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NTT DoCoMo, premier opérateur mobile japonais, a annoncé lundi une légère augmentation du revenu moyen par abonné (ARPU - average revenue per user) entre le second et le troisième trimestre de son exercice 2002-03.
Cette augmentation ne dépasse pas 0,37%, soit un revenu moyen de 8200 yens par abonné à ses services mobiles. DoCoMo estime même, depuis novembre dernier, que ce chiffre ne devrait pas dépasser 8030 yens sur l'ensemble de l'exercice 2002-03.
Comme ses concurrents, KDDI et J-Phone, la filiale de NTT doit faire face à la saturation du marché nippon de la téléphonie mobile.
KDDI, le deuxième opérateur mobile du Japon, a également revu à la baisse ses prévisions 2002-03 de revenu moyen par abonné (7520 au lieu de 7900 yens).
Il faut toutefois noter que le service 3G ("FOMA") de DoCoMo, qui a tant de mal à obtenir les faveurs du grand public depuis son lancement, a généré un ARPU plus important au troisième trimestre qu'au second (7750 contre 7250 yens), la progression de 6,9% n'est pas négligeable.
Lancé en octobre 2001, le service 3G de DoCoMo est basé sur la norme Wideband CDMA et supporte des débits de 64 Kbit/s à 384 Kbit/s.
Fin octobre 2002, l'opérateur comptait quelques 140 000 abonnés FOMA, soit moins d'un dixième de la clientèle 3G de KDDI, qui avait pourtant lancé son service six mois après celui de la filiale mobile de NTT.
Mi-janvier 2003, NTT DoCoMo a annoncé qu'il allait participer au financement des combinés de troisième génération afin de dynamiser la demande pour son service 3G.
Le prix trop élevé des combinés, mais aussi leur manque d'autonomie, et surtout la couverture limitée du réseau 3G de DoCoMo ont freiné la croissance du nombre d'abonnés à son service FOMA.
L'opérateur cherche le moyen d'assurer un relais à son i-mode, norme propriétaire utilisant un réseau cellulaire numérique de seconde génération (débit maximal 9,6 Kbits/s), qui séduit plus de 35 millions d'abonnés au Japon.
Dans ces conditions, DoCoMo va-t-il pouvoir atteindre 320 000 abonnés 3G fin mars 2003, contre 1,38 million de clients prévus initialement ?
Cette augmentation ne dépasse pas 0,37%, soit un revenu moyen de 8200 yens par abonné à ses services mobiles. DoCoMo estime même, depuis novembre dernier, que ce chiffre ne devrait pas dépasser 8030 yens sur l'ensemble de l'exercice 2002-03.
Comme ses concurrents, KDDI et J-Phone, la filiale de NTT doit faire face à la saturation du marché nippon de la téléphonie mobile.
KDDI, le deuxième opérateur mobile du Japon, a également revu à la baisse ses prévisions 2002-03 de revenu moyen par abonné (7520 au lieu de 7900 yens).
Il faut toutefois noter que le service 3G ("FOMA") de DoCoMo, qui a tant de mal à obtenir les faveurs du grand public depuis son lancement, a généré un ARPU plus important au troisième trimestre qu'au second (7750 contre 7250 yens), la progression de 6,9% n'est pas négligeable.
Lancé en octobre 2001, le service 3G de DoCoMo est basé sur la norme Wideband CDMA et supporte des débits de 64 Kbit/s à 384 Kbit/s.
Fin octobre 2002, l'opérateur comptait quelques 140 000 abonnés FOMA, soit moins d'un dixième de la clientèle 3G de KDDI, qui avait pourtant lancé son service six mois après celui de la filiale mobile de NTT.
Mi-janvier 2003, NTT DoCoMo a annoncé qu'il allait participer au financement des combinés de troisième génération afin de dynamiser la demande pour son service 3G.
Le prix trop élevé des combinés, mais aussi leur manque d'autonomie, et surtout la couverture limitée du réseau 3G de DoCoMo ont freiné la croissance du nombre d'abonnés à son service FOMA.
L'opérateur cherche le moyen d'assurer un relais à son i-mode, norme propriétaire utilisant un réseau cellulaire numérique de seconde génération (débit maximal 9,6 Kbits/s), qui séduit plus de 35 millions d'abonnés au Japon.
Dans ces conditions, DoCoMo va-t-il pouvoir atteindre 320 000 abonnés 3G fin mars 2003, contre 1,38 million de clients prévus initialement ?
