Samsung a finalement récemment lancé en France le « Slate PC », cette tablette Windows 7 grand public qu'il présentait début septembre à l'IFA. L'occasion de faire le point sur ses spécificités et de découvrir son prix.
La « Samsung Slate PC Série 7 » présente la particularité de promettre une « utilisation PC » avec le format d'une tablette.
Destinée (notamment) au grand public, elle affiche pour ce faire sensiblement la même fiche technique qu'un ultrabook, et non celle d'un netbook comme le font les Dell Latitude ST ou HP Slate 2.
La référence « 700T1A » abrite donc la plateforme Intel Huron River (architecture Sandy Bridge), incarnée par une puce basse tension Core i5-2467M, combinant un CPU double-cœur Hyper-Threading cadencé de 1,6 à 2,3 GHz et un GPU Intel HD Graphics 3000 cadencé de 350 à 1150 MHz. Celle-ci est épaulée par une confortable quantité de 4 Go de mémoire vive DDR3 à 1333 MHz et par un SSD de 64 Go.
Elle maintient malgré tout des mensurations raisonnables de 29,6 x 18,4 x 1,29 cm pour 860 g avec son écran tactile multipoint HD de 11,6 pouces et sa batterie de 5400 mAh lui conférant une autonomie non communiquée.
On retrouve par ailleurs un capteur frontal de 2 millions de pixels et un dorsal de 3 millions de pixels, un emplacement pour carte mémoire microSDHC, du Wi-Fi N, du Bluetooth 3.0 et un port USB 2.0. La station d'accueil fournie arbore un port USB 2.0 supplémentaire, une sortie mini HDMI et un port Ethernet Gigabit. Un clavier Bluetooth est également founi, en plus du stylet destiné à une utilisation nomade.
La « Samsung Slate PC Série 7 » est fournie avec Windows 7 Edition Familiale Premium 64 bits. Sa prise en charge de Windows 8 ne fait aucun doute puisque c'est précisément sur cette machine que le futur système d'exploitation de Microsoft a été présenté. Elle est quoi qu'il en soit commercialisée dès à présent au prix public de 1000 euros, soit le prix d'un ultrabook similaire.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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