Disponible en France courant septembre au tarif officiel de 229 euros, le Galaxy A17 5G est le nouveau point d’entrée dans la famille Galaxy. Chose assez rare pour être soulignée, le nouveau venu se paye le luxe d’être 20 euros moins cher que son prédécesseur ! Son principal attrait est un suivi logiciel inédit à ce niveau de prix : six mises à jour majeures d’Android et six ans de patches de sécurité.

Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic
Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic

Bien qu’il ne mise pas exactement sur la surenchère technologique, il dispose de quelques améliorations bienvenues. Citons la stabilisation optique sur le capteur principal, l’écran protégé par une feuille de verre Gorilla Glass Victus (du jamais-vu à ce tarif) ainsi que la présence d’IA, chose plutôt rare sur ce type de produits. Cela suffit-il à en faire une alternative séduisante aux produits asiatiques qui inondent le segment ? On a pris le temps de le tester afin de se faire une idée.

Les plus
  • Qualité de l’écran
  • 6 ans de mises à jour
  • One UI toujours agréable
  • Emplacement microSD
Les moins
  • Performances rachitiques
  • Qualité photo médiocre (hors module principal)

Design & ergonomie : jusqu'ici, tout va bien.

En matière de design et d’ergonomie, le Galaxy A17 5G n’est pas révolutionnaire. Et franchement, on ne l’attendait pas au tournant sur ce point. Il conserve les grandes lignes du A16, mais apporte quelques ajustements bienvenus. Avec 7,5 mm d’épaisseur (contre 7,9 mm pour le Galaxy A16) et 192 g sur la balance, il gagne légèrement en finesse et en poids, même si ça n’est pas flagrant de prime abord.

Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic
Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic

La vraie bonne surprise, c’est l’utilisation d’une feuille de verre Gorilla Glass Victus afin de protéger l’écran. C’est la première fois qu’on croise cette protection haut de gamme sur un smartphone à ce prix.

Malgré l'utilisation de polycarbonate, le Galaxy A17 5G a fière allure Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic

Résultat, une bien meilleure résistance aux rayures et aux chutes. Il est conforme à la norme d’étanchéité IP54, ce qui le rend insensible aux éclaboussures et à une brève exposition à la pluie.

Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic
Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic

Le châssis est fait de polycarbonate plutôt que d’aluminium, sûrement pour abaisser le coût de production. La face arrière n’est pas en verre, mais faite d’un alliage de polymère et de fibre de verre. Il est en théorie plus résistant et conserve une belle apparence satinée, nettement moins sensible aux traces de doigt que le verre ou le plastique traditionnel.

La caméra dorsale prend désormais place dans une excroissance en forme de gélule, design déjà vu sur les A26, A36 et A56.

Côté ergonomie, pas de quoi se relever la nuit. Les touches de verrouillage et de volume prennent place sur le flanc droit, le port USB-C à la base. L’appareil supporte deux SIM ou une SIM + une eSIM. On pourra étendre la capacité de stockage jusqu’à 2 To via une microSD (emplacement partagé avec la seconde SIM). Pas mal.

Écran : l’AMOLED sauve la mise

Samsung sait fabriquer de beaux écrans, y compris pour ses produits d’entrée de gamme. L’écran Super AMOLED de 6,7 pouces affiche 1080 x 2340 pixels et un taux de rafraîchissement de 90 Hz. Il conserve une perforation en goutte ainsi que des bordures noires plutôt épaisses (notamment le menton), rappelant ainsi le positionnement du smartphone.

L'écran AMOLED est appréciable sur un produit d'entrée de gamme © Marc Mitrani pour Clubic

Cela ne l’empêche pas de profiter de tous les bienfaits de l’AMOLED : contrastes infinis, noirs profonds et couleurs éclatantes. Un peu trop même, celles-ci étant boostées par défaut afin de produire une image claquante. Cela se corrige aisément par un rapide passage dans les paramètres d’affichage afin d’appliquer le profil « naturel » plutôt que « vif », activé par défaut.

Samsung annonce une luminosité maximale de 800 nits (en pic HDR). Lors de nos tests, on a pu vérifier que l’affichage reste lisible, même par forte luminosité. Quitte à donner l’impression de radoter, on salue la protection Gorilla Glass Victus précédemment mentionnée : elle fait partie des points forts de l’appareil, surtout quand on se souvient qu’il est censé être utilisé pendant 6 ans.

Performances et autonomie

Des performances mimales pour un usage de base

Samsung reprend le SoC Exynos 1330 du modèle précédent : il devait manifestement rester du stock à écouler. Loin d’être une bête de course, il est accompagné par seulement 4 Go de RAM et dispose d’un stockage interne de 128 Go UFS 2.2. L’emplacement pour carte microSD (qui prend la place de la seconde carte SIM) autorise l’extension du stockage interne.

On n’attendait pas de miracles en matière de performances lorsque nous avons déroulé notre traditionnelle batterie de tests. Et, on avait raison. Le A17 5G récolte 602 307 points Antutu (évaluation des performances globales), 2069 points en multicœur avec GeekBench 6 (971 en monocœur) et 360 points avec Mobile Mark 3D Wild Life Extreme.

Antutu
Geekbench
3DMark Mobile

Pour les tâches du quotidien — navigation web, réseaux sociaux, messagerie, multimédia léger — ça passe sans souci. Le stockage interne UFS 2.2 n’est pas le plus rapide du marché (c’est un euphémisme). On aurait préféré de l’UFS 3.1, nettement plus véloce, mais pas tellement plus cher.

Pour le gaming, c’est une autre histoire : ne comptez pas jouer aux derniers titres à la mode avec le A17 5G. Ou alors, il faudra s’armer de patience et accepter un très bas niveau de détail ainsi qu’un framerate minimaliste.

Les bordures noires entourant l'écran ne sont pas d'une finesse exceptionnelle, notamment à sa base (le "menton") Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic

Sans surprise, le multitâche devient rapidement poussif. Les applications se rechargent souvent, et on sent bien que l’OS sort les rames dès que l’on jongle entre quelques applications. C’était prévisible, malheureusement. Pour arranger le tout, One UI 8.0 et Android 16 se sont invités pendant le test, sous la forme d’une mise à jour. Le nouvel OS n’a pas vraiment apprécié de n’avoir que 4 Go de mémoire vive pour exprimer ses talents et les ralentissements se sont aggravés.

Avec 4 Go de RAM et un processeur déjà modeste en 2025, comment l'A71 5G tiendra-t-il la route en 2030 avec Android 21 ? Sur le papier, Samsung promet un suivi logiciel impressionnant. Cependant, la réalité des performances risque de rendre l’expérience de plus en plus laborieuse au fil du temps.

C’est déjà ce que montre le passage vers Android 16 + One UI 8.0. Faut-il donc voir l’annonce d’un support logiciel de six ans comme une belle promesse marketing plutôt qu’autre chose ? Cela nous étonnerait vraiment, ce n’est pas le genre de Samsung (ni des autres constructeurs, évidemment).

Une autonomie correcte

Le Galaxy A17 5G embarque une batterie de 5 000 mAh, devenue la norme de facto sur les produits de cette année. En utilisation normale (navigation web, photos, streaming audio et vidéo, un peu de jeu, réseaux sociaux et messageries instantanées), elle tient facilement une journée complète, voire un peu plus si on y va mollo. En mode geek — mais que ferait un geek avec un tel smartphone ? — on dépasse tout juste la journée en pestant contre le manque de réactivité de l’appareil.

Selon le bloc d’alimentation utilisé, la charge « rapide » 25 watts permet de passer de 0 à 100 % en 80 minutes (chargeur secteur Samsung en option). Ou en 120 minutes si l’on se contente d’un chargeur ordinaire (celui que l’on trouve le plus souvent au fond d’un tiroir, abandonné il y a quelques années par son adolescent). Cette performance reste dans la moyenne des produits de la catégorie.

Logiciel : Android et One UI à l'étroit

Le Galaxy A17 5G est livré avec Android 15 et OneUI 7. C’est donc dans ces conditions que nous avons commencé l’examen de l’aspect logiciel jusqu’à ce qu’une mise à jour majeure s’invite sur le smartphone. Il fonctionne désormais sous Android 16 et One UI 8.0, soit les dernières versions en date de l’OS de Google et de la surcouche logicielle de Samsung.

Faut-il féliciter Samsung pour cette célérité dans l’apport de mises à jour majeures ? Oui, bien sûr. Mais est-ce utile sur un produit d’entrée de gamme, à l’équipement matériel aussi basique ? Pas sûr. Mais au moins, la promesse de mise à jour régulière est réelle !

En version 7 comme en version 8, One UI reste une surcouche logicielle très aboutie, voire la meilleure du moment. Elle a pour objectif de combler les lacunes de l’interface officielle d’Android et convient à tous, néophytes y compris. Petit problème, toutefois : comme on l’a évoqué précédemment, la configuration matérielle de l’A17 5G n’est pas idéale pour une utilisation intensive, et encore moins pour l’intelligence artificielle fonctionnant localement.

Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic

En clair, One UI 7 (et a fortiori One UI 8) ont du mal à exprimer ses talents avec seulement 4 Go de RAM et un SoC trop poussif. Il faudra donc faire avec des ralentissements lorsqu’on sollicite plusieurs applications en même temps. On évitera le lancement simultané d’apps un tant soit peu exigeantes en ressources.

Samsung a limité le pré-chargement d’applications non désirées : on ne peut qu’apprécier le geste, même si l’on pense que la plupart des bloatwares habituels n’auraient pas fonctionné correctement sur le smartphone… Celles qui restent font partie des grands classiques (Netflix, Samsung Health, TikTok, Facebook, Instagram, Spotify, etc.) que l’on peut désinstaller facilement.

Ne comptez pas trouver la moindre trace de Galaxy AI sur le A17 5G, réservé aux modèles plus chers. Pas de trace non plus des « fonctions intelligentes » vues sur les Galaxy A36 et A56 sortis au printemps. Il faudra donc faire avec l’IA de Google et l’assistant Gemini, tous deux envoyant vos données dans le Cloud pour les traiter. C’est mieux que rien, l’IA selon Google étant tout de même performante, notamment pour la retouche d’image.

Photo : généralement médiocre, sauf en plein jour

La caméra dorsale du Galaxy A17 5G est composée de trois modules :

  • Principal : capteur 50 Mpx ; objectif ouvrant à f/1,8 ; stabilisation optique
  • Ultra grand-angle : capteur 5 Mpxl ; objectif ouvrant à f/2,2
  • Macro : capteur 2 Mpxl ; objectif ouvrant à f/2,4
La caméra frontale prend place dans une encoche en forme de goutte Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic
La caméra dorsale, logée dans une gelule, est peu proéminente Samsung Galaxy A17 5G © Marc Mitrani pour Clubic

La caméra frontale est quant à elle constituée d’un capteur de 13 Mpxls et d’un objectif ouvrant à f/2. Liquidons tout de suite son cas : elle fait le boulot en éclairage bon ou moyen, un peu moins quand il diminue. Elle s’avère correcte pour les appels vidéo sans être la meilleure du moment.

On s'en doutait, la configuration de la caméra dorsale n’est pas la plus performante qui soit. Signe qui ne trompe pas : le remplacement du traditionnel téléobjectif par un par un module macro, nettement moins cher — et utile. Il est largement sous-dimensionné pour un smartphone de 2025, fût-il d’entrée de gamme. Nous estimons (peut-être à tort) qu’il est là suite à une pression du service marketing, qui pense souvent que trois modules font « plus riches » que seulement deux. Bref.

Module principal © Marc Mitrani pour Clubic
Ultra grand-angle © Marc Mitrani pour Clubic
Zoom 2x © Marc Mitrani pour Clubic
Zoom 4x © Marc Mitrani pour Clubic
Zoom 10x © Marc Mitrani pour Clubic

En bonne luminosité ou en extérieur, le module principal produit de belles images. Le piqué est correct, tout comme le respect colorimétrique. Même si l’on n’est pas au niveau de ce que peut faire un milieu de gamme, le résultat est tout à fait honorable pour un produit de ce prix. Bien sûr, on constate quelques fourmillements sur les zones sombres, mais rien de dramatique. La perte de détail est flagrante dans l’arrière-plan d’une scène, mais là aussi, ce n’est pas si gênant.

Dans certaines situations, le détourage du mode portrait semble réalisé à la hache... © Marc Mitrani pour Clubic

L’absence de téléobjectif amène l’IA à simuler un zoom entre 2x et 10x, valeur maximale proposée ici. En 2x, il faut faire preuve d’un peu d’indulgence et ne pas prêter attention aux détails. L'image est alors regardable, mais son examen sur un grand écran rappelle cruellement qu’un zoom numérique n’est pas la panacée. Les choses empirent progressivement : en 4x, mes détails de la scène commencent à s’estomper et en 10x, valeur maxi autorisée, ils ne sont plus qu’un lointain souvenir.

... et parfois, le résultat est étonnamment bon ! © Marc Mitrani pour Clubic

L’ultra-grand-angle et son capteur de 5 mpxl ne sont pas très reluisants. Les aberrations chromatiques sont nombreuses, la colorimétrie approximative et le manque de piqué sont flagrants sur toute la scène. On l’utilisera uniquement dans les cas désespérés. Le mode portrait n’est pas extraordinaire non plus, l’IA se faisant facilement avoir sur des scènes à peine complexes. Le mode macro fait lui aussi ce qu’il peut, mais il est difficile d’avoir de belles images détaillées avec un capteur de 2 Mpxl ne disposant pas d’autofocus.

Mode nuit © Marc Mitrani pour Clubic
Mode nuit © Marc Mitrani pour Clubic
Extérieur, soleil couchant, mode auto © Marc Mitrani pour Clubic

L’activation du mode nocturne réserve une surprise : seul le module principal est actif, l’ultra-grand-angle et le zoom numérique n’étant pas disponibles. Vu les résultats obtenus en plein jour, on est presque soulagés de cette limitation qui démontre que Samsung a conscience de la médiocrité du produit.

Nos essais montrent que la qualité des images nocturnes n’est pas extraordinaire, même si elles restent exploitables sur les réseaux sociaux avec un peu d’indulgence. On apprécie la présence d'une stabilisation optique qui réduit les dégâts en cas de vibrations pendant la prise de vue.

En luminosité moyenne, les images restent acceptables © Marc Mitrani pour Clubic

À la notable exception des images produites avec le module principal en plein jour, les performances photographiques du A17 5G sont au mieux médiocres. Ce n’est pas si mal que cela compte tenu de son positionnement tarifaire.

Galaxy A17 5G de Samsung : l’avis de Clubic

Conclusion
Note générale
7 / 10

Le Galaxy A17 5G (229 euros) tient la place peu enviable de point d’entrée dans la famille Galaxy A, la gamme à bas prix de Samsung. Et pourtant, il dispose d’atouts indéniables, à commencer par un écran AMOLED de bonne qualité, un design réussi et une belle qualité de construction. Autre point appréciable, la protection de l’affichage par une feuille de verre Gorilla Victus qui limite les risques de rayures ou de casse.

L’appareil est livré avec Android 15 et la surcouche maison One UI 7. Après l’application d’une mise à jour, ils cèdent la place à Android 16 et One UI 8. Samsung promet qu’il fournira 5 autres mises à jour majeures de l’OS et 6 ans de patches de sécurité. Plutôt pas mal pour un produit d’entrée de gamme.

Mais est-ce véritablement utile ? Car le SoC Exynos 1330 dont il est accompagné et les 4 Go de RAM suffisent tout juste à faire fonctionner l’OS correctement. Qu’en sera-t-il dans 5 ans ? On n’ose l’imaginer… Samsung affirme que l’intelligence artificielle est de la partie : vrai, mais uniquement grâce à Google et à ses outils standards, ains ique l’assistant personnel Gemini. Pas de trace, même légère, de Galaxy AI, de toute façon trop exigeante pour fonctionner avec une configuration si chétive.

L’aspect photographique n’est pas très brillant non plus. Si l’on excepte les images produites en plein jour par le module principal, le reste s’avère très médiocre, voire carrément mauvais dès qu’il s’agit de l’ultra-grand-angle.

Vous l’aurez compris, le Galaxy A17 5G n’est pas le smartphone le plus intéressant du moment au niveau technique. Toutefois, il fera l’affaire pour équiper un utilisateur se contentant des usages classiques (SMS, réseaux sociaux, e-mails et streaming audio) et ne souhaitant pas investir trop d’argent dans son compagnon mobile.

Les plus
  • Qualité de l’écran
  • 6 ans de mises à jour
  • One UI toujours agréable
  • Emplacement microSD
Les moins
  • Performances rachitiques
  • Qualité photo médiocre (hors module principal)
Sous-notes
Ecran
8
Performances
4
Autonomie & charge
7
Photo
6
Design & construction
8

Fiche technique Samsung Galaxy A17 5G

Résumé
Taille de l'écran6.7 pouces
Taux de rafraîchissement90Hz
Mémoire interne128 Go
Mémoire vive (RAM)4 Mo
Capacité de la batterie5000 mAh
Charge rapideOui
Définition du / des capteur(s) arrière50 + 5 + 2 Mpxl
Caractéristiques techniques
Système d'exploitationAndroid
Version du système d'exploitation15
Surcouche AndroidOne UI 7
Assistant vocalGemini, Bixby
Affichage
Taille de l'écran6.7 pouces
Type d'écranSuper AMOLED
Définition de l'écran1080 x 2340 pixels
Taux de rafraîchissement90Hz
Densité de pixels385 ppp
Mémoire
Mémoire interne128 Go
Stockage extensibleOui
Performance
ProcesseurSamsung Exynos 1330
Finesse de gravure5nm
Fréquence CPU2.4GHz
GPUMali-G68 MP2
Mémoire vive (RAM)4 Mo
Batterie
Capacité de la batterie5000 mAh
Batterie amovibleNon
Recharge sans-filNon
Charge rapideOui
Puissance de la charge rapide25W
Appareil Photo
Nombre de caméras (avant & arrière)1 + 3
Définition du / des capteur(s) arrière50 + 5 + 2 Mpxl
Définition du / des capteur(s) avant13 Mpxl
Enregistrement vidéoFull HD 30 im/sec
Stabilisateur caméraOptique
Flash arrièreLED
Ouverture objectif photo arrièresf/1,8 + f/2,2 + F/2,4
Ouverture objectif photo frontauxf/2
Zoom Optique10 x maxi
Réseau
Carte(s) SIM compatible(s)Nano-SIM
Nombre total eSIM0
Compatible 5GOui
Compatible VoLTEOui
Connectivité
Wi-FiWifi 5
Bluetooth5.3
NFCOui
GPSOui
InfrarougeNon
SatelliteNon
Equipement
Type de connecteurUSB-C Type 2.0
Lecteur biométrique à empreinte digitaleOui
Capteur de reconnaissance facialeReconnaissance faciale 2D
AccéléromètreOui
GyroscopeOui
Capteur de lumière ambianteOui
Prise JackNon
Nombre de haut-parleurs1
Caractéristiques physiques
Hauteur164.4mm
Largeur77.9mm
Epaisseur7.5mm
Poids192g
Certification IPIP54
Indice de réparabilité8.4
Débit d’Absorption Spécifique (DAS)
DAS tête0,381 W/kg
DAS tronc0,943W/kg
DAS membres2,14 W/kg