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A 1 centime d'euro le kilo octet transféré, le i-mode européen de E-plus fixe des tarifs gprs plutôt élevés... le minitel mobile est-il né ?
L'internet mobile ne va pas réduire la "fracture numérique". Opérateur mobile allemand, filiale de KPN, E-plus dévoile sa politique tarifaire pour "son" i-mode, cette technologie internet mobile particulièrement populaire au japon sur le réseau de NTT DoCoMo.
Lancé à partir du 16 mars sur le réseau gprs de l'opérateur, le i-mode adopte comme prévu un mode de facturation au débit, et non à la durée. L'abonnement de base coûte 3 € par mois (pour un abonnement minimum de 6 mois) auquel il faut ajouter le coût du transfert de données.
Les données "non surtaxées" coûtent 0.01€ par kilo octet transféré. Les e-mails ("i-mail") sont facturés différement et coûtent .. 0.19 euros, soit plus cher qu'un SMS, mais disposent d'un volume de 1.000 caractères contre 160 pour un mini message.
L'abonnement aux sites i-mode surtaxés coûte de 0.25 à 2 euros supplémentaires par mois, en plus du transfert des données. A son lancement, e-plus revendique 500 sites, réalisés par près de 60 partenaires éditoriaux, touchant 86% de la surfacturation.
Les sites i-modes sont hébergés chez les éditeurs mais doivent retenir la solution de paiement E-plus/i-mode, fonctionnant à l'aide d'un simple identifiant à 4 chiffres. Un principe finalement très proche de celui du porte monnaie virtuel iPin, retenu par Orange ou encore Vodaphone.
Le i-mode sera lancé avec le téléphone Nec 21i, disposant d'un écran 120*160 de 256 couleurs, de sonneries polyphoniques et d'un navigateur web/wap, le tout vendu 249 € pour un abonnement de 24 mois.
Infiniment plus séduisant que le SMS+, le SMS surtaxé prôné par les 3 opérateurs français, le i-mode allemand coûte donc aussi cher que le GPRS de SFR par exemple, mais propose une solution intéressante pour les éditeurs de contenu "mobile". Reste à savoir si les mobinautes allemands seront au rendez-vous...
L'internet mobile ne va pas réduire la "fracture numérique". Opérateur mobile allemand, filiale de KPN, E-plus dévoile sa politique tarifaire pour "son" i-mode, cette technologie internet mobile particulièrement populaire au japon sur le réseau de NTT DoCoMo.
Lancé à partir du 16 mars sur le réseau gprs de l'opérateur, le i-mode adopte comme prévu un mode de facturation au débit, et non à la durée. L'abonnement de base coûte 3 € par mois (pour un abonnement minimum de 6 mois) auquel il faut ajouter le coût du transfert de données.
Les données "non surtaxées" coûtent 0.01€ par kilo octet transféré. Les e-mails ("i-mail") sont facturés différement et coûtent .. 0.19 euros, soit plus cher qu'un SMS, mais disposent d'un volume de 1.000 caractères contre 160 pour un mini message.
L'abonnement aux sites i-mode surtaxés coûte de 0.25 à 2 euros supplémentaires par mois, en plus du transfert des données. A son lancement, e-plus revendique 500 sites, réalisés par près de 60 partenaires éditoriaux, touchant 86% de la surfacturation.
Les sites i-modes sont hébergés chez les éditeurs mais doivent retenir la solution de paiement E-plus/i-mode, fonctionnant à l'aide d'un simple identifiant à 4 chiffres. Un principe finalement très proche de celui du porte monnaie virtuel iPin, retenu par Orange ou encore Vodaphone.
Le i-mode sera lancé avec le téléphone Nec 21i, disposant d'un écran 120*160 de 256 couleurs, de sonneries polyphoniques et d'un navigateur web/wap, le tout vendu 249 € pour un abonnement de 24 mois.
Infiniment plus séduisant que le SMS+, le SMS surtaxé prôné par les 3 opérateurs français, le i-mode allemand coûte donc aussi cher que le GPRS de SFR par exemple, mais propose une solution intéressante pour les éditeurs de contenu "mobile". Reste à savoir si les mobinautes allemands seront au rendez-vous...