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Ipsos-Médiangles présente une classification très marketing des internautes : «Les cybertypes» qui prennent en compte des critères socio-démographiques.
Le cabinet d'études marketing sur les nouvelles technologies Ipsos-Médiangles a défini une nouvelle classification d'Internautes : «les cybertypes» utilisant des critères socio-démographiques en plus des classiques âge, sexe et CSP.
Les «basics» (33 % des internautes interrogés) utiliseraient le réseau pour rechercher de l'information et resteraient méfiants à l'égard du commerce électronique. Ils seraient représentés dans toutes les tranches d'âge et toutes les catégories socio-professionnelles.
Les «companions» (22 % des internautes) préfèrent se divertir sur le Net sur mcm.net ou jeuxvideo.com par exemple.
Les «sweet homes» (21 % des utilisateurs du Net), sont des femmes en majorité qui consultent guides d'achat et sites à destination de la famille. Plus d'un tiers d'entre eux achètent en ligne.
Les internautes les plus aisés et les plus intéressés par les nouvelles technologies comptent parmi les «experts» (13% des utilisateurs) et les «traders» (11%). Les «experts» sont les pionniers du réseau et utilisent Internet au quotidien. Les seconds s'intéressent de près aux sites d'actualité financière et aux offres boursières.
Cette étude sur les cybertypes a été réalisée en décembre dernier auprès de 29 388 Internautes, et de 4 981 personnes contactées par téléphone. Elle sera renouvelée deux fois l'an.
Pour Louis ROUGIER, Directeur général de Ipsos-Médiangles «les implications de cette approche typologique sont multiples : développement de services personnalisés, optimisation des politiques de communication, média-planning ajusté par affinité avec les types recherchés.»
Quel est l'intérêt concret de ces nouveaux critères, pourquoi avoir choisi des termes anglais plutôt que français, qui sont les clients ayant déjà opté cette classification ? Mystère.
A noter, de son côté la Sofres a choisi 5 catégories d'internautes (acheteurs en ligne, acheteurs off line, intensionnistes, abandonnistes et non acheteurs) pour sa prochaine étude qui devrait être publiée en mai prochain.
Le cabinet d'études marketing sur les nouvelles technologies Ipsos-Médiangles a défini une nouvelle classification d'Internautes : «les cybertypes» utilisant des critères socio-démographiques en plus des classiques âge, sexe et CSP.
Les «basics» (33 % des internautes interrogés) utiliseraient le réseau pour rechercher de l'information et resteraient méfiants à l'égard du commerce électronique. Ils seraient représentés dans toutes les tranches d'âge et toutes les catégories socio-professionnelles.
Les «companions» (22 % des internautes) préfèrent se divertir sur le Net sur mcm.net ou jeuxvideo.com par exemple.
Les «sweet homes» (21 % des utilisateurs du Net), sont des femmes en majorité qui consultent guides d'achat et sites à destination de la famille. Plus d'un tiers d'entre eux achètent en ligne.
Les internautes les plus aisés et les plus intéressés par les nouvelles technologies comptent parmi les «experts» (13% des utilisateurs) et les «traders» (11%). Les «experts» sont les pionniers du réseau et utilisent Internet au quotidien. Les seconds s'intéressent de près aux sites d'actualité financière et aux offres boursières.
Cette étude sur les cybertypes a été réalisée en décembre dernier auprès de 29 388 Internautes, et de 4 981 personnes contactées par téléphone. Elle sera renouvelée deux fois l'an.
Pour Louis ROUGIER, Directeur général de Ipsos-Médiangles «les implications de cette approche typologique sont multiples : développement de services personnalisés, optimisation des politiques de communication, média-planning ajusté par affinité avec les types recherchés.»
Quel est l'intérêt concret de ces nouveaux critères, pourquoi avoir choisi des termes anglais plutôt que français, qui sont les clients ayant déjà opté cette classification ? Mystère.
A noter, de son côté la Sofres a choisi 5 catégories d'internautes (acheteurs en ligne, acheteurs off line, intensionnistes, abandonnistes et non acheteurs) pour sa prochaine étude qui devrait être publiée en mai prochain.
