises ont récemment annoncé qu'elles allaient signer très prochainement le protocole d'accord pour participer au programme IDA.
Les autres pays en voie d'adhésion, la Lettonie, la Lituanie et la Slovaquie, ainsi que trois pays candidats, la Bulgarie, la Roumanie et la Turquie, devraient également signer ce protocole cette année.
"IDA constitue l'élément central des efforts déployés par l'Union européenne pour fournir des services administratifs en ligne modernes", a rappelé à cette occasion Erkki LIIKANEN, commissaire européen chargé des entreprises et de la société de l'information.
Avec les signatures de l'Estonie, de la Pologne, de la République tchèque, et de la Slovénie, ce programme d'échange de données entre administrations s'ouvre largement à l'Est de l'Europe, et se renforce au Sud avec les signatures de Chypre et de Malte.
Tous ces pays vont pouvoir accéder à l'infrastructure électronique paneuropéenne utilisée par les Etats membres et par les institutions du "vieux" continent pour échanger des données dans le but "d'appliquer le droit communautaire et de fournir des services administratifs électroniques transfrontaliers aux citoyens et aux entreprises."
Les nouveaux signataires bénéficieront également de services et outils tels que des logiciels spécialisés et des orientations pour la mise en œuvre de solutions d'administration en ligne, comme le prévoit le plan d'action eEurope 2005.
En échange, les "6 nouveaux" devront contribuer au budget annuel du programme IDA, un budget qui s'élève à 25 millions d'euros.
Il semble que le jeu en vaille la chandelle puisque les autorités hongroises ont récemment annoncé qu'elles allaient signer très prochainement le protocole d'accord pour participer au programme IDA.
Les autres pays en voie d'adhésion, la Lettonie, la Lituanie et la Slovaquie, ainsi que trois pays candidats, la Bulgarie, la Roumanie et la Turquie, devraient également signer ce protocole cette année.