Après un premier Pixel Fold réussi, mais perfectible, et un Pixel 9 Pro Fold qui avait fait forte impression, Google remet cela avec le Pixel 10 Pro Fold.
Il s’attaque frontalement au Galaxy Z Fold 7 de Samsung avec un argument massue : un prix de lancement de 1 799€, soit 300€ en dessous de son rival coréen. Est-ce suffisant pour convaincre un acheteur potentiel ? Afin de le savoir, on l’a testé pendant 3 semaines.
- Excellents écrans
- Autonomie (enfin!)
- Certification IP68
- Qualité photographique
- 7 ans de mise à jour OS + sécurité
- Pas de changement de design
- La puce Tensor G5 moins puissante que ses concurrentes directes
- Épais et lourd par rapport à Honor et Samsung
Design & ergonomie : pas de révolution
Le Pixel 10 Pro Fold ne révolutionne pas le design inauguré l’an passé. Google a choisi la prudence en conservant les grandes lignes du Pixel 9 Pro Fold, et c’est finalement assez logique.
Avec ses 258 grammes sur la balance et ses dimensions de 155,2 x 76,3 x 10,8 mm une fois replié, il reste dans la moyenne haute des pliables actuels. Samsung fait mieux avec son Z Fold 7 (215 g), tout comme Honor et son Magic V5 (217 g). Cela dit, on s’habitue rapidement à ce gabarit, et la répartition du poids reste équilibrée.

Google devient le premier constructeur à proposer un smartphone pliant conforme IP68. À côté, la certification IP48 du Galaxy Z Fold 7 fait pâle figure. On peut emmener son Pixel 10 Pro Fold à la plage, sous la pluie, ou simplement arrêter de stresser quand on le range dans un sac pas très clean.
La charnière a été revue afin de se débarrasser des engrenages. On sent la différence à l’usage : le mécanisme, fait d’un alliage métallique, est plus fluide et inspire davantage confiance sur la durée. Google précise que la charnière peut durer 10 ans en utilisation normale. L’appareil peut tenir ouvert à n’importe quel angle, ce qui reste pratique pour les visioconférences ou regarder une vidéo en mode « tente ».
La face arrière conserve son verre mat soyeux avec son agréable finition satinée. Les deux coloris proposés, Moonstone (gris clair) et Jade (vert d’eau), sont d’une élégance discrète. La caméra dorsale est logée dans un bloc rectangulaire proéminent et rappelle celle du Pixel 10 Pro XL : on aime ou l’on n’aime pas.
L’écran externe de 6,4" (contre 6,3" l’an passé) adopte un ratio 20:9 le rapprochant de celui d’un smartphone classique. Pour les messages rapides ou pour consulter ses notifications, ça fait largement l’affaire. Les tranches en aluminium inspirent la solidité et offrent une excellente finition. Pas de surprise au niveau des touches mécaniques, logées sur le flanc droit. En plus du contrôle du volume, on trouve l’inévitable poussoir de mise sous tension abritant le lecteur d’empreintes digitales.
Deux écrans, deux (bonnes) ambiances
L’écran externe de 6,4" (16,3 cm de diagonale) possède une définition de 1 080 points par 2 364 (densité de 408 ppp). Sa dalle Actua supporte un taux de rafraîchissement variable entre 60 et 120 Hz, protégée par du Gorilla Glass Victus 2. Google annonce une luminosité maximale de 2 000 nits (3 000 nits en pic HDR). Dans les faits, la lisibilité s’avère excellente, y compris en plein soleil.
L’écran interne est fabriqué autour d’une dalle Super Actua Flex LTPO de 8 pouces (20,3 cm) affichant 2 076 x 2 152 pixels (densité de 373 ppp). Le format quasi carré (ratio 1,03 : 1) offre un bel espace de travail pour le multitâche ou la consultation de contenus. La fréquence de rafraîchissement varie entre 1 et 120 Hz. Sa protection est assurée par une feuille de verre « Ultra Thin Glass », plus agréable au toucher que les films plastiques de première génération.
La marque du pli reste visible. Selon l’angle de vue et l’éclairage, on distingue la ligne centrale qui court sur l’écran. Au toucher, on la sent légèrement, mais beaucoup moins que sur le modèle précédent. En fait, on l’oublie au bout de quelques jours. La luminosité maxi peut atteindre 3000 nits en pic HDR, ce qui permet d’obtenir une image visible en toute circonstance.
Les couleurs sont fidèles, avec une colorimétrie bien calibrée en sortie d’usine. Google propose plusieurs profils d’affichage, le « naturel » étant à notre avis le plus proche de la réalité. L’espace colorimétrique DCI-P3 est couvert à 100%, et le contraste infini de l’OLED fait des merveilles sur les scènes sombres. Qu’il s’agisse de travailler ou de regarder des vidéos, c’est un vrai régal. Certes, le format carré de l’écran interne oblige parfois à composer avec des bandes noires et, dans certains cas, on peut passer sur l’affichage externe pour un rendu identique.
Performances & Autonomie : du très bon… mais pas que !
Performances : le Tensor G5 se cherche encore
Google a équipé son Pixel 10 Pro Fold du Tensor G5, la cinquième itération de sa puce maison gravée en 3 nm par TSMC. Couplé à 16 Go de mémoire vive et à du stockage UFS 4.0 (256 Go pour notre exemplaire de test), l’appareil devrait en théorie fournir de belles performances.
En pratique, c’est un peu plus nuancé, comme le montrent les résultats de notre habituelle batterie de test. Le Pixel 10 Pro Fold obtient ainsi 1 504 540 points au test AnTuTu qui évalue la puissance globale. GeekBench le crédite de 6 147 points en fonctionnement multi-cœur et 2 294 points en mono-cœur. Enfin, il récolte 3 264 points au test graphique Wild Life Extreme de 3DMark Mobile.
Ces résultats placent le Pixel 10 Pro Fold dans une position intermédiaire. Il surclasse sans peine les modèles d’entrée et de milieu de gamme, mais reste nettement en retrait face aux flagships équipés d'une puce Qualcomm Snapdragon 8 Elite ou MediaTek Dimensity 9500. Le Tensor G5 privilégie clairement l’efficacité énergétique et les tâches d’IA au détriment de la puissance brute.
Pour un usage classique (navigation Web, réseaux sociaux, streaming vidéo, multitâche avec plusieurs applications, etc.), l’appareil se comporte de manière tout à fait honorable. Aucun ralentissement à signaler, les applications se lancent rapidement, et le passage d’un écran à l’autre s’effectue sans accroc.
Les choses sont un peu plus délicates pour le gaming.
Les jeux gourmands comme Genshin Impact ou Honkai : Star Rail tournent correctement. Il faut parfois accepter quelques compromis sur le niveau des détails graphiques afin de maintenir un framerate constant. Même s’il n’est pas une bête de course aussi racée que ses concurrents, le Pixel 10 Pro Fold tient néanmoins la route et devrait satisfaire les joueurs occasionnels.
Lors de sessions prolongées de jeu ou d’enregistrement vidéo en 4K, la température de l’appareil peut grimper jusqu’à 48°C. C’est chaud, mais rien de dramatique, puisque Google a intégré un système de dissipation qui utilise les parties métalliques du châssis et le verre du dos.
Le throttling génère une baisse de performances de l’ordre de 20%, ce qui reste acceptable. On vous conseille de déplier le smartphone pour le jeu et les usages intensifs : la dissipation calorique n’en sera que meilleure.
Autonomie : enfin !!!
Le Pixel 10 Pro Fold embarque une batterie de 5 015 mAh, soit 365 mAh de plus que le modèle précédent. En utilisation traditionnelle — consultation des mails, navigation Web, réseaux sociaux, une heure de streaming vidéo, quelques photos —, on passe aisément la journée avec de la marge. On a même réussi à tenir près de deux jours complets en utilisant principalement l’écran externe et en activant le mode d’économie d’énergie en soirée.
En mode geek (écran interne allumé plusieurs heures, session de gaming, streaming et utilisation soutenue de la caméra), on tient quand même du réveil au coucher. C’est un progrès par rapport au Pixel 9 Pro Fold qui peinait parfois à finir la journée. Le Tensor G5 n’est peut-être pas le SoC le plus puissant du moment, mais il sait se montrer économe en énergie. L’aspect LTPO sur les deux écrans y contribue également en adaptant la fréquence de rafraîchissement selon le contenu affiché.
La charge filaire bascule sur du 30 watts (contre 21W auparavant), permettant de passer de 1 à 50% d'autonomie en une trentaine de minutes. Il faut pour cela utiliser un chargeur PPS (Programmable Power Supply) d’au moins 30 watts. On aurait aimé le trouver dans la boîte, ce qui aurait évité une dépense supplémentaire d’une trentaine d’euros (35 euros sur le site de Google).
Il faut compter 90 minutes pour une charge complète de l'appareil. C’est mieux, mais on reste loin de ce que proposent les concurrents chinois. L’adoption du standard Qi2 autorise une charge sans fil magnétique allant jusqu’à 15W (via les accessoires Pixelsnap).
L'IA de Google à toutes les sauces
Le Pixel 10 Pro Fold tourne sous Android 16 dans sa version la plus pure, sans surcouche constructeur. Google promet 7 ans de mises à jour (OS et sécurité), soit jusqu’en 2032. C’est un argument de poids pour la longévité de l’appareil, surtout à ce prix. L’interface profite évidemment de toutes les optimisations pour les écrans pliables : mode multitâche amélioré, barre des tâches en bas d’écran, gestion intelligente des applications qui s’adaptent au format.
La fonction partage d’écran fonctionne de mieux en mieux. On peut ouvrir deux applications côte à côte et ajuster leur taille d’un simple glissement du doigt. Le double-clic sur la barre de séparation inverse instantanément la position des deux apps. Un long appui sur l’icône d’une application permet de l’envoyer directement en mode écran partagé. Le drag & drop entre applications est bien géré, pratique pour glisser une photo de Google Photos vers Messages ou un lien de Chrome vers Keep.
Le Pixel 10 Pro Fold est une vitrine technologique pour Google : rien d’étonnant qu’il soit bourré de fonctionnalités IA. Malheureusement, toutes ne sont pas disponibles en France (à moins de se livrer à quelques manipulations un peu douteuses). C’est par exemple le cas de Pixel Studio (génération d’images), de Pixel Screenshot (analyseur IA de captures d’écran) ou du générateur de musique. Ce ne sont pas des fonctions essentielles, mais on aimerait bien que Google les rende disponibles en France (elles le sont dans certains pays de l’UE).
Traduction Vocale traduit les conversations téléphoniques en temps réel dans une dizaine de langues à partir de l’anglais. La voix de l’interlocuteur est préservée, ce qui rend l’échange plus naturel. Tout le traitement s’effectue localement, rien n’est envoyé vers le cloud de Google. C’est techniquement impressionnant, même si les traductions ne sont pas toujours parfaites.
Bien entendu, Gemini est omniprésent et facilement accessible. Sa version Live permet d’interagir par la voix le plus naturellement du monde, ou d’utiliser l’appareil photo pour lui montrer quelque chose à analyser. On peut l’interrompre, changer de sujet ou demander des précisions. La plupart du temps, l’expérience est fluide, presque naturelle. Mais parfois, Gemini s’embrouille et annonce qu’il recommence sa réponse. Parfois ça passe, mais pas tout le temps. Encore quelques bugs, sûrement.
L’achat du smartphone permet à son propriétaire de bénéficier d’un an de Google AI Pro. On pourra par exemple accéder à Veo 3 pour générer des vidéos de 8 secondes à partir d’un prompt texte. C’est bluffant, mais anecdotique au quotidien. L’accès à la version Pro de NotebookLM ainsi que l’octroi d’un Google Drive de 2 To sont à notre avis nettement plus intéressants.
Photographie : Google préfère le logiciel au matériel
La caméra dorsale se compose de trois modules :
- Principal : capteur 48 mégapixels (taille 1/2 ») ; objectif ouvrant à f/1,7 ; champ de vision de 82°
- Ultra grand-angle : capteur 10,5 Mpx (taille 1/3,4″) ; objectif ouvrant à f/2,2 avec mise au point macro ; champ de vision de 127°
- Téléobjectif périscopique : capteur 10,8 Mpx (taille 1/3,2″) ; objectif ouvrant à f/3,1 zoom optique 5x ; champ de vision de 23°
Les deux caméras selfie (externe et interne) sont identiques. Elles sont construites autour d’un capteur 10 Mpx et d’un objectif ouvrant à f/2,2.
Google mise bien plus sur la photographie computationnelle, le traitement du signal par IA, que sur les performances techniques de ses modules. Est-ce pour cela qu’il a conservé à l’identique la caméra du Pixel 9 Pro Fold ? Il faut avoir une sacrée foi dans les capacités de l’IA pour oser cela, quand même…
En pleine lumière, le Pixel 10 Pro Fold produit d’excellentes images. Les couleurs sont fidèles sans être trop saturées, la plage dynamique est large, tandis que le niveau de détail est bon. Cela reste valable lorsque l’on zoome jusqu’à 5x, valeur maximale du téléobjectif optique.
Ensuite, l’IA prend le relais et se débrouille plutôt très bien. Les images conservent un piqué acceptable jusqu’à 10x , la qualité se dégradant progressivement jusqu’à ce qu’on atteigne 20x, valeur maximale proposée.
Mode macro. ©Marc Mitrani pour Clubic
L’ultra grand-angle se titre tout aussi bien de l’exercice, même si l’on remarque un manque de piqué sur les bords de la scène. Rien de bien dramatique, l’IA réduisant pas mal ce défaut. Le traitement HDR+ fait des merveilles pour équilibrer les hautes lumières et les ombres. On retrouve cette signature Google qui privilégie un rendu naturel à toute autre chose : pas mal pour une boîte qui mise essentiellement sur le traitement logiciel du signal.
L’ultra grand-angle dispose d’un autofocus qui le rend apte à faire de la macro. La qualité d’image se situe alors dans la très bonne moyenne, même si on observe une légère distorsion sur les bords. Le mode portrait génère un flou d’arrière-plan convaincant la plupart du temps, même si l’IA se fait piéger sur les scènes complexes, comme le démontre notre test de la « Porte Lescot ».
Lorsque la nuit tombe, le Pixel 10 Pro Fold est capable de produire de belles images. Le mode vision de nuit capture des scènes dans des conditions de luminosité défavorables avec un rendu réaliste. Bien entendu, il ne faudra pas trop s’aventurer au-delà du zoom 5x afin de ne pas trop perdre en détail. Avec un peu d’indulgence, on pourra quand même pousser jusqu’à 10x. Mais grimper au-delà en prise de vue nocturne n’est pas conseillé aux yeux sensibles.
L’IA est bien entendu présente à tous les niveaux. Le Coach photo utilise Gemini pour analyser la scène et suggérer des cadrages, des angles, des réglages. C’est parfois pertinent, parfois moins. Mais pour les débutants en photo ça peut aider à progresser. La fonction Meilleure Prise capture automatiquement plusieurs images et fusionne les meilleures parties de chacune pour que tout le monde ait les yeux ouverts et sourie. Cela fonctionne plutôt bien sur les photos de groupe.
Le mode « m’ajouter » que Google utilise pas mal dans ses publicités, permet au d’être sur la photo alors qu’on est le photographe. Pour cela, une première image de groupe est prise. Un des sujets du groupe prend le smartphone tandis que le photographe va rejoindre le groupe. Une seconde image est alors prise grâce aux indications fournies sur l’écran et l’IA fusionne les deux images. Le résultat est bluffant quand les conditions sont bonnes (fond détaillé, bonne luminosité).
Au final, le Pixel 10 Pro Fold confirme que Google reste une référence en photographie mobile. Sans révolutionner la formule ni proposer le matériel le plus impressionnant, il délivre des images remarquables dans toutes les conditions. Le traitement IA sait se faire discret quand il faut, et intervient efficacement quand on en a besoin. Seule ombre au tableau, le zoom numérique ne casse pas des briques en photographie nocturne.
Notre avis sur le Google Pixel 10 Pro Fold
Le Pixel 10 Pro Fold est à n’en pas douter un produit réussi. Google a retenu les leçons des éditions précédentes pour livrer un smartphone pliable mature, équilibré et agréable à utiliser au quotidien. La certification IP68 constitue une première mondiale qui devrait faire réfléchir la concurrence. L’autonomie enfin au niveau permet de tenir sereinement la journée, voire deux jours en utilisation modérée. L’écosystème logiciel profite d’Android dans sa version la plus pure avec 7 ans de support garantis. Et la photo reste un point fort indéniable grâce au savoir-faire de Google en traitement d’image.
Cela dit, tout n’est pas parfait. Les performances du processeur Tensor G5 restent en retrait face aux flagships équipés de Snapdragon 8 Elite, ce qui se ressent particulièrement en gaming. Le smartphone chauffe assez rapidement lors des usages intensifs. La charge rapide 30 watts paraît timide en 2025, même si l’adoption du Qi2 magnétique compense un peu.
Les dimensions et le poids de 258 grammes peuvent rebuter ceux qui recherchent un format compact. Et le prix de 1 799€ reste conséquent, même s’il est plus agressif que la concurrence. Face au Galaxy Z Fold 7, le Pixel 10 Pro Fold se montre en effet plus accessible de 300€. Cette différence tarifaire fait réfléchir, surtout que Google n’a pas à rougir de la comparaison sur la plupart des critères. Samsung conserve des avantages sur le design (215 g contre 258 g), les performances brutes et l’optimisation logicielle pour le multitâche. Mais Google répond avec sa certification IP68, son autonomie supérieure, sa photo plus naturelle et son suivi logiciel sur 7 ans. Le Honor Magic V5 à 1 999 € constitue également une alternative crédible avec son design ultra-fin et ses 512 Go d'espace de stockage par défaut.
Le Pixel 10 Pro Fold s’adresse aux utilisateurs ayant besoin d’un grand écran pliant sans dépenser 2 000€, qui privilégient la photo et l’expérience logicielle épurée, et recherchent la tranquillité d’une véritable étanchéité et d’un support logiciel de longue durée. Si les performances gaming ne sont pas une priorité et que le poids ne vous rebute pas, c’est probablement le meilleur rapport prestation/prix actuel sur le segment des pliants au format fold.
- Excellents écrans
- Autonomie (enfin!)
- Certification IP68
- Qualité photographique
- 7 ans de mise à jour OS + sécurité
- Pas de changement de design
- La puce Tensor G5 moins puissante que ses concurrentes directes
- Épais et lourd par rapport à Honor et Samsung
Fiche technique Google Pixel 10 Pro Fold
| Mémoire interne | 256 Go, 512 Go, 1 To |
| Mémoire vive (RAM) | 16 Go, 12 Go |
| Capacité de la batterie | 5015 mAh |
| Charge rapide | Oui |
| Définition du / des capteur(s) arrière | 48 Mpx, 18., Mpx, 10,5 Mpx |
| Système d'exploitation | Android |
| Version du système d'exploitation | 16 |
| Assistant vocal | Google Gemini |
| Taille de l'écran | 8 pouces |
| Type d'écran | LTPO OLED |
| Définition de l'écran | 2076 x 2152 pixels |
| Taux de rafraîchissement | 120Hz |
| Densité de pixels | 373 ppp |
| Écran HDR | Oui |
| Taille de l'écran | 6.4 pouces |
| Type d'écran | 1080 x 2424 pixels |
| Définition de l'écran | OLED |
| Taux de rafraîchissement | 120Hz |
| Densité de pixels | 408 ppp |
| Écran HDR | Oui |
| Mémoire interne | 256 Go, 512 Go, 1 To |
| Stockage extensible | Non |
| Processeur | Google Tensor G5 |
| Finesse de gravure | 3nm |
| Nombre de cœurs CPU | Octa-core |
| Fréquence CPU | 3.1GHz |
| GPU | Mali-G715 MC7 |
| Mémoire vive (RAM) | 16 Go, 12 Go |
| Capacité de la batterie | 5015 mAh |
| Batterie amovible | Non |
| Recharge sans-fil | Oui |
| Charge rapide | Oui |
| Puissance de la charge rapide | 30W |
| Nombre de caméras (avant & arrière) | 5 |
| Définition du / des capteur(s) arrière | 48 Mpx, 18., Mpx, 10,5 Mpx |
| Définition du / des capteur(s) avant | 10 Mpx (interne), 10 Mpx (externe) |
| Enregistrement vidéo | 4K@24/30/60fps, 1080p@24/30/60/120/240fps |
| Stabilisateur caméra | Optique et Numérique |
| Flash arrière | LED |
| Taille des photosites objectifs arrière | 0,8 µm, NC, NC |
| Ouverture objectif photo arrières | f/1,7, f/3,1, f/2,2 |
| Ouverture objectif photo frontaux | f/2,2 |
| Zoom Optique | 5x |
| Carte(s) SIM compatible(s) | Nano-SIM, eSIM |
| Compatible double SIM | Oui |
| Compatible 5G | Oui |
| Compatible VoLTE | Oui |
| Wi-Fi | 7 |
| Bluetooth | 6 |
| NFC | Oui |
| GPS | Oui |
| Infrarouge | Non |
| Satellite | Oui |
| Type de connecteur | USB-C |
| Lecteur biométrique à empreinte digitale | Oui |
| Capteur de reconnaissance faciale | Reconnaissance faciale 2D |
| Accéléromètre | Oui |
| Gyroscope | Oui |
| Capteur de lumière ambiante | Oui |
| Prise Jack | Non |
| Nombre de haut-parleurs | 2 |
| Hauteur (Ouvert) | 155.2mm |
| Hauteur (Plié) | 155.2mm |
| Largeur (Ouvert) | 150.4mm |
| Largeur (Plié) | 76.3mm |
| Epaisseur (Ouvert) | 5.2mm |
| Epaisseur (Plié) | 10.8mm |
| Poids | 258g |
| Certification IP | IP68 |
| Indice de réparabilité | NC |
| DAS tête | 0,99 W/kg |
| DAS tronc | 1,39 W/kg |
| DAS membres | 2,79 W/kg |
