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AB - Monsieur VIGNEAU bonjour. Quel a été votre parcours avant d'intégrer la direction de Transatel au poste de responsable marketing & développement ?
PV - J'ai fait mes armes chez Xerox pour ensuite rejoindre American Express et me suis occupé du développement des partenariats.
Après une expérience avec un groupe télécoms étranger, j'ai très rapidement rejoint Transatel car leur offre de service, avoir accès à un opérateur mobile réellement dédié aux personnes voyageant fréquemment d'un pays à un autre, me paraissait coller parfaitement aux besoins du marché.
AB - Transatel s'appuie sur les réseaux d'opérateurs mobiles, Bouygues Telecom, Base et T-Mobile, pour proposer ses services. Peut-on dire que Transatel est un "opérateur GSM virtuel" pour voyageurs fréquents ?
PV - Nous commercialisons une offre de téléphonie mobile comme le fait tout autre opérateur. Nous nous appuyons en effet sur les réseaux d'opérateurs existants pour développer une offre tarifaire très agressive et un bouquet de services vraiment innovants.
AB - Quelles sont les prestations proposées et qu'en est-il de votre offre GPRS ?
PV - Notre offre est avant toute chose tarifaire, puisque nos tarifs de communication à l'étranger sont jusqu'à 4 fois inférieurs aux coûts de roaming habituels.
A l'intérieur de notre "zone privilège", les appels entrants ainsi que les appels à la messagerie sont gratuits.
Nous proposons également un service très simple permettant à nos abonnés de pouvoir consulter leur messagerie vocale ou recevoir des fax à partir de n'importe quel point d'accès Internet.
Ainsi notre abonné peut-il consulter sa messagerie vocale de n'importe quel point du monde, même s'il n'y a pas de couverture réseau GSM où il se trouve.
Nous offrons également à nos abonnés un accès direct à toute une palette de services liés au voyage : Réservation de taxis, compagnies aériennes, livraisons à domicile... 'un taxi à Londres, à Bruxelles ? Pas de problème tout est dans votre téléphone.'
La liste est encore longue : téléchargement du répertoire téléphonique, consultation des factures en ligne, un numéro de téléphone par pays, etc.
Pour ce qui est de notre offre GPRS, nous avons favorisé une solution technologique de carte GPRS PCMCIA plus adaptée aux voyageurs fréquents.
Notre offre tarifaire GPRS permettra bientôt à nos abonnés d'être connectés en France et en Belgique à moindre coût.
AB - Comment fonctionne le service Transatel (plate-forme interne, transfert des appels, cartes SIM, etc.) ?
PV - Nous développons bien sur nos propres cartes SIM en collaboration avec Gemplus.
Nous avons développé une technologie de carte SIM particulière, permettant à nos abonnés d'être reconnus comme des utilisateurs mobiles locaux dans chacun des pays 'Transatel' dans lesquels ils se trouvent. Nos utilisateurs sont ainsi sur le réseau virtuel Transatel dans chacun des pays où nous avons des accords.
AB - La France, la Belgique, et le Royaume-Uni forment une "zone privilège" sur laquelle Transatel affirme proposer des réductions drastiques de tarifs. Pouvez-vous donner quelques exemples ?
PV - Nos tarifs sont en effet très peu chers. Par exemple, la réception d'appels et la consultation de la messagerie sont gratuites dans tous ces pays, alors qu'elles sont habituellement facturées près de 1 euro la minute.
Une personne appelant de Londres son client sera facturée 0,20 euro la minute au lieu de 1 euro. Si de Londres, cette personne rappelle en France, cela ne lui coûtera que 40 cents la minute au lieu de 1 euro.
AB - Quelle est la part des revenus générés par les partenariats 'roaming', d'une part, la prestation et la commercialisation de vos services, d'autre part ?
PV - Nous avons, en effet, développé un savoir faire technologique dans la téléphonie mobile qui nous a permis également de vendre de la prestation intellectuelle.
Compte tenu de notre savoir faire, nous avons dorénavant une équipe de consultants travaillant pour de nombreuses grandes entreprises sur des projets d'applications liés à la téléphonie mobile.
Ce département prend une part grandissante dans notre chiffre d'affaires.
AB - Envisagez-vous d'étendre votre offre à d'autres pays européens ?
PV - Nos cartes SIM fonctionnent dans plus de 160 pays aux conditions de roaming habituelles.
Notre zone privilège est actuellement constituée de la France, de la Grande-Bretagne, et de la Belgique.
Nous pourrons très rapidement offrir à nos abonnés des accès privilégiés au Luxembourg, aux Pays-Bas, en Irlande, en Allemagne et en Suisse. D'autres pays suivront ensuite notamment en Europe du Nord et du Sud.
AB - Quels sont les principaux objectifs de Transatel pour les années à venir ?
PV - Nous travaillons sur un segment de marché particulier : les voyageurs fréquents. Transatel a pour objectif d'être reconnu comme l'opérateur mobile dédié à cette cible dans chacun des pays où nous sommes présents.
Le succès que nous rencontrons actuellement sur le marché belge témoigne de la forte attente de notre niche de marché. Nous entendons satisfaire cette attente.
AB - Monsieur VIGNEAU, je vous remercie.
PV - J'ai fait mes armes chez Xerox pour ensuite rejoindre American Express et me suis occupé du développement des partenariats.
Après une expérience avec un groupe télécoms étranger, j'ai très rapidement rejoint Transatel car leur offre de service, avoir accès à un opérateur mobile réellement dédié aux personnes voyageant fréquemment d'un pays à un autre, me paraissait coller parfaitement aux besoins du marché.
AB - Transatel s'appuie sur les réseaux d'opérateurs mobiles, Bouygues Telecom, Base et T-Mobile, pour proposer ses services. Peut-on dire que Transatel est un "opérateur GSM virtuel" pour voyageurs fréquents ?
PV - Nous commercialisons une offre de téléphonie mobile comme le fait tout autre opérateur. Nous nous appuyons en effet sur les réseaux d'opérateurs existants pour développer une offre tarifaire très agressive et un bouquet de services vraiment innovants.
AB - Quelles sont les prestations proposées et qu'en est-il de votre offre GPRS ?
PV - Notre offre est avant toute chose tarifaire, puisque nos tarifs de communication à l'étranger sont jusqu'à 4 fois inférieurs aux coûts de roaming habituels.
A l'intérieur de notre "zone privilège", les appels entrants ainsi que les appels à la messagerie sont gratuits.
Nous proposons également un service très simple permettant à nos abonnés de pouvoir consulter leur messagerie vocale ou recevoir des fax à partir de n'importe quel point d'accès Internet.
Ainsi notre abonné peut-il consulter sa messagerie vocale de n'importe quel point du monde, même s'il n'y a pas de couverture réseau GSM où il se trouve.
Nous offrons également à nos abonnés un accès direct à toute une palette de services liés au voyage : Réservation de taxis, compagnies aériennes, livraisons à domicile... 'un taxi à Londres, à Bruxelles ? Pas de problème tout est dans votre téléphone.'
La liste est encore longue : téléchargement du répertoire téléphonique, consultation des factures en ligne, un numéro de téléphone par pays, etc.
Pour ce qui est de notre offre GPRS, nous avons favorisé une solution technologique de carte GPRS PCMCIA plus adaptée aux voyageurs fréquents.
Notre offre tarifaire GPRS permettra bientôt à nos abonnés d'être connectés en France et en Belgique à moindre coût.
AB - Comment fonctionne le service Transatel (plate-forme interne, transfert des appels, cartes SIM, etc.) ?
PV - Nous développons bien sur nos propres cartes SIM en collaboration avec Gemplus.
Nous avons développé une technologie de carte SIM particulière, permettant à nos abonnés d'être reconnus comme des utilisateurs mobiles locaux dans chacun des pays 'Transatel' dans lesquels ils se trouvent. Nos utilisateurs sont ainsi sur le réseau virtuel Transatel dans chacun des pays où nous avons des accords.
AB - La France, la Belgique, et le Royaume-Uni forment une "zone privilège" sur laquelle Transatel affirme proposer des réductions drastiques de tarifs. Pouvez-vous donner quelques exemples ?
PV - Nos tarifs sont en effet très peu chers. Par exemple, la réception d'appels et la consultation de la messagerie sont gratuites dans tous ces pays, alors qu'elles sont habituellement facturées près de 1 euro la minute.
Une personne appelant de Londres son client sera facturée 0,20 euro la minute au lieu de 1 euro. Si de Londres, cette personne rappelle en France, cela ne lui coûtera que 40 cents la minute au lieu de 1 euro.
AB - Quelle est la part des revenus générés par les partenariats 'roaming', d'une part, la prestation et la commercialisation de vos services, d'autre part ?
PV - Nous avons, en effet, développé un savoir faire technologique dans la téléphonie mobile qui nous a permis également de vendre de la prestation intellectuelle.
Compte tenu de notre savoir faire, nous avons dorénavant une équipe de consultants travaillant pour de nombreuses grandes entreprises sur des projets d'applications liés à la téléphonie mobile.
Ce département prend une part grandissante dans notre chiffre d'affaires.
AB - Envisagez-vous d'étendre votre offre à d'autres pays européens ?
PV - Nos cartes SIM fonctionnent dans plus de 160 pays aux conditions de roaming habituelles.
Notre zone privilège est actuellement constituée de la France, de la Grande-Bretagne, et de la Belgique.
Nous pourrons très rapidement offrir à nos abonnés des accès privilégiés au Luxembourg, aux Pays-Bas, en Irlande, en Allemagne et en Suisse. D'autres pays suivront ensuite notamment en Europe du Nord et du Sud.
AB - Quels sont les principaux objectifs de Transatel pour les années à venir ?
PV - Nous travaillons sur un segment de marché particulier : les voyageurs fréquents. Transatel a pour objectif d'être reconnu comme l'opérateur mobile dédié à cette cible dans chacun des pays où nous sommes présents.
Le succès que nous rencontrons actuellement sur le marché belge témoigne de la forte attente de notre niche de marché. Nous entendons satisfaire cette attente.
AB - Monsieur VIGNEAU, je vous remercie.
