« Free envisagerait de n'acheter que du matériel chinois financé par la Banque nationale d'exportation chinoise. Est-ce bien opportun au moment où Alcatel rencontre tant de difficultés ? », annonçait alors Jean-Bernard Levy dans le magazine Capital. Résultat : Bouygues Telecom s'est allié à Ericsson pour moderniser son réseau 3G et à Alcatel-Lucent pour tester son réseau « 4G » LTE. Et SFR a préféré s'allier en partie au chinois Huawei, permettant à la société de s'implanter sur le marché français de la téléphonie mobile.
C'est ce qu'indique en effet Latribune.fr, Huawei ayant remplacé Nokia Siemens Networks pour la fourniture de nouvelles stations 2G/3G à SFR dans le sud de la France. Reste à savoir si SFR ou d'autres opérateurs mobiles généraliseront l'utilisation des technologies mobiles de Huawei au sein de leurs réseaux.