L'Ina lancera au printemps 2015 un nouveau service de SVOD qui donnera accès, sur ordinateur et sur tablette, à d'anciens programmes.
L'Institut national de l'audiovisuel (INA) a profité lundi d'une rencontre avec quelques médias, dont l'AFP qui a révélé l'information, pour évoquer le lancement d'un nouveau service de vidéo à la demande sur abonnement (SVOD) au printemps 2015.
L'événement fut l'occasion de faire le point sur la stratégie globale de l'Ina et ce service, qui n'est encore qu'à l'état de projet, n'a pas beaucoup été détaillé. L'AFP a seulement indiqué que le service serait facturé « nettement en-dessous des 8 euros par mois » de Netflix et de CanalPlay, et qu'il proposerait « des programmes produits par les télévisions françaises, surtout publiques, essentiellement des années 60, 70 et 80 », tels que « Belphégor », « Les Rois Maudits », « Les Shadoks » ou « Thierry La Fronde ».
Un service complémentaire à Ina Premium
Contacté par nos soins, l'Institut confirme qu'il développe une nouvelle offre de vidéo à la demande sur abonnement, et qu'elle complètera mais ne remplacera ni le service de téléchargement Ina Boutique, ni le service de SVOD existant Ina Premium.
Alors que ce dernier, facturé 4 euros par mois, n'est disponible que sur les box de Free, de Numericable et de SFR, le futur nouveau service serait accessible d'un ordinateur, via un navigateur Internet, ainsi que depuis des dispositifs mobiles (au moins de tablettes). Le catalogue d'Ina Premium ne serait qu'une partie de la future offre, qui comprendrait plus de 25 000 programmes.
L'Ina détaillera ce service au début de l'année 2015, en prévision d'un lancement au mois de mars.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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