Le choix du format de carte SIM, c'est du passé, enfin ! Les trois opérateurs historiques français ont commencé à livrer des cartes SIM à triple découpe, compatibles avec tous les téléphones du marché.
Jusqu'à présent lorsqu'on souscrivait une nouvelle offre de téléphonie mobile, on devait choisir un format de carte SIM. Si on avait besoin du format historique ou du format micro, on recevait dans les deux cas un même support prédécoupé aux deux formats. Mais le format nano bénéficiait d'un support distinct et dédié, en raison d'une épaisseur inférieure.
Mais des internautes se sont récemment mis à signaler à des confrères comme LowcostMobile qu'ils recevaient désormais des cartes SIM à triple découpe. C'est ce qu'un membre de la rédaction de Clubic a lui aussi constaté il y a deux semaines. Selon nos constatations, ce n'est pas encore le cas de l'opérateur virtuel Virgin Mobile, pourtant pionnier en matière de cartes SIM.
Tout porte à croire que les opérateurs historiques ont finalement recours à la MultiSIM que le fabricant Oberthur Technologies a dévoilé en novembre 2013... il y a un an ! Ou à son équivalent SIMTrio chez Gemalto.
Chutes réutilisables : changez de téléphone, pas de carte SIM
Cette carte SIM présente non seulement l'intérêt d'être prédécoupée à la fois aux formats 2FF, 3FF et 4FF, mais aussi de bénéficier de chutes réutilisables. Le possesseur d'un iPhone 5 ou ultérieur peut ainsi extraire une nano SIM du support plastique puis la repositionner s'il bascule sur un téléphone recourant à un autre format, et réciproquement. Le crédit du fabricant est d'être parvenu à concevoir un support à épaisseur variable, d'autant plus que le format nano est infiniment moins épais que les deux autres formats.
En attendant qu'Apple ne fasse disparaitre la carte SIM, les opérateurs limitent considérablement les commandes de nouvelles cartes, souvent facturées. À moins d'une perte, on ne changera dorénavant de carte SIM qu'en cas de changement d'opérateur, plus en cas de changement de téléphone.
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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