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Une commission d'experts, créée à la demande de la Maison Blanche, rejette une partie des modes de scrutins par Internet.
Bill Clinton avait ordonné en décembre 1999 une étude "sur la faisabilité du vote en ligne".
La commission d'experts réunie par la Maison Blanche a rendu son avis ce jour sur la question.
Dans son rapport, la commission rejette la plupart des modes de scrutins électoraux par Internet qu'elle considère comme «une menace à l'intégrité du processus électoral».
Cette commission comprenait juristes, spécialistes en sciences politiques et en informatique. C.D. MOTE, son président remarque : «il n'y a pas de solutions faciles pour le vote sur Internet.» Le vote en ligne est difficile à contrôler puisque les opérations peuvent s'effectuer n'importe où, à l'écart des autorités et des «médiateurs».
Dans les entreprises Outre-Atlantique le vote en ligne est déjà en vigueur. Les grands groupes permettent depuis quelques années à leurs actionnaires de voter sur Internet et certains directoires d'associations professionnelles sont également élus via le web.
Mais en terme de scrutin électoral la commission reste très prudente. Malgré ce rejet, les experts souhaitent que les recherches sur ce sujet soient poursuivies en espérant que les avancées technologiques rendent le réseau plus sûr pour voter.
Les pirates informatiques font peur. La commission ne tient pas à ce que des hackers ne s'introduisent dans les systèmes, espionnent les bulletins, freinent leur validation et pire encore, les modifient.
L'élection présidentielle américaine aurait-elle été plus calamiteuse encore avec la possibilité de voter en ligne ? Pas sûr.
Bill Clinton avait ordonné en décembre 1999 une étude "sur la faisabilité du vote en ligne".
La commission d'experts réunie par la Maison Blanche a rendu son avis ce jour sur la question.
Dans son rapport, la commission rejette la plupart des modes de scrutins électoraux par Internet qu'elle considère comme «une menace à l'intégrité du processus électoral».
Cette commission comprenait juristes, spécialistes en sciences politiques et en informatique. C.D. MOTE, son président remarque : «il n'y a pas de solutions faciles pour le vote sur Internet.» Le vote en ligne est difficile à contrôler puisque les opérations peuvent s'effectuer n'importe où, à l'écart des autorités et des «médiateurs».
Dans les entreprises Outre-Atlantique le vote en ligne est déjà en vigueur. Les grands groupes permettent depuis quelques années à leurs actionnaires de voter sur Internet et certains directoires d'associations professionnelles sont également élus via le web.
Mais en terme de scrutin électoral la commission reste très prudente. Malgré ce rejet, les experts souhaitent que les recherches sur ce sujet soient poursuivies en espérant que les avancées technologiques rendent le réseau plus sûr pour voter.
Les pirates informatiques font peur. La commission ne tient pas à ce que des hackers ne s'introduisent dans les systèmes, espionnent les bulletins, freinent leur validation et pire encore, les modifient.
L'élection présidentielle américaine aurait-elle été plus calamiteuse encore avec la possibilité de voter en ligne ? Pas sûr.
