Avec son nouveau Vivobook S14, le constructeur taïwanais veut nous proposer un ultraportable à moins de 1000 €, taillé pour la rentrée, en s’appuyant sur des puces Ryzen AI.

- Très beau potentiel d’évolutivité (emplacement SO-DIMM vacant, SSD M2 remplaçable…)
- Autonomie confortable (12 heures environ)
- Identification faciale
- L’écran OLED à moins de 1000 €
- Dalle brillante et pas assez lumineuse
- Système de dissipation trop juste
- Partie graphique raplapla
- Clavier un peu trop étriqué
À moins de 1000 euros, le terrain est déjà généreusement occupé par ASUS, avec çà et là des appareils qui dénotent, comme le Vivobook S15 OLED (l’un des tout premiers modèles à miser sur une puce ARM Snapdragon X Plus à 8 cœurs), ou même le ZenBook A14 et son châssis en Ceraluminum de 980 g seulement. Le géant taïwanais n’est toutefois pas le seul à investir avec un certain brio ce segment tarifaire, qui a vu ces derniers mois passer pas mal de bonnes machines. On pense notamment au réjouissant Acer Aspire 14 AI, à l’élégant Huawei MateBook 14 ou au désormais vieillissant HP Pavilion Plus 14 (tous équipés de dalles OLED), voire même à Microsoft et son tout nouveau Surface Laptop 13.
Au gré des promotions, Apple et son excellent MacBook Air M4 peuvent d’ailleurs, eux aussi, avoir quelques prétentions sur cette gamme de prix. Autant dire que dans ce contexte, il vaut mieux éviter les maladresses. Ça tombe bien, avec son nouveau Vivobook S14, ASUS n’en fait pas trop. Nous allons voir ensemble si ce modèle mérite l’attention étudiants en quête d’un solide compagnon de travail et de divertissement, mais avant toute chose, voici la configuration du modèle qu’ASUS France nous a fait parvenir en prêt.
Fiche technique ASUS Vivobook S14 (M3507K)
Processeur | AMD Ryzen AI 7 350 |
Taille de la mémoire | 16Go |
Carte graphique | AMD Radeon 860M |
Taille de l'écran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 60Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | AMD Ryzen AI 7 350 |
Type de processeur | 8 coeurs / 16 threads |
Fréquence du processeur | 5GHz |
Finesse de gravure | 4nm |
Taille de la mémoire | 16Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Nombre de barrettes | 2 |
Nombre de slots mémoire libres | 1 |
Carte graphique | AMD Radeon 860M |
Taille de l'écran | 14 pouces |
Taux de rafraîchissement | 60Hz |
Type de dalle | Dalle AMOLED |
Type d'écran | OLED |
Définition d'écran | Full HD+ |
Format de l'écran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Non |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 512 Go |
Disque secondaire | 1 slot M.2 NVMe |
Lecteur optique | Aucun |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (occupé) |
Lecteur de carte mémoire | Aucun |
Connectiques disponibles | USB 3.2, USB 3.2 Type C, Jack 3,5mm Femelle Stéréo, HDMI 2.1 |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.4 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - Couleur unique |
Pavé numérique | Non |
Lecteur d'empreinte digitale | Non |
Largeur | 22.34cm |
Longueur | 31.52cm |
Épaisseur | 1.86cm |
Poids | 1.4kg |
Dans cette configuration Ryzen 7, l’appareil est affiché en France à 999 €. Une autre mouture, cette fois dotée d’un Ryzen AI 5 330, est pour sa part commercialisée à 799 € sous nos latitudes.
Design : un modèle basique… aux entrailles intéressantes !
Pas vraiment fin, ni vraiment léger, ni même très mémorable sur le plan strictement esthétique — il faut bien l’admettre —, le nouveau Vivobook S14 affiche très vite la couleur : il n’est pas là pour être coquet ou pour multiplier les fioritures. À l’instar de l’Acer Aspire 14 AI, le nouvel ultraportable à prix contenu d’ASUS vise surtout la simplicité, la solidité et, en un mot, l’efficacité.
Nous sommes donc confrontés à un châssis gris anthracite mêlant de l’aluminium (sur le capot uniquement) et du plastique (pour le reste du châssis, le cadre d’écran, les repose-poignets et toute la partie clavier) de 31.52 × 22.34 × 1,86 cm pour 1,40 kg sur la balance. La construction est ici efficace, sans chichi, mais robuste. Les finitions sont honnêtes, les charnières solides, le cadre d’écran bien rigide et rien ne craque ni ne plie. Si vous êtes du genre casse-cou avec vos laptops, celui-ci devrait donc être en mesure de vous résister un bon moment.
Rudimentaire, le clavier est plutôt confortable en dépit d’un centre un peu trop mou et de touches un chouia serrées les unes contre les autres. Il faudra un petit temps d’adaptation pour s’y habituer, car au départ, les coquilles ont été nombreuses pour nous. En revanche, la frappe est vraiment silencieuse et profonde sur ce clavier.
Le trackpad nous fait par ailleurs assez bonne impression. S’il reste fatalement très inférieur à ceux des MacBook Pro ou Air chez Apple (qui conserve la suprématie absolue en la matière — et depuis des années), ce dernier nous fait meilleurs impression ici que sur les anciennes générations de Vivobook. La précision est au rendez-vous, malgré un toucher très plastique et des coins qui s’enfoncent toujours trop. Pour le dire autrement, il y a du mieux… mais ça pourrait être encore mieux.
Côté connectiques par contre, ASUS gâte son ultraportable étudiant. L’essentiel est là, voire même un peu plus si l’on considère le format globalement ramassé de l’engin. On y trouve en effet deux ports USB-C 3.2 Gen 1 (prenant en charge l’alimentation et l’affichage), deux ports USB-A 3.2 Gen 1, une prise casque Jack 3,5 mm et une sortie HDMI 2.1. Plus que suffisant pour bûcher au quotidien, mais nous ne sommes pas surpris : ASUS fait souvent du bon travail lorsqu’il s’agit d’installer une belle variété de connectique sur ses modèles de 13 et 14 pouces. Seule ombre au tableau : la quasi-totalité des ports est installée sur le flanc gauche du Vivobook, laissant le côté droit occupé que par une simple prise USB-A.
Pour le reste, on peut légitimement pester sur la qualité d’image brouillonne délivrée par la webcam 1080p, ou par le cruel manque de puissance des deux petits haut-parleurs logés sous le châssis. Heureusement, la webcam dispose des capteurs nécessaires à l’identification faciale via Windows Hello, ce qui lui permet d’avoir tout de même une utilité concrète ; tandis que les haut-parleurs resteront exploitables pour regarder une vidéo YouTube entre deux cours. Après tout, faut-il vraiment en demander plus sur ce type de produit ?
Une vraie bonne surprise nous attend par contre lorsqu'on jette un œil aux entrailles de l’appareil. ASUS, qui nous proposait déjà de très belles choses sur son dernier ROG Strix G16 en matière d’accès aux composants, nous montre ici qu’il sait faire des ultraportables faciles à améliorer dans le temps.
Retirer la plaque inférieure du châssis (retenue par une dizaine de vis Torx T5, de deux tailles différentes attention) permet en effet de constater que l’appareil abrite un emplacement M2 (occupé par un SSD 2280 de 512 Go signé Micron), un modem Wi-Fi 6 modulaire, une batterie facile d’accès, et surtout un emplacement pour barrette de RAM au format SODIMM… laissé vacant. Une rareté en 2025, qui permettra par exemple de doubler la capacité totale de mémoire vive en 2 minutes chrono lorsque le besoin s’en fera sentir. Bien vu ASUS.
Écran : de l’OLED qui manque cruellement de luminosité
Chantre de l’OLED sur PC portables, ASUS s’en tient à son propre code de conduite et nous délivre ici une dalle OLED de 14 pouces, Full HD+ (1920 par 1200 pixels), couvrant le spectre DCI-P3 à 100 %, certes, mais limité à 300 nits de luminosité ainsi qu’à un rafraîchissement 60 Hz. Cet écran est donc relativement basique au regard de ce que l’on trouve sur le marché en 2025, mais c’est tout à fait excusable à ce niveau de prix. Voyons si cette dalle assez rudimentaire fait malgré tout bonne impression sous notre sonde.
Armés du logiciel de mesure DisplayCal, nous mesurons en premier lieu la luminance maximale de cet écran organique, qui plafonne en l’occurrence à 294 cd/m² au maximum, soit peu ou prou ce qui est indiqué sur la fiche technique de l’appareil. Cette luminance est tout juste suffisante en intérieur, dans une pièce modérément éclairée. Elle s’avère donc très peu propice à assurer une bonne lisibilité dans un environnement lumineux. Un problème accru par le revêtement brillant de cet écran. Clairement, notre Vivobook se tire ici deux balles dans le même pied.
OLED oblige, le contraste est par contre au poil, car infini. Les noirs sont d’une profondeur abyssale, comme toujours avec cette technologie. Ils confèrent une profondeur à l’image et une belle impression de relief sur les contenus affichés — en contrepartie d’un effet de blooming occasionnel, lorsque des éléments très blancs et lumineux sont affichés sur un fond parfaitement noir. Rien de bien méchant. Les angles de vision sont quant à eux parfaitement ouverts.
Côté colorimétrie, on relève une température des couleurs trop froide par défaut (6 792 kelvins en lieu et place des 6500 kelvins idéalement attendus), mais un DeltaE parfait (mesuré à 0,6 alors qu’il doit être égal ou inférieur à 3). La couverture des principaux espaces colorimétrique est enfin au niveau de ce que l’on attend de ce type d’écran, avec une prise en charge de 117 % du gamut DCI-P3, tandis que le spectre sRGB est supporté à 166 %. Les activités créatives occasionnelles, telles que la retouche photo par exemple, sont donc possibles sur cet écran, et ce, dans d’assez bonnes conditions. Il faudra simplement passer par l’utilitaire MyASUS pour rectifier manuellement la température des couleurs.
Performances : une puce moins polyvalente que nous l’aurions aimé
Nous l’indiquions plus haut, le Vivobook S14 qu’ASUS France nous a fait parvenir en prêt est équipé d’un processeur AMD Ryzen AI 7 350 « Krackan Point » (8 cœurs / 16 threads cadencés entre 2 et 5 GHz, 16 Mo de cache, 28 W de TDP, gravure en 4 nm par TSMC).
Couplée ici à 16 Go de mémoire vive (DDR5), cette puce intègre en son sein une partie graphique Radeon 860M (regroupant 8 cœurs graphiques), ainsi qu’un NPU XDNA délivrant 50 TOPS dévolus au calcul local de l’intelligence artificielle. C’est notamment cette puce dans la puce qui prendra en charge certaines fonctions dopées à l’IA de vos logiciels préférés, ainsi qu’une partie des fonctionnalités Copilot+ de Microsoft.
Si vous suivez l’actualité d’AMD, vous savez sans doute que les puces « Krackan Point » ont été annoncées en janvier, à l’occasion du CES. Elles reprennent à leur compte l’architecture CPU Zen 5 (utilisé sur PC portable depuis 2024) et le design RDNA 3+ côté GPU (que nous appelions autrefois RDNA 3.5 et que l’on retrouve sur laptop depuis la fin d’année 2024). Nous avons donc affaire à une puce théoriquement capable d’une belle polyvalence.
Nous allons voir ce que vaut l’APU d’AMD, mais l’on constate assez vite que le Vivobook S14 souffre du système de dissipation qu’ASUS a choisi de lui octroyer. Avec un seul ventilateur et un unique caloduc, ce dernier peine à garder la puce d’AMD au frais. Si le bruit émis par ce petit moulin lancé à pleine vitesse n’excède pas les 48 dB d’après nos mesures (réalisées à l’aide d’un sonomètre placé à 40 cm de l’écran), les températures, elles, atteignent vite jusqu’à 57 degrés au centre du clavier. Le confort d’utilisation, au moins sur de courtes périodes de charge intensive, peut donc s’en trouver altéré. Dommage.
Sur le plan des performances délivrées par l’AMD Ryzen AI 7 350, disons qu’elles fleurent bon 2024, et en l’occurrence plutôt le milieu de gamme de l’année dernière. Sur Cinebench R24, nous relevons ainsi tout juste 821 points en calcul multi-core, contre 114 points en single-core. Ces scores restent honorables, a fortiori compte tenu du placement tarifaire de notre VivoBook, mais l’on reste tout de même un peu sur notre faim. On sent d’ailleurs qu’avec un meilleur dispositif de refroidissement, la puce d’AMD aurait sans doute pu faire mieux, notamment sur le plan graphique. Nous allons y venir.
Si l’on s’en tient pour l’instant au volet CPU, et que l’on compare un peu les résultats obtenus sur Cinebench R24 par d’autres ultraportables, le bilan est bon… mais sans éclat particulier. Et pour cause, le modeste Qualcomm Snapdragon X Plus (X1P-64-100) d’un Acer Swift 14 AI 2024 est par exemple capable de glaner d’afficher quasiment les mêmes indices de performances : 820 points en multi-core et 108 points en single-core.
La puce M4 d’un MacBook Air 2025 délivre quant à elle 840 points en multi-core et 172 points en single-core sur le même outil, et ce, sans le moindre système de dissipation actif. Hyper-threading inactif oblige, les puces Lunar Lake s’en sortent par contre moins bien pour les calculs réalisés sur plusieurs cœurs, avec « seulement » 597 points en multi-core, contre 119 points obtenus toutefois en single-core par l’Intel Core Ultra 7 258 V d’un ASUS Zenbook S14 2024. De quoi vous donner quelques points de repères.
Sur le plan graphique, c’est surtout là que le bât blesse. On sent ici que les 8 cœurs RDNA 3+ de la Radeon 860M intégrée sont un peu limitants (on en trouve, par exemple 16 sur un Ryzen AI 9 HX 370). Ils ont par ailleurs du mal à développer tout leur potentiel, vraisemblablement à cause du système de refroidissement trop chétif retenu par ASUS.
Preuve en est sur Shadow of the Tomb Raider, qui nous sert à tester les capacités des iGPUs de tous les ultraportables que nous recevons en test. Ici, en Full HD+ / Ultra, le titre ne parvient pas à dépasser les 16 FPS en moyenne, tandis qu’avec les réglages moyens, nous nous limitons à 20 FPS tout ronds. En Full HD+ / Ultra, sur le même titre, le MacBook Air M4 tutoie les 35-40 FPS, tandis que l’Intel Core Ultra 7 258 V s’en tient le plus souvent à environ 35 FPS sur la plupart des PC dans lesquels il est logé.
Quant au Core Ultra 5 226 V, il animait le titre de Crystal Dynamic à 34 FPS en moyenne sur l’Acer Aspire 14 AI — l’un des concurrents directs de notre Vivobook S14. L’AMD Ryzen AI 9 HX 370 du Zenbook S16 2024 (sous architecture RDNA 3+ lui aussi) s’en tenait pour sa part à une moyenne de 27 FPS dans les mêmes conditions.
Ces performances graphiques poussives réduisent pas mal l’intérêt de notre VivoBook en multimédia avancé et en jeu (occasionnel bien sûr) par rapport à plusieurs de ses rivaux. C’est dommage, car l’appareil devra en l’occurrence s’en tenir à des tâches plus légères. Un système de dissipation mieux dimensionné aurait sans doute permis d’améliorer les choses — au moins en partie car l’architecture RDNA 3+ d’AMD accuse tout de même un léger retard face aux pendants d’Intel et Apple. Malgré tout, pour 80 % des usages visés par ce type d’appareils, le bilan reste tout à fait positif.
Côté SSD, le petit PC d’ASUS fait également assez bien les choses. La barrette M2 de 512 Go installée sur notre modèle de prêt grimpe à 6 721 Mo/s en lecture mais trébuche en écriture pour se limiter à 3 667 Mo/s en écriture. Ces débits en écriture restent néanmoins suffisants pour l’essentiel des usages, là encore.
Autonomie : la journée de travail sur batterie, sans problème
Le Vivobook S14 est plutôt bien équipé question batterie. L’appareil se dote d’une capacité de 70 Wh, plutôt dans la moyenne haute pour un ultraportable de 14 pouces. Cette dernière lui permet d’assurer à l’utilisateur qu’il pourra bien travailler toute la journée sans être contraint de dégainer le chargeur. Lors de nos tests, nous avons estimé à environ 12 heures la longévité du PC sur batterie.
Nous avons toutefois réussi à aller un peu plus loin dans le cadre de notre test d’autonomie habituel (lecture de vidéos 1080p en boucle sur YouTube, via Edge, avec la luminosité de l’écran poussée à 100 %, le rétroéclairage du clavier coupé, un casque branché et les paramètres d’alimentation les plus économes en énergie). Dans ce contexte, le PC a tenu pratiquement 13 heures avant de s’éteindre faute d’énergie restante. Pas mal du tout !
La recharge passe quant à elle par le bon vieux bloc USB-C de 65 W qu’ASUS fournit avec la quasi-intégralité de ses ultraportables. Passer de 0 à 100 % d’autonomie ce fait ici en une grosse heure et demie.
ASUS Vivobook S14 2025 : l’avis de Clubic
Quel dommage ! ASUS tenait là un ultraportable de qualité, pas trop cher, et doté qui plus est d’un potentiel d’évolutivité rarement offert par ce type d’appareils. Malheureusement, la firme a rogné sur la qualité de l’écran OLED installé à son bord (trop peu lumineux) et s’est également montré trop parcimonieuse dans le choix du système de dissipation installé sur ce petit PC étudiant.
Cette année, le constructeur taïwanais se laisse donc distancer par la concurrence sur le milieu de gamme… et notamment par son compatriote Acer, qui parvient à faire globalement mieux pour le même segment avec son Aspire 14 AI — un modèle sans prétention, mais qui nous semble à bien des égards plus vaillant et globalement plus attractif.
- Très beau potentiel d’évolutivité (emplacement SO-DIMM vacant, SSD M2 remplaçable…)
- Autonomie confortable (12 heures environ)
- Identification faciale
- L’écran OLED à moins de 1000 €
- Dalle brillante et pas assez lumineuse
- Système de dissipation trop juste
- Partie graphique raplapla
- Clavier un peu trop étriqué
Concurrence : quelles alternatives à l’ASUS Vivobook S14 2025
- Un écran OLED dès 800 euros
- Le Core Ultra 5 225V moderne et polyvalent
- Connectiques nombreuses, bon clavier
- L’écran tactile OLED / 120 Hz, ses couleurs, son contraste
- Placement tarifaire pertinent
- Des performances solides pour le quotidien
- Un MacBook Air mieux équipé pour moins cher
- Équilibre parfait de la puce M4 sur la puissance
- Silence absolu, chauffe maîtrisée, redoutable confort à l’utilisation