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Malgré les difficultés, l'économie des TIC se développe dans les pays arabes, des Emirats au Liban.
D'après le cabinet d'études Gartner, l'économie liée à Internet se développe dans les pays arabes, de l'Egypte au Liban, à un rythme moindre cependant qu'en Asie, en Europe et bien sûr qu'aux Etats-Unis.
Malgré le manque de soutien des gouvernements et des hommes d'affaires, certaines entreprises (sites corporate, fournisseurs d'accès, jeunes pousses et web cafés) attirent les investissements étrangers.
Selon Gartner Consultants, les Emirats arabes unis, l'Egypte, le Liban et la Jordanie sont les premiers pays arabes à avoir mis en place les bases légales et financières nécessaires à un tel développement. Des investissements importants dans les télécommunications et l'éducation ont été réalisés.
A l'inverse, resteraient à la traîne : la Syrie et les monarchies du Golfe, à l'exception des Emirats.
Selon une enquête menée par ajeeb.com, un site web d'actualité des Emirats, les pays arabes comptent 240 millions d'habitants, dont 3,5 millions utilisateurs du Net.
Les Emirats arabes unis enregistreraient le taux le plus élevé d'internautes, avec 660 000 usagers (soit 24,4% de sa population totale).
De son côté, la Jordanie a adopté «une approche agressive pour mettre en place un environnement stimulant destiné à attirer les entreprises» affirme le Ministre jordanien des Communications, Fawaz ZOHBI.
L'an dernier, 40% de l'opérateur Jordan Telecom étaient vendus à , afin «d'améliorer l'infrastructure jordanienne et de favoriser l'essor d'Internet.»
En Afrique du Nord, c'est le Maroc qui arrive en tête du marché des TIC après avoir privatisé à 35% son opérateur national de télécommunications et légalisé la concurrence entre fournisseurs d'accès.
Le développement du Net dans les pays arabes est en cours, même si l'utilisation du réseau pour les transactions financières et commerciales reste rare.
D'après le cabinet d'études Gartner, l'économie liée à Internet se développe dans les pays arabes, de l'Egypte au Liban, à un rythme moindre cependant qu'en Asie, en Europe et bien sûr qu'aux Etats-Unis.
Malgré le manque de soutien des gouvernements et des hommes d'affaires, certaines entreprises (sites corporate, fournisseurs d'accès, jeunes pousses et web cafés) attirent les investissements étrangers.
Selon Gartner Consultants, les Emirats arabes unis, l'Egypte, le Liban et la Jordanie sont les premiers pays arabes à avoir mis en place les bases légales et financières nécessaires à un tel développement. Des investissements importants dans les télécommunications et l'éducation ont été réalisés.
A l'inverse, resteraient à la traîne : la Syrie et les monarchies du Golfe, à l'exception des Emirats.
Selon une enquête menée par ajeeb.com, un site web d'actualité des Emirats, les pays arabes comptent 240 millions d'habitants, dont 3,5 millions utilisateurs du Net.
Les Emirats arabes unis enregistreraient le taux le plus élevé d'internautes, avec 660 000 usagers (soit 24,4% de sa population totale).
De son côté, la Jordanie a adopté «une approche agressive pour mettre en place un environnement stimulant destiné à attirer les entreprises» affirme le Ministre jordanien des Communications, Fawaz ZOHBI.
L'an dernier, 40% de l'opérateur Jordan Telecom étaient vendus à , afin «d'améliorer l'infrastructure jordanienne et de favoriser l'essor d'Internet.»
En Afrique du Nord, c'est le Maroc qui arrive en tête du marché des TIC après avoir privatisé à 35% son opérateur national de télécommunications et légalisé la concurrence entre fournisseurs d'accès.
Le développement du Net dans les pays arabes est en cours, même si l'utilisation du réseau pour les transactions financières et commerciales reste rare.
