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L'Europe va-t-elle adopter le vote en ligne ? En attendant cette adoption, certains pays de l'UE expérimentent le vote électronique.
En France, il s'agit plus à l'heure actuelle de tester la fiabilité du système comme à Vandoeuvre-Lès-Nancy (54) lors des présidentielles, plutôt que le vote à distance : l'ordinateur avec accès à Internet est placé dans l'isoloir d'un bureau de vote, l'électeur doit se déplacer.
Le Royaume-Uni en revanche a franchi le pas à l'occasion d'élections locales, l'objectif premier étant de limiter l'abstention.
Certains électeurs de Sheffield, Liverpool et Chester ont eu la possibilité de voter par le biais d'Internet depuis leur domicile, ou par téléphone mobile ou encore depuis des kiosques à écrans tactiles répartis dans ces communes.
A Sheffield, moins de 40 000 personnes inscrites sur les listes électorales ont été choisies par la mairie pour participer au test qui a débuté le 27 avril dernier. Ces électeurs ont une semaine pour voter à distance.
Le gouvernement britannique a investi 3,5 millions de livres dans ces tests et prévu un budget de 350 millions de livres pour son programme de vote via Internet.
"Les retours que nous avons eus ont été très positifs. Les gens apprécient d'avoir une semaine entière pour voter. Quoiqu'il en soit, la tendance pour les élections locales reste à la baisse du taux de participation. Si nous maintenons le niveau des dernières élections, nous serons contents", a signalé à Reuters Ken BELLAMY, Directeur de l'information et de la communication à la mairie de Sheffield.
Au Royaume-Uni, le vote à distance via Internet pour une élection générale ne devrait pas être autorisé avant 2006, le temps que les infrastructures et la législation suivent.
En France, il s'agit plus à l'heure actuelle de tester la fiabilité du système comme à Vandoeuvre-Lès-Nancy (54) lors des présidentielles, plutôt que le vote à distance : l'ordinateur avec accès à Internet est placé dans l'isoloir d'un bureau de vote, l'électeur doit se déplacer.
Le Royaume-Uni en revanche a franchi le pas à l'occasion d'élections locales, l'objectif premier étant de limiter l'abstention.
Certains électeurs de Sheffield, Liverpool et Chester ont eu la possibilité de voter par le biais d'Internet depuis leur domicile, ou par téléphone mobile ou encore depuis des kiosques à écrans tactiles répartis dans ces communes.
A Sheffield, moins de 40 000 personnes inscrites sur les listes électorales ont été choisies par la mairie pour participer au test qui a débuté le 27 avril dernier. Ces électeurs ont une semaine pour voter à distance.
Le gouvernement britannique a investi 3,5 millions de livres dans ces tests et prévu un budget de 350 millions de livres pour son programme de vote via Internet.
"Les retours que nous avons eus ont été très positifs. Les gens apprécient d'avoir une semaine entière pour voter. Quoiqu'il en soit, la tendance pour les élections locales reste à la baisse du taux de participation. Si nous maintenons le niveau des dernières élections, nous serons contents", a signalé à Reuters Ken BELLAMY, Directeur de l'information et de la communication à la mairie de Sheffield.
Au Royaume-Uni, le vote à distance via Internet pour une élection générale ne devrait pas être autorisé avant 2006, le temps que les infrastructures et la législation suivent.
