À l’heure où de nombreux PC portables gaming se monnayent à prix d’or, en particulier lorsque les puces Blackwell de NVIDIA sont au menu, Gigabyte mise sur quelques modèles sans prétention, à tarif contenu. Le nouveau Gaming 16 du constructeur taïwanais en est. Voyons ensemble s’il parvient à trouver les bons compromis pour marquer des points sans faire flamber l’addition.

- Châssis bien construit, plutôt fin et discret
- Système de dissipation efficace
- Configuration très à l’aise en Full HD+
- Bon potentiel d’évolutivité, autonomie honnête (5 à 6 heures)
- L’écran bien contrasté, qui pèche malheureusement sur les couleurs et la luminosité
- Cadre d’écran trop souple
- Clavier perfectible
Il ne marquera peut-être pas les esprits, il n’est d’ailleurs pas là pour ça, mais le nouveau Gigabyte Gaming 16 prend en tout cas l’allure d’une proposition intéressante pour tous ceux qui recherchent un modèle gaming, capable, et pas trop cher, en 2025. À l’instar des modèles LOQ de Lenovo, des Victus signés HP, ou de certains PC de la gamme Nitro chez Acer, l’appareil cherche un bon équilibre sur l’entrée de gamme, en procédant à quelques arbitrages serrés — mais en parvenant malgré tout à embarquer les nouvelles cartes graphiques RTX 5000 Blackwell de NVIDIA.
Nous allons voir si cet équilibre a été trouvé, mais avant toute chose voici le détail du modèle que l’antenne française de Gigabyte nous a gentiment fait parvenir en prêt :
Fiche technique Gigabyte Gaming 16 (2025)
Processeur | Intel Core i7-13620H |
Taille de la mémoire | 16Go |
Carte graphique | NVIDIA GeForce RTX 5060 |
Mémoire vidéo | 8Go |
Taille de l'écran | 16 pouces |
Taux de rafraîchissement | 165Hz |
Système d'exploitation | Windows 11 |
Processeur | Intel Core i7-13620H |
Type de processeur | 10 coeurs / 16 threads |
Fréquence du processeur | 4.9GHz |
Finesse de gravure | 7nm |
Taille de la mémoire | 16Go |
Type de mémoire | DDR5 |
Fréquence(s) Mémoire | 5,200MHz |
Nombre de barrettes | 2 |
Carte graphique | NVIDIA GeForce RTX 5060 |
Max-Q | Oui |
Mémoire vidéo | 8Go |
VR Ready (réalité virtuelle) | Oui |
Type mémoire vidéo | GDDR7 |
Taille de l'écran | 16 pouces |
Taux de rafraîchissement | 165Hz |
Type de dalle | Dalle IPS |
Type d'écran | LED |
Définition d'écran | Full HD+ |
Format de l'écran | 16/10 |
Dalle mate / antireflet | Oui |
NVIDIA G-SYNC | Non |
Écran tactile | Non |
Configuration disque(s) | SSD |
Disque principal | 1 To |
Disque secondaire | 1 slot M.2 NVMe |
Lecteur optique | Aucun |
Emplacement mSATA/M.2 | M.2 (libre) |
Lecteur de carte mémoire | Aucun |
Connectiques disponibles | Ethernet - RJ45 Femelle, USB 3.2, USB 3.2 Type C, Jack 3,5mm Femelle Stéréo, HDMI 2.1 |
Wi-Fi | Oui |
Version Wi-Fi | 6 |
Bluetooth | Oui |
Version Bluetooth | 5.2 |
Webcam | Oui |
Haut-parleurs | Intégrés |
Clavier | Azerty |
Clavier rétroéclairé | Oui - RGB |
Pavé numérique | Non |
Lecteur d'empreinte digitale | Non |
Longueur | 358.3mm |
Largeur | 262.5mm |
Épaisseur | 22.99mm |
Poids | 2.2kg |
Dans cette configuration Full HD+ / RTX 5060, le Gigabyte Gaming 16 est affiché en France à un tarif recommandé de 1299,95 €. Il est toutefois assez facile de le trouver à un prix nettement inférieur chez les principaux revendeurs. L’engin existe aussi en versions RTX 5050 et RTX 5070 pour des tarifs (recommandés là aussi) compris alors entre 1199,95 € et 1599,95 €.
Design : être agréablement surpris, définition
Avec 358,3 × 262,5 × 22,99 mm (au point le plus épais) pour 2,2 kg, le Gigabyte Gaming 16 surprend tout d’abord par sa relative finesse et son poids contenu. Deux caractéristiques que nous sommes habitués à trouver sur des modèles plus onéreux. Au déballage, l’appareil séduit donc par son encombrement réduit et par sa bonne qualité de construction. Le châssis est en plastique (une plaque d’aluminium recouvre tout de même le capot), c'est vrai, mais les différentes pièces qui le composent sont assemblées avec soin et la structure est solide. Du moins elle inspire confiance. On regrette en revanche que le cadre d’écran ne soit pas plus rigide, il faudra éviter les manipulations trop brutales à ce niveau.
Comme sur de plus en plus de modèles gaming, l’écran peut être déplié complètement à plat au besoin. Nous reviendrons plus loin sur la qualité de la dalle IPS, mais on peut déjà parler de la webcam 1080p juchée au-dessus de l’écran. Compatible avec l’identification faciale, ce capteur accouche d’une image plutôt nette, mais aux couleurs blafardes : vous aurez toujours mauvaise mine avec lui, mais il servira en tout cas honorablement pour des appels vidéo occasionnels.
Même constat d’ailleurs pour les deux petits haut-parleurs de 2 W installés sous le châssis. Ils souffrent bien d’un léger effet de boîte et d’un volume maximal limité, mais le son délivré est rond, assez bien équilibré dans son ensemble. Correct en dépannage, voire même meilleur que ce qu’offrent de nombreux modèles concurrents.
Côté look, le Gaming 16 s’en tient à une robe noire assez salissante, qui garde vraiment très vite les traces de doigts. On peut par contre porter au crédit de Gigabyte le choix d’un look assez sobre pour l’engin. Il faut vraiment y prêter attention pour déceler, chez ce Gaming 16, les indices révélant sa véritable identité de gamer. Tant mieux. Pour maîtriser ses coûts de production, Gigabyte se limite par ailleurs ici à un clavier RGB une seule zone, qui a le mérite d’ajouter à la sobriété de l’ensemble.
Trop bruyant à notre goût, dénué de pavé numérique (ce qui est toujours un peu dommage sur un modèle de 16 pouces), et globalement plus confortable en utilisation bureautique qu’en jeu, le clavier n’est probablement pas le point fort de ce Gigabyte Gaming 16. Cela dit, l’appareil sauve les meubles avec un bel espacement des touches, une profondeur de course très convenable et un retour souple sans être trop « mou ». L’expérience globale en la matière reste donc satisfaisante.
Le trackpad, quant à lui, est grand sans être *trop* grand (coucou à ASUS et son ROG Strix G16), et si ses coins s’enfoncent beaucoup trop (comme souvent), ce pavé tactile reste plaisant à utiliser en complément de la souris externe que l’on ne manquera pas de connecter. Le Gigabyte Gaming 16 dispose enfin d’une sélection tout à fait décente de connectiques, avec deux ports USB-A 3.2 Gen 1, un port USB-C 3.2 Gen 1, un port USB-A 2.0, une sortie HDMI 2.1, une prise RJ-45, une prise casque. Seule la présence d’un antique port USB 2.0 nous fera tiquer ici. Pour le reste, l’essentiel des usages est couvert.
Terminons comme d’habitude par un point rapide sur l’accès aux composants et l’évolutivité de ce modèle. La plaque inférieure du châssis n’est retenue que par une poignée de vis Philips (cruciformes) dont on viendra très vite à bout avec un tournevis de précision. On constate alors que la mémoire vive peut être remplacée ou augmentée facilement (barrettes SO-DIMM), au même titre que le SSD grâce à la présence d’un second emplacement M2 laissé vacant. Le modem Wi-Fi est également modulaire, et la batterie facile d’accès pour un remplacement en quelques minutes lorsque ce sera nécessaire.
Écran : une dalle IPS réactive et bien contrastée, mais qui dérape sur les couleurs
Le Gigabyte Gaming 16 peut embarquer un écran IPS QHD+ dans ses meilleures configurations. Notre modèle de prêt se contente toutefois d’une simple dalle IPS Full HD+ (1920 par 1200 pixels) montant à 165 Hz. Pour cet écran, Gigabyte annonce 300 cd/m² de luminance maximale. Voyons ce qu’il est est à l’aide de notre sonde et du logiciel de mesure DisplayCal.
On relève pour commencer une luminance maximale de 329 cd/m2, dans les faits, en SDR. Cette valeur, légèrement supérieur à celle annoncée par le constructeur, ne nous permet pas d’appréhender sereinement autre chose qu’un contexte d’utilisation en intérieur, dans une pièce pas trop éclairée. Le revêtement mat de l’écran permet de limiter les reflets, c’est vrai, mais sans faire de miracles côté lisibilité dans des environnements très lumineux ou carrément en extérieur.
Le contraste est pour sa part estimé à 1894:1 par nos outils. Il s’agit cette fois d’un ratio tout à fait flatteur pour la technologie IPS. Difficile d’attendre mieux ici, c’est déjà très bien. On regrette en revanche que le rétroéclairage de cette dalle LCD souffre d’un manque d’uniformité. D’importantes fuites de lumière peuvent être observés au bas de l’écran et dans les coins sur notre modèle de prêt. Dommage.
Dans la même veine, la couverture des principaux espaces de couleurs est particulièrement limitée. La prise en charge du spectre sRGB se restreint ainsi à un piteux 59,7 %, tandis que le gamut DCI-P3 n’est géré qu’à hauteur de 42,3 % seulement — inutile donc de viser un quelconque usage créatif avec ce produit. Ces deux valeurs sont très décevantes pour un écran livré en 2025. Heureusement, la calibration est rigoureuse : le DeltaE nous est donné à 2,8 et la température des couleurs à 6 543 kelvins.
Parfait, car ces deux indices doivent respectivement être égaux ou inférieurs à 3 d’un côté, et approcher au plus près les 6 500 kelvins du standard vidéo de l’autre. Ici Gigabyte est donc tout à fait dans les clous. On regrette amèrement que le constructeur n’ait pas jugé bon d’aller plus loin sur la couverture des spectres sRGB / DCI-P3 et sur la luminance. Le chemin n’est parcouru qu’à moitié, et cela s’en ressent malgré tout quand on utilise cet écran Full HD+.
Performances : tout ce qu’il faut pour jouer confortablement en Full HD+
Nous savons d’expérience (grâce à notre essai du TUF Gaming A18) que la petite RTX 5050 mobile est déjà très satisfaisante pour jouer confortablement en Full HD+, alors c’est sans réel doute sur les capacités, dans ce même contexte, de la RTX 5060 mobile que nous entamions nos tests habituels. Dans le cas du PC qui nous intéresse ici, cette dernière est toutefois « limitée » à un budget TGP maximum de 85 W (Dynamic Boost compris).
La puce de NVIDIA voyage donc relativement léger en termes d’enveloppe thermique, mais cet arbitrage de Gigabyte ne présente pas que des inconvénients. En revanche, la nouvelle puce milieu de gamme de NVIDIA est présentement couplée à un processeur Intel qui n’est plus tout à fait de dernière fraicheur : un Core i7 de 13ᵉ génération « Raptor Lake » lancé courant 2023.
Voici la configuration que Gigabyte France nous a fait parvenir en test :
- Processeur Intel Core i7-13620H (10 cœurs / 16 threads cadencés à un maximum de 4,90 GHz, 24 Mo de cache, 45 W de TDP)
- 16 Go de mémoire vive (DDR5 à 5 200 MHz) extensibles jusqu’à 64 Go.
- Carte graphique NVIDIA GeForce RTX 5060 (85 W de TGP)
Avant toute chose, commençons par un point sur les performances du système de dissipation installé sur notre Gaming 16. L’appareil se dote de deux ventilateurs et 4 caloducs. Ce dispositif lui permet de maintenir les températures à un niveau très acceptable en jeu comme en utilisation intensive.
Dans le pire des cas, nous ne mesurons pas plus de 53 degrés au-dessus du clavier dans le cadre de notre session de benchmarks, tandis qu’à plein régime, les deux ventilateurs montent à 50-51 dB environ. Leur sifflement est alors très audible, c’est vrai, mais en usage bureautique, tout est en revanche parfaitement silencieux.
Ce système de dissipation bien dimensionné, et globalement efficace, permet aux composants de s’exprimer convenablement. Sans battre de records, le vieillissant Core i7-13620H avance ainsi avec confiance sous Cinebench R24, délivrant un score tout à fait honorable pour une puce milieu de gamme d’il y a 2 ans : 109 points en single-core et 865 points en multi-core.
À titre de comparaison, l’AMD Ryzen 7 260 d’un TUF Gaming A18 (2025) délivre 104 points en single-core contre 956 points en multi-core ; et le Ryzen 7 7735HS d’un Acer Nitro V15 (2024) s’en tient à 91 ponts en single-core et 757 points en multi-core. Évidemment, si l’on jette un œil à des solutions plus récentes ou plus haut de gamme, la messe sera vite dite, mais en l’état, et pour un produit d'entrée de gamme comme notre Gigabyte Gaming 16, le niveau de performances atteint sur le plan CPU s’avère parfaitement viable.
Côté GPU, on remarque pour commencer que NVIDIA semble avoir définitivement réglé les soucis logiciels que nous avions rencontrés avec ses RTX 5060 mobile et 5070 mobile, à leur lancement, et durant leurs premiers mois d’exploitation. Tant mieux.
Bien que limitée à 85 W de TGP contre 115 W au maximum sur d’autres machines, notre RTX 5060 mobile s’en tire très bien en jeu. Il faut dire que la définition Full HD+ ne la met pas vraiment à l’épreuve. On peut donc profiter ici des meilleurs réglages et des dernières technos de NVIDIA, dont l’excellente Multi Frame Generation, sans trop se poser de question.
Sur 3D Mark Speed Way, Port Royal et Time Spy Extreme, la puce marque en outre des scores appréciables, nettement supérieurs à ceux obtenus par la RTX 5050 en 115 W. En revanche, soyons clairs, la RTX 5060 est vraiment capable de faire mieux lorsqu’on lui laisse plus de place pour étirer ses jambes : avec 115 W de budget TGP sur le dernier ROG Strix G16, elle délivrait (sans surprise) de bien meilleurs résultats dans tous les tests ci-dessous.
Heureusement, et comme évoqué plus haut, notre Gigabyte Gaming 16 se contente ici d’une définition Full HD+ pour laquelle une RTX 5060 mobile, même bridée, fait très bien l’affaire. On remarque par contre, une fois de plus, que la MFG (Multi Frame Generation) est devenue incontournable pour jouer avec une fluidité sans faille, tout en conservant les meilleurs réglages et le ray tracing actif.
Pour rappel, nous mesurons ici les performances graphiques en 1200p / Ultra. Trois profils de réglages différents sont employés tour à tour pour chacun des deux titres testés : le premier essai est effectué avec le Path Tracing complet et la Multi Frame Generation x4. Il est suivi d’un second « run » où l’on remplace le Path Tracing par le ray tracing « classique »… mais cette fois en désactivant la MFG pour pousser le GPU dans ses derniers retranchements. Enfin, nous procédons à un troisième essai, mais cette fois uniquement en rastérisation (ray tracing et MFG désactivés).
Voici alors les résultats obtenus :
- Commençons avec Cyberpunk 2077. Tout d'abord avec le Path Tracing actif, couplé la Multi Frame Generation x4, et l'ensemble des réglages en Ultra, nous atteignons alors une moyenne de 102 FPS. Cette moyenne s’effrite pour tomber à 47 FPS lorsqu'on se contente du ray tracing en Ultra et du DLSS « Qualité », mais sans génération d'images synthétiques. Enfin, en rastérisation (sans ray tracing et sans Frame Generation), mais avec l'ensemble des réglages, toujours en Ultra, nous relevons cette fois une moyenne de de 78 FPS.
- Sur Black Myth Wukong, on relève cette fois une moyenne de 97 FPS avec réglages « Cinématiques » (les plus élevés disponibles), le DLSS Élevé, le path tracing maximal, et la MFG x4. La RTX 5060 de notre Gaming 16 s’en tient en revanche à 30 FPS tout juste lorsqu'on conserve les réglages « Cinématiques » et le DLSS Élevé, que l'on s'en tient au path tracing minimal (impossible de faire autrement sur ce jeu), mais que l'on désactive totalement la Frame Generation. Enfin, en rastérisation, le titre est cette fois propulsé à 40 FPS tout rond en moyenne (réglages « Cinématiques », avec le path tracing totalement coupé, et la frame generation désactivée, elle aussi,).
Difficile de se plaindre des performances obtenues ici : elles sont excellentes pour une machine vendue, rappelons-le, pour 1300 euros en France (voire moins dans certains cas).
Terminons comme d’habitude par un point sur les vitesses du SSD de 1 To installé à bord de notre valeureuse machine. Cette barrette M2 délivre des vitesses de 5 221 Mo/s en lecture et 4 801 Mo/s en écriture. Ces débits sont confortables pour assurer rapidité et réactivité à l’appareil dans l’essentiel des usages.
Autonomie : pas de miracle ?
En termes d’autonomie, on sait la plupart du temps à quoi s’attendre avec les PC portables gaming : rares sont les modèles à dépasser la barre des 4 à 5 heures d’endurance. Avec une batterie de 76 Wh seulement, le Gigabyte Gaming 16 parvient pourtant à le faire.
Dans le cadre de notre test d’autonomie habituel (lecture de vidéos 1080p en boucle sur YouTube, via Edge, avec la luminosité de l’écran poussée à 100 %, le rétroéclairage du clavier coupé, un casque branché et les paramètres d’alimentation les plus économes en énergie), nous avons réussi à tenir un peu plus de 6 heures et 20 minutes sur batterie.
En utilisation quotidienne, on tourne autour des 5 à 6 heures la plupart du temps, mais avec de bonnes surprises, parfois, en fonction des réglages et de l’usage. À défaut d’un miracle, le PC gaming de Gigabyte parvient donc à nous offrir une marge de manœuvre intéressante pour un modèle gamer. La recharge, elle, se fait en pratiquement deux heures sur secteur à l’aide du chargeur de 150 W fourni.
Gigabyte Gaming 16 2025 : l’avis de Clubic
Si seulement son écran affichait de plus belles couleurs. C’est ce que nous nous sommes dit à l’issue de notre test de ce Gigabyte Gaming 16, qui écopera donc d’un 8/10 bien mérité dans nos colonnes… au lieu du 9/10 qu’il aurait pu décrocher si le constructeur taïwanais l’avait orné d’une dalle de meilleure facture.
Pour son prix, dans l’ombre de ses grands frères de la gamme Aorus plus prestigieuse, ce modèle entrée de gamme s’en sort admirablement bien, affichant de solides performances en 1200p, ainsi qu’une prestation très convenable côté refroidissement. Son châssis, plus élégant et mieux conçu que ce à quoi nous sommes habitués à 1300 € et moins, est aussi à porter au crédit d’un ensemble décidément convaincant.
- Châssis bien construit, plutôt fin et discret
- Système de dissipation efficace
- Configuration très à l’aise en Full HD+
- Bon potentiel d’évolutivité, autonomie honnête (5 à 6 heures)
- L’écran bien contrasté, qui pèche malheureusement sur les couleurs et la luminosité
- Cadre d’écran trop souple
- Clavier perfectible
Concurrence : quelles alternatives au Gigabyte Gaming 16 2025 ?
- La RTX 5070 puissante et plus sobre en énergie (malgré des problèmes de jeunesse)
- Rapport équipement / prix avantageux
- Qualité de construction au point
- Acer a trouvé le juste prix
- Très efficace pour jouer en Full HD
- Qualité de construction tout à fait honnête
- La RTX 5050, vaillante en Full HD+
- Machine silencieuse, même en jeu
- Belle qualité de construction, design moderne