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Alors que Fujifilm officialisait hier un hybride haut de gamme répondant à l'E-M1, Olympus complète aujourd'hui sa gamme OM-D d'un nouveau modèle d'entrée de gamme. Un an après l'E-M5, qui a inauguré un nouveau genre d'appareils photo haut de gamme puis est descendu en gamme avec l'arrivée de l'E-M1, l'E-M10 constitue une nouvelle entrée de gamme destinée d'origine au grand public.
Le nouvel Olympus OM-D E-M10 est ainsi proposé avec un nouveau zoom plus compact et potentiellement moins qualitatif, un 14-42 mm f/3,5-5,6 rétractable et motorisé (équivalent à un 28-84 mm). Son boîtier plus petit n'est plus tout temps et son capteur se contente en outre d'une stabilisation sur 3 axes, et plus sur 5. Mais contrairement à son aîné il intègre un flash, au prix d'un viseur électronique au grossissement modeste (de 0,57x en équivalent 35 mm) et de l'absence de connecteur pour accessoires sur la griffe flash.
Tout comme le bridge Stylus 1 il bénéficie en revanche d'une connectivité Wi-Fi, permettant de le télécommander puis de transférer les clichés, et d'un écran tactile mieux défini (800 x 600 pixels soit 1,44 million de points), qui reste partiellement orientable sur l'axe vertical.
Il reprend par ailleurs le capteur Live MOS au format 4/3 de pouce de 16 millions de pixels de l'E-M5, qu'il associe au processeur TruePic VII de l'E-M1, ce qui lui permet de grimper jusqu'à 25 600 ISO, à 8 i/s en rafale et d'offrir une mise au point rapide avec le FAST AF. Le viseur de 800 x 600 pixels (1,44 million de points) est hérité de l'E-M5 mais sa réactivité aurait été améliorée.
L'Olympus OM-D E-M10 sera commercialisé en France au mois de mars 2014. Il sera vendu 800 euros avec le zoom 14-42 mm susmentionné, à comparer aux 1000 euros réclamés à ce jour pour l'E-M5 avec un zoom comparable. Il constituera donc une alternative intéressante à un reflex, même si certains préféreront un viseur optique pour le même prix, quitte à s'encombrer un peu plus.
Le nouvel Olympus OM-D E-M10 est ainsi proposé avec un nouveau zoom plus compact et potentiellement moins qualitatif, un 14-42 mm f/3,5-5,6 rétractable et motorisé (équivalent à un 28-84 mm). Son boîtier plus petit n'est plus tout temps et son capteur se contente en outre d'une stabilisation sur 3 axes, et plus sur 5. Mais contrairement à son aîné il intègre un flash, au prix d'un viseur électronique au grossissement modeste (de 0,57x en équivalent 35 mm) et de l'absence de connecteur pour accessoires sur la griffe flash.
Tout comme le bridge Stylus 1 il bénéficie en revanche d'une connectivité Wi-Fi, permettant de le télécommander puis de transférer les clichés, et d'un écran tactile mieux défini (800 x 600 pixels soit 1,44 million de points), qui reste partiellement orientable sur l'axe vertical.
Il reprend par ailleurs le capteur Live MOS au format 4/3 de pouce de 16 millions de pixels de l'E-M5, qu'il associe au processeur TruePic VII de l'E-M1, ce qui lui permet de grimper jusqu'à 25 600 ISO, à 8 i/s en rafale et d'offrir une mise au point rapide avec le FAST AF. Le viseur de 800 x 600 pixels (1,44 million de points) est hérité de l'E-M5 mais sa réactivité aurait été améliorée.
L'Olympus OM-D E-M10 sera commercialisé en France au mois de mars 2014. Il sera vendu 800 euros avec le zoom 14-42 mm susmentionné, à comparer aux 1000 euros réclamés à ce jour pour l'E-M5 avec un zoom comparable. Il constituera donc une alternative intéressante à un reflex, même si certains préféreront un viseur optique pour le même prix, quitte à s'encombrer un peu plus.