Le nouveau Surface Laptop de 13 pouces, se veut plus à la fois plus compact et plus abordable que l’habituel Surface Laptop de 13,6 pouces… mais est-il vraiment aussi réussi que Microsoft veut bien le dire ?

Le nouveau Surface Laptop 13. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le nouveau Surface Laptop 13. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme. La formule prêtée à Lavoisier peut cette année s’appliquer à Microsoft et son nouveau Surface Laptop 13. Dévoilé en mai et lancé avant l’été, l’appareil prend bien plus l’allure d’une sorte d’évolution des anciens Surface Laptop Go (dont l’avenir au catalogue de la firme nous semble d’ailleurs compromis), que celle d’un tout nouveau produit à part entière.

Ce PC portable ARM, plus petit qu’un MacBook Air, mais pas vraiment moins lourd, se positionne tout de même à moins de 1000 euros en tirant parti d’une fiche technique allégée par rapport à celle de ses grands frères. Trop peut-être ? C’est ce que nous allons voir, mais avant toute chose voici justement les spécifications du modèle que Microsoft France nous a aimablement fait parvenir en prêt :

Les plus
  • Le format hyper compact, et les finitions « à la Surface », c’est à dire impeccables
  • Connectiques suffisantes et connectivité Wi-Fi 7
  • Autonomie convenable (10 à 12 heures)
  • Le prix, plus attractif que celui de la Surface Pro 12
Les moins
  • Snapdragon X Plus raplapla sur le plan graphique
  • Clavier diablement petit
  • Écran bien contrasté, mais peu lumineux et aux couleurs décevantes
  • Potentiel d’évolutivité nul (RAM soudée, stockage UFS…)

Fiche technique Microsoft Surface Laptop 13 (2025)

Résumé
ProcesseurQualcomm Snapdragon X Plus X1P-42-100
Taille de la mémoire16Go
Carte graphiqueAdreno X1-45
Taille de l'écran13 pouces
Taux de rafraîchissement60Hz
OS
Système d'exploitationWindows 11
Processeur
ProcesseurQualcomm Snapdragon X Plus X1P-42-100
Type de processeur8 coeurs / 8 threads
Fréquence du processeur3.4GHz
Finesse de gravure4nm
Mémoire vive
Taille de la mémoire16Go
Type de mémoireDDR5
Nombre de slots mémoire libres0
Graphismes
Carte graphiqueAdreno X1-45
Écran
Taille de l'écran13 pouces
Taux de rafraîchissement60Hz
Type de dalleDalle IPS
Type d'écranLED Tactile
Définition d'écranFull HD+
Format de l'écran3/2
Dalle mate / antirefletNon
NVIDIA G-SYNCNon
Écran tactileOui
Stockage
Configuration disque(s)UFS
Disque principal512 Go
Lecteur optiqueAucun
Emplacement mSATA/M.2Aucun
Lecteur de carte mémoireAucun
Connectique
Connectiques disponiblesUSB 3.1, USB 3.2 Type C, Micro (Jack 3.5mm Femelle)
Réseau sans-fil
Wi-FiOui
Version Wi-Fi7
BluetoothOui
Version Bluetooth5.4
Équipement
WebcamOui
Haut-parleursIntégrés
ClavierAzerty
Clavier rétroéclairéOui - Couleur unique
Pavé numériqueNon
Lecteur d'empreinte digitaleOui
Caractéristiques physiques
Largeur214.14mm
Longueur285.65mm
Épaisseur15.6mm
Poids1.22kg

Décliné en version 256 Go ou 512 Go, ce nouveau Surface Laptop 13 débute à partir de 970 euros dans l’Hexagone. Notre modèle de prêt est pour sa part affiché au prix de 1070 euros, à date. Notez que le chargeur USB-C de 45 W fourni par Microsoft pour notre test n’est pas livré de série avec son Surface Laptop 13. Il faut donc l’acheter en plus, si besoin, au prix de 59,99 euros.

L'appareil est aussi compact qu'élégant. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Design : un (quasi) Surface Laptop Go, mais en mieux ?

La gamme Surface ne nous a jamais déçu de ce côté, la qualité des finitions est une nouvelle fois au poil avec ce nouveau Surface Laptop 13. Nous ne nous étendrons pas une énième fois là-dessus, retenez simplement que Microsoft est maniaque en la matière, à peu près autant qu’Apple, et qu’il est vraiment difficile de prendre l’appareil en défaut sur ce terrain. Cette minutie s’étend d’ailleurs au choix des matériaux de ce nouveau Laptop, presque entièrement drapé d’aluminium, et à leur assemblage. Tout respire le soin et l’attention aux détails, mais aussi la solidité. Nous n’avons vraiment rien à redire.

Avec 285,65 x 214,14 x 15,6 mm pour 1,22 kg, le Surface Laptop 13 est pour le reste très exactement à mi-chemin entre le Surface Laptop Go 3 et le Surface Laptop de 13,6 pouces en termes de format. À la prise en main, l’appareil nous rappelle malgré tout bien plus le Surface Laptop Go 3 et son côté « mini PC Portable », qu’il n’évoque le format de son grand frère.

L'appareil, de face. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
L'ouverture maximale du capot. © Clubic
Le Surface Laptop 13 sur un MacBook Air 13. © Clubic
Le Surface Laptop 13 à côté d'un MacBook Air 13. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Ce nouveau modèle compact s’avère d’ailleurs très réussi de ce point de vue… tout du moins pour les personnes qui seraient en recherche d’un produit encore plus facile à transporter qu’un ultraportable au gabarit disons « plus classique ». Un public étudiant, par exemple, auquel Microsoft fait ostensiblement du pied avec ce nouveau modèle.

Le problème, d’après nous, vient par contre du clavier et de ses touches, bien trop petites pour offrir une expérience de frappe confortable. A fortiori si vous avez de grandes mains. Dans ce cas, l’appareil n’est clairement pas fait pour vous. Microsoft rate le coche ici, et c’est d’autant plus frustrant que le cliquetis de ce clavier est feutré, presque reposant à écouter, et que la course des touches y est suffisamment profonde. On a toutefois beaucoup plus l’impression d’utiliser le clavier détachable d’une petite tablette (comme celui de la Surface Pro 12, auquel il emprunte d’ailleurs le positionnement de certaines touches), que celui d’un véritable PC portable. C’est dommage, et ce n’est malheureusement pas le seul défaut du Surface Laptop 13 en termes de design. Nous y reviendrons.

Le lecteur d'empreinte est logé dans la touche de mise sous tension. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic
Le clavier est trop étroit pour être réellement confortable. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Mais prenons d’abord un moment pour lister les qualités de ce petit ordinateur portable. Son trackpad est par exemple étonnamment précis et confortable, sa webcam 1080p (compatible avec la reconnaissance faciale) délivre pour sa part une qualité d’image très convenable lors d’appels vidéo, et ses haut-parleurs (en dépit d’un rendu criard passé 70 % de volume environ) accouche d’un son tout à fait convenable pour enchainer les vidéos YouTube sans brancher d’écouteurs.

Avec deux ports USB-C 3.2 prenant en charge l’alimentation et l’affichage, un port USB-A 3.1 et une prise casque Jack 3,5 mm, l’appareil s’octroie par ailleurs une sélection de ports suffisante au quotidien, ou tout du moins satisfaisante pour son format ramassé. Il accueille par ailleurs un modem dernier cri, compatible Wi-Fi 7 et Bluetooth 5.4, ce qui n’est pas nécessairement chose courante à moins de 1000 euros. Bon point, donc.

En revanche, Microsoft semble, avec sa Surface Pro 12 comme avec ce Surface Laptop 13, avoir désappris tout ce qu’il avait acquis au fil du temps sur ses autres modèles Surface en termes de réparabilité, et surtout d’évolutivité. Ici, l’accès aux composants est aussi laborieux qu’inutile, puisque toutes les pièces importantes (RAM, stockage…) sont soudées à la carte mère. Vous pourrez remplacer la batterie, mais inutile de songer à ajouter un plus grand SSD ou plus de mémoire vive.

Ici, Microsoft nous met donc à la même enseigne qu’Apple et ses MacBook… qui sont très loin d’être de bons élèves en la matière. Carton jaune.

Écran : une dalle IPS et sRGB basique, mais honnête

Si les modèles concurrents parviennent de plus en plus souvent à soigner la qualité d’affichage, y compris aux environs de 1000 euros ou moins (on pense par exemple aux Acer Aspire 14 AI, au ASUS Vivobook S14 et leurs écrans OLED, voire même au MacBook Air et son excellent écran IPS 100 % DCI-P3), le nouveau Surface Laptop 13 s’en tient pour sa part à une dalle IPS tactile 3:2 « PixelSense » de 13 pouces. Ce panneau LCD nous limite à une définition Full HD+ (1920 × 1280 pixels pour 178 PPP), mais aussi à une fréquence de rafraîchissement 60 Hz, et se contente d’une couverture de l’espace de couleurs sRGB ‹« seulement ».

À l’œil nu, cet écran fait malgré tout bonne impression. Ses coins arrondis sont élégants, ses bordures suffisamment fines et son taux d’occupation satisfaisant, lui aussi. On apprécie en outre ses angles de visions bien ouverts, au même titre que l’absence de fuites de lumière et autres défauts de rétroéclairage.

L'écran est très brillant, et plafonne à moins de 400 cd/m2. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Sous notre sonde, aidée du logiciel de mesure DisplayCal, le constat est cette fois assez nuancé. On mesure en premier lieu une luminance maximale trop juste, avec seulement 378 cd/m² au compteur, en pic de luminosité SDR. Ce sera tout juste suffisant pour assurer une bonne lisibilité dans un environnement très éclairé — d’autant que le revêtement de l’écran est très brillant.

Le contraste est par contre excellent, avec un ratio mesuré à 2027:1. Difficile d’espérer plus d’une dalle IPS. Nous sommes ici sur ce que cette technologie d’affichage peut délivrer de mieux. Sur ce point, donc, tout va bien. On déchante en revanche sur la question des deux principaux espaces colorimétriques et de leur prise en charge. Comme prévu, le spectre DCI-P3 n’est pas bien géré du tout, avec seulement 65,4 % de l’espace colorimétrique supporté. Plus embêtant, le gamut sRGB n’est pas couvert intégralement lui non plus : nous relevons seulement 92,4 % de prise en charge.

Microsoft n’a pas fait suffisamment d’effort non plus côté calibration. Si le DeltaE est excellent (mesuré à 1,8, cette valeur doit être égale ou inférieure à 3), la température des couleurs est beaucoup trop chaude par défaut (5 678 kelvins en lieu et place des 6500 kelvins idéalement attendus). La firme assure donc le service minimum avec une finesse d’affichage suffisante en 2025 et un bon contraste, mais nous fait défaut sur quasiment tout le reste. La gamme Surface méritait mieux.

Performances : le Snapdragon X Plus aux commandes, avec ses bons et ses mauvais côtés

En termes de configuration, le Surface Laptop 13 partage l’essentiel de sa fiche technique avec la petite Surface Pro 12 annoncée en même temps que lui. On y retrouve donc un processeur ARM Qualcomm Snapdragon X Plus (X1P-42-100 — 8 cœurs / 8 threads cadencés à un maximum de 3,4 GHz, 30 W de TDP max, 18 Mo de cache, gravure en 4 nm par TSMC) avec partie graphique Adreno X1-45 et NPU Hexagon à 45 TOPS. Le tout est couplé à 16 Go de mémoire vive (LPDDR5x) et à 512 Go de stockage UFS — et non SSD.

À la différence de la nouvelle tablette de Microsoft, le Surface Laptop 13 peut par contre compter sur un système de dissipation actif. Discret, certes, ce dernier permet toutefois à sa puce ARM de monter un peu plus dans les tours… pour délivrer des performances multi-core plus intéressantes.

Les performances du Surface Laptop 13 sont... limitées. © Nathan Le Gohlisse pour Clubic

Ce système de dissipation minimaliste s’en tire par ailleurs assez bien sur le plan thermique, avec un pic aux alentours de 45 degrés mesuré par notre caméra thermique au-dessus du clavier, en stress test sous Shadow of the Tomb Raider, tandis que le ventilateur tournait pour sa part faiblement : pas plus de 34 dB relevés par notre sonomètre à 40 cm de l’écran.

Côté performances, le Snapdragon X Plus en lui-même ne nous réserve plus aucune surprise. Un an tout rond après son lancement, on sait de quoi il est capable, est surtout là où il ne peut pas vraiment briller. On retrouve donc une puce à l’aise en bureautique et multimédia, capable de nous offrir une petite marge de manœuvre en IA grâce à son NPU intégré… mais globalement assez peu polyvalente en raison de sa partie GPU bien trop faible pour inquiéter les puces « M » d’Apple (même les anciennes) ou la partie graphique des dernières puces d’AMD et surtout d’Intel.

Les résultats sous Cinebench R24 // © Clubic

Mais commençons par les performances CPU. Sur Cinebench R24, le Snapdragon X Plus à 8 coeurs de notre Surface Laptop délivre 108 points en single-core contre 641 points en multi-core. Nous sommes nettement au-dessus de ce que le même processeur parvenait à délivrer sur la Surface Pro 12. On constate néanmoins qu’à gabarit plus compact, l’ASUS ProArt PZ13 arrivait à aller légèrement plus loin en multi-core. Dans l’ensemble, ces résultats sont tout de même convenables pour le Surface Laptop 13.

Comme prévu, on déchante en revanche assez vite sur le plan graphique. Sur Shadow of the Tomb Raider, qui nous sert à évaluer les performances GPU de tous les PC ultraportables testés sur Clubic, le Snapdragon X Plus et son Adreno X1-45 ne réussissent pas à dépasser les 11 FPS de moyenne. Nous étions alors en définition Full HD+, avec les réglages les plus élevés. Dans les mêmes conditions, à peu près toutes les solutions concurrentes font mieux. Y compris l’iGPU Radeon 860M d’un AMD Ryzen AI 7 350… et pourtant, ce dernier ne nous avait pas du tout impressionnés lors de notre test du dernier Vivobook S14 d’ASUS.

Le Surface Laptop 13 montre vite d'importante limites en gaming. © Clubic

L’Adreno X1-45 semble en réalité plus à l’aise sur les titres anciens ou très peu gourmands, et de préférence en 720p. Dans ce contexte, on peut raisonnablement dire que le Surface Laptop 13 voyage léger sur le plan graphique, très léger.

Est-ce un problème ? Quand même un MacBook Air M2 (2022) est capable de mieux pour un tarif inférieur au gré des promotions appliquées sur les vieux stocks encore disponibles… nous serions tentés de répondre par l’affirmative. Dans tous les cas, notre Surface Laptop 13 n’ira pas très loin en multimédia avancé et ne pourra pas se montrer très utile en utilisation créative (montage vidéo occasionnel, retouche photo…). Cela dit, ce n’était clairement pas son ambition première.

Terminons par un mot sur les vitesses de transferts permises avec les 512 Go de stockage UFS installés sur la carte mère de notre modèle de prêt. On mesure ici 3 618 Mo/s en lecture et 3 452 Mo/s en écriture. Des débits tout à fait en phase avec les performances habituelles de ce type de mémoire, mais qui restent très loin derrière ce que pourrait offrir à peu près n’importe quel SSD PCIe Gen 4.

Autonomie : petite batterie, petit PC, mais autonomie XXL ?

Pour répondre à la question, pas tout à fait. Nous héritons ici d’une batterie de 50 Wh, plutôt dans la moyenne de ce que l’on trouve habituellement sur les ultraportables de 13 à 14 pouces.

Couplée à un écran LCD IPS tout ce qu’il y a de plus classique (qui plus est limité à une définition Full HD+ seulement, et à un rafraîchissement 60 Hz), ainsi qu’à un processeur ARM à basse consommation, cette batterie nous laissait présager d’une autonomie généreuse sur le Surface Laptop 13. Ce dernier s’en tient pourtant à 10-12 heures d’utilisation sur batterie au maximum.

Notre test d’autonomie habituel (lecture de vidéos 1080p en boucle sur YouTube, via Edge, avec la luminosité de l’écran poussée à 100 %, le rétroéclairage du clavier coupé, un casque branché et les paramètres d’alimentation les plus économes en énergie), corrobore d’ailleurs cette première estimation. Dans ce cas de figure, l’appareil tient environ 11 heures et 15 minutes sur batterie avant de s’éteindre.

Correct sans plus en 2025. Pour autant, la journée de travail est possible sans chargeur, voire même la soirée Netflix qui suivra. Nous aurions aimé aller un peu plus loin, évidemment, mais ce n’est pas si mal pour un si petit produit. Son chargeur 45 W optionnel permet pour sa part de faire le plein d’énergie en 1 heure et 40 minutes de recharge environ.

Microsoft Surface Laptop 13 : l’avis de Clubic

Conclusion
Note générale
7 / 10

Moins cher, plus performant, et donc bien plus intéressant que la petite Surface Pro 12 qui l’accompagnait lors de son entrée sur le marché, le Surface Laptop 13 ne transforme pas tout à fait l’essai, mais reste malgré tout un bon produit, dont Microsoft — très rarement à l’aise sous la barre des 1000 euros — n’aura pas à rougir.

L’appareil trouve un équilibre convenable sans rien renier de l’identité Surface, parvient à délivrer une autonomie suffisante en dépit de son format réduit, et à nous offrir une bonne expérience d’utilisation globale — en dépit d’un clavier que certains trouveront sûrement trop étriqué. Nous aurions néanmoins aimé y trouver un processeur AMD ou Intel plus polyvalent, notamment sur le plan graphique, et un écran un peu plus moderne.

Reste maintenant à savoir si le public étudiant visé aura vraiment envie de dépenser autant pour ce Surface Laptop 13 que pour un MacBook Air en promotion, ou l’un des modèles concurrents (certes moins raffinés, mais plus efficaces) d’ASUS ou Acer pour ne citer qu’eux.

Les plus
  • Le format hyper compact, et les finitions « à la Surface », c’est à dire impeccables
  • Connectiques suffisantes et connectivité Wi-Fi 7
  • Autonomie convenable (10 à 12 heures)
  • Le prix, plus attractif que celui de la Surface Pro 12
Les moins
  • Snapdragon X Plus raplapla sur le plan graphique
  • Clavier diablement petit
  • Écran bien contrasté, mais peu lumineux et aux couleurs décevantes
  • Potentiel d’évolutivité nul (RAM soudée, stockage UFS…)
Sous-notes
Design
7
Écran
7
Performances
7
Autonomie
8

Concurrence : quelles alternative au Surface Laptop 13 ?

  • Un MacBook Air mieux équipé pour moins cher
  • Équilibre parfait de la puce M4 sur la puissance
  • Silence absolu, chauffe maîtrisée, redoutable confort à l’utilisation
8 / 10
  • Très beau potentiel d’évolutivité (emplacement SO-DIMM vacant, SSD M2 remplaçable…)
  • Autonomie confortable (12 heures environ)
  • Identification faciale
7 / 10
  • Un écran OLED dès 800 euros
  • Le Core Ultra 5 225V moderne et polyvalent
  • Connectiques nombreuses, bon clavier
8 / 10