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La Cour des Comptes utilise la solution de recherche intranet/Internet en langage naturel de l'éditeur français Technologies-GID.
La Cour des Comptes, autorité française de contrôle des comptes publics, a intégré le logiciel de recherche en langage naturel Spirit V2 de l'éditeur courbevoisien Technologies-GID.
Marie-Thérèse LECROISEY, en charge du département archives de l'institution, remarque : «A la base, nous cherchions un outil de rationalisation nécessaire pour nos archivages afin de centraliser les ressources disponibles pour chaque magistrat de la Cour.»
Pourquoi avoir fait le choix de Spirit V2 ? «Pour la simplicité de mise en œuvre du produit pour un néophyte, la transparence dans l'intégration de cette solution au sein de nos bases de données existantes, et la robustesse du système», précise Madame LECROISEY.
«En fait, nous avons testé neuf systèmes. Spirit a emporté la décision finale car mieux adapté à nos besoins spécifiques et notamment, la facilité d'emploi pour les postes clients souvent peu expérimentés en recherche intranet/Internet. Le langage naturel utilisé s'est avéré un point essentiel pour obtenir l'adhésion des magistrats», ajoute-t-elle.
Spirit «se fond» dans le système de gestion de bases de données (SGBD) existant, dans le cas présent, d'un système de GED (gestion électronique de documents) ou bien encore d'un site web.
Pour Marie-Thérèse LECROISEY, la difficulté n'est pas de stocker l'information mais bien de la retrouver : «Lorsque l'on gère plusieurs dizaines de milliers de pages de texte, cela devient très vite un problème conséquent.»
Spirit intègre des options multilingues, un dictionnaire d'environ 500 000 entrées et des algorithmes d'analyse syntaxique et sémantique.
La Cour des comptes souhaite que ses chambres régionales (CRC) puissent disposer à l'avenir d'un accès à son extranet.
La Cour des Comptes, autorité française de contrôle des comptes publics, a intégré le logiciel de recherche en langage naturel Spirit V2 de l'éditeur courbevoisien Technologies-GID.
Marie-Thérèse LECROISEY, en charge du département archives de l'institution, remarque : «A la base, nous cherchions un outil de rationalisation nécessaire pour nos archivages afin de centraliser les ressources disponibles pour chaque magistrat de la Cour.»
Pourquoi avoir fait le choix de Spirit V2 ? «Pour la simplicité de mise en œuvre du produit pour un néophyte, la transparence dans l'intégration de cette solution au sein de nos bases de données existantes, et la robustesse du système», précise Madame LECROISEY.
«En fait, nous avons testé neuf systèmes. Spirit a emporté la décision finale car mieux adapté à nos besoins spécifiques et notamment, la facilité d'emploi pour les postes clients souvent peu expérimentés en recherche intranet/Internet. Le langage naturel utilisé s'est avéré un point essentiel pour obtenir l'adhésion des magistrats», ajoute-t-elle.
Spirit «se fond» dans le système de gestion de bases de données (SGBD) existant, dans le cas présent, d'un système de GED (gestion électronique de documents) ou bien encore d'un site web.
Pour Marie-Thérèse LECROISEY, la difficulté n'est pas de stocker l'information mais bien de la retrouver : «Lorsque l'on gère plusieurs dizaines de milliers de pages de texte, cela devient très vite un problème conséquent.»
Spirit intègre des options multilingues, un dictionnaire d'environ 500 000 entrées et des algorithmes d'analyse syntaxique et sémantique.
La Cour des comptes souhaite que ses chambres régionales (CRC) puissent disposer à l'avenir d'un accès à son extranet.
