Alors que l'arrivée en bourse de Twitter doit intervenir très prochainement, une autre entreprise bénéficie malgré elle de ce phénomène. Profitant d'une confusion autour de son nom, la société Tweeter connaît ainsi un pic sur les marchés, sa cotation a même brièvement pris 1 600%.
Une introduction attendue en bourse est toujours l'occasion de voir apparaître des phénomènes pour le moins intéressants. Alors que Twitter s'approche de son arrivée sur les marchés, s'attendant à lever 1 milliard de dollars, une autre société profite, par confusion, de l'engouement généré par cet événement.
Ainsi, de nombreux investisseurs ont mis leurs billes dans une société baptisé Tweeter (nom de code TWTRQ et non TWTR). Un placement peut-être avantageux sauf que les activités de cette société n'ont rien à voir avec le service de microblogging, souligne le Wall Street Journal. Si l'erreur est humaine, même les typosquatteurs n'y avaient pas pensé.
Google Finance entretient la confusion
En effet, Tweeter (Home Entertainment Group) est un détaillant d'équipements électroniques spécialisé dans les écrans plasma, les GPS ou les Home Cinema. Une société dont la santé financière n'est pas forcément la plus robuste puisqu'elle a été placée sous le régime américain de la faillite en 2007...
À noter que certains services comme Google Finance associent les informations relatives à l'entrée en bourse de Twitter à la courbe de Tweeter. De quoi entretenir la confusion chez les plus impatients.
Toujours est-il que cet état de grâce ne devrait pas durer pour Tweeter. La valeur du titre est en train de revenir à un niveau plus raisonnable au moment où nous rédigeons ces lignes. Cet épisode est toutefois un indicateur intéressant sur l'intérêt que suscite Twitter (le vrai), chez les investisseurs.
Mêler informatique, politique et journalisme tu essaieras ! Voilà ce que m'a demandé un jour un monsieur ridé tout vert qui traînait dans un square en bas de mon immeuble. J'essaie désormais de rempli...
Mêler informatique, politique et journalisme tu essaieras ! Voilà ce que m'a demandé un jour un monsieur ridé tout vert qui traînait dans un square en bas de mon immeuble. J'essaie désormais de remplir cette mission en tant que rédacteur pour Clubic.
Je traite principalement de politique numérique tout comme de sécurité informatique et d’e-Business. Passionné de Star Wars, de Monster Hunter, d’Heroic Fantasy et de loisirs numériques, je collabore régulièrement à de multiples projets vidéo de la rédaction.
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