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L'Agence française de sécurité sanitaire environnementale (AFSSE) a rendu public jeudi un avis concernant la relation entre téléphonie mobile et santé publique.
Cet avis, transmis mercredi au parlement et au gouvernement, s'appuie sur le rapport d'un groupe "d'experts indépendants" dirigé par Bernard VEYRET, Directeur de recherche au CNRS, et sur de nombreuses études d'instituts de recherche et d'organisations de santé qui ont tenté de savoir "si les rayonnements émis par les téléphones portables ont des effets pathologiques sur l'organisme humain."
Le 'rapport VEYRET' "confirme l'absence de risque lié aux antennes-relais", a signalé l'AFSSE dans un communiqué. La toute jeune Agence estime pour sa part que "l'usage d'un téléphone mobile, conforme à sa destination, ne présente pas de risque pour la santé de l'homme, dans l'état actuel des connaissances scientifiques."
L'Agence précise néanmoins sur son site Internet en cours de construction (www.afsse.fr) que si "il est incontestable que les émissions radio à forte intensité énergétique puissent entraîner des effets biologiques. Dans le cas de la téléphonie mobile en général, la transmission du signal est assurée par des radiofréquences à faible énergie."
En ce qui concerne les antennes-relais, il n'existe "aucun risque compte tenu des niveaux d'exposition plus faibles que ceux des téléphones mobiles. Ils sont également 50 à 60 fois plus faibles que les radios et les télévisions qui ont des gammes de fréquence proches", a souligné le Directeur scientifique de l'AFSSE, Denis ZMIROU.
L'absorption de puissance se situerait par conséquent "nettement en deçà des valeurs limites préconisées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Commission internationale de protection contre les rayonnements non-ionisants (ICNIRP)."
Tous Paranos ?
Inaugurée fin novembre 2002 par la ministre de l'écologie et du développement durable, Roselyne BACHELOT-NARQUIN, l'AFSSE a pour missions de : "rassembler l'information scientifique sur les dangers et les risques liés à la qualité des milieux de vie, conseiller les pouvoirs publics sur les mesures de nature à maîtriser ces risques, apporter au public des informations validées sur les relations entre la santé et la qualité de l'environnement."
Cet avis, transmis mercredi au parlement et au gouvernement, s'appuie sur le rapport d'un groupe "d'experts indépendants" dirigé par Bernard VEYRET, Directeur de recherche au CNRS, et sur de nombreuses études d'instituts de recherche et d'organisations de santé qui ont tenté de savoir "si les rayonnements émis par les téléphones portables ont des effets pathologiques sur l'organisme humain."
Le 'rapport VEYRET' "confirme l'absence de risque lié aux antennes-relais", a signalé l'AFSSE dans un communiqué. La toute jeune Agence estime pour sa part que "l'usage d'un téléphone mobile, conforme à sa destination, ne présente pas de risque pour la santé de l'homme, dans l'état actuel des connaissances scientifiques."
L'Agence précise néanmoins sur son site Internet en cours de construction (www.afsse.fr) que si "il est incontestable que les émissions radio à forte intensité énergétique puissent entraîner des effets biologiques. Dans le cas de la téléphonie mobile en général, la transmission du signal est assurée par des radiofréquences à faible énergie."
En ce qui concerne les antennes-relais, il n'existe "aucun risque compte tenu des niveaux d'exposition plus faibles que ceux des téléphones mobiles. Ils sont également 50 à 60 fois plus faibles que les radios et les télévisions qui ont des gammes de fréquence proches", a souligné le Directeur scientifique de l'AFSSE, Denis ZMIROU.
L'absorption de puissance se situerait par conséquent "nettement en deçà des valeurs limites préconisées par l'Organisation mondiale de la santé (OMS) et la Commission internationale de protection contre les rayonnements non-ionisants (ICNIRP)."
Tous Paranos ?
Inaugurée fin novembre 2002 par la ministre de l'écologie et du développement durable, Roselyne BACHELOT-NARQUIN, l'AFSSE a pour missions de : "rassembler l'information scientifique sur les dangers et les risques liés à la qualité des milieux de vie, conseiller les pouvoirs publics sur les mesures de nature à maîtriser ces risques, apporter au public des informations validées sur les relations entre la santé et la qualité de l'environnement."
