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Après avoir espéré et annoncé retrouver le chemin de la rentabilité pour cette année, le géant suédois Ericsson a avoué ce lundi qu'il resterait dans le rouge sur l'ensemble de l'exercice 2002, faute de redressement du marché des telecoms avant le second semestre.
Sur les seuls trois premiers mois de l'année, la perte avant impôts s'élève à 5,4 milliards de couronnes (588 millions d'euros), contre 4,9 milliards de pertes attendues par les marchés financiers.
Concernant le chiffre d'affaires du groupe, il a subi un net recul de 25,7% sur un an, à 37 milliards de couronnes contre 49,8 milliards au premier trimestre 2001 tandis que les commandes affichent une diminution de 40%.
Ericsson, premier producteur mondial de réseaux mobiles, est aussi le troisième fournisseur mondial de combinés avec le japonais Sony, depuis la création en octobre 2001, d'une coentreprise pour fabriquer des téléphones portables.
Le groupe suédois avait déjà supprimé l'an dernier 22.000 emplois, soit un tiers de ses effectifs. Il a indiqué qu'il procéderait à la suppression de près de 20.000 emplois supplémentaires d'ici la fin 2003, date à laquelle il espère désormais renouer avec les bénéfices.
par ailleurs, l'équipementier de téléphonie mobile Ericsson a indiqué que les prévisions de ventes de combinés en 2002, pour l'ensemble du secteur, tendaient vers le bas de la fourchette de 400 à 420 millions, confirmant les chiffres revus à la baisse et annoncés par Nokia, son grand concurrent finlandais, la semaine passée.
L'annonce d'Ericsson a fait l'effet d'une bombe sur les marchés financiers. Le titre a perdu plus de 25% en une journée à la Bourse de Paris, affichant la plus forte baisse du SRD.
Sur les seuls trois premiers mois de l'année, la perte avant impôts s'élève à 5,4 milliards de couronnes (588 millions d'euros), contre 4,9 milliards de pertes attendues par les marchés financiers.
Concernant le chiffre d'affaires du groupe, il a subi un net recul de 25,7% sur un an, à 37 milliards de couronnes contre 49,8 milliards au premier trimestre 2001 tandis que les commandes affichent une diminution de 40%.
Ericsson, premier producteur mondial de réseaux mobiles, est aussi le troisième fournisseur mondial de combinés avec le japonais Sony, depuis la création en octobre 2001, d'une coentreprise pour fabriquer des téléphones portables.
Le groupe suédois avait déjà supprimé l'an dernier 22.000 emplois, soit un tiers de ses effectifs. Il a indiqué qu'il procéderait à la suppression de près de 20.000 emplois supplémentaires d'ici la fin 2003, date à laquelle il espère désormais renouer avec les bénéfices.
par ailleurs, l'équipementier de téléphonie mobile Ericsson a indiqué que les prévisions de ventes de combinés en 2002, pour l'ensemble du secteur, tendaient vers le bas de la fourchette de 400 à 420 millions, confirmant les chiffres revus à la baisse et annoncés par Nokia, son grand concurrent finlandais, la semaine passée.
L'annonce d'Ericsson a fait l'effet d'une bombe sur les marchés financiers. Le titre a perdu plus de 25% en une journée à la Bourse de Paris, affichant la plus forte baisse du SRD.