Lors du salon du Computex qui se déroulera du 1er au 5 juin, la firme Opera Software lèvera le voile sur une nouvelle version de son navigateur spécialement conçue pour les tablettes et liseuses de livres électroniques.
Mercredi dernier, Google annonçait vouloir distribuer en open source, le codec VP8, initialement édité par la société On2 Technologies. Couplé au codec audio Ogg Vorbis, le conteneur WebM se révèlerait être alors un format de qualité et libre de droits. Pourtant les choses ne se révèleraient pas aussi simples. En effet, le magazine AllThingsD rapporte que Larry Horn, PDG du groupe MPEG LA est en train de préparer un dossier de dépôt de plainte. Selon lui VP8 serait assujetti à des droits de propriété intellectuelle.
Alors que Google vient d'annoncer l'ouverture prochaine d'une galerie d'applications web et de jeux en ligne, la fondation Mozilla semble vouloir proposer sa propre solution. A l'image de Chrome Web Store, qui se présentera sous la forme d'une page d'accueil par défaut, Mozilla explique : « les développeurs web montrent un intérêt pour un modèle de boutique pour le web leur permettant d'être payés pour leurs travaux ».
Depuis que le choix du navigateur Internet est instauré à l'achat d'un nouveau poste (ballot screen), Opera Software recense un triplement du nombre quotidien de téléchargements de ses navigateurs en Europe. Malgré une marge de croissance qui ne peut être qu'importante, Opera se ferait un chemin sur la pointe des ballerines.
Après que Google a annoncé hier avoir publié en open source le codec vidéo VP8, initialement développé par On2 technologies, de nouvelles interrogations émergèrent sur l'adoption de ce dernier. Mixé au codec audio Ogg Vorbis, ce nouveau conteneur baptisé WebM, pourrait s'avérer comme un véritable standard pour la diffusion de vidéo sur Internet.
crédits : AndroidGuysDécidément, les actualités annoncées lors de la conférences I/O sont plutôt riches. Après DataViz et Paypal, c'est au tour de la fondation Mozilla de dévoiler le fruit de ses efforts pour le système Android.
Lors de la conférence Google I/O, Sundar Pichai, chef produit de Google Chrome, annonce le lancement de Chrome Web Store, un répertoire censé faciliter la découverte de nouveaux services Internet. Chrome Web Store se présentera sous la forme d'une nouvelle page par défaut au sein du navigateur Google Chrome. La firme de Mountain View devrait en profiter pour promouvoir certains services hébergés mais également des jeux.
L'Electronic Frontier Foundation (EFF), l'organisation internationale chargée de défendre la vie privée et la liberté d'expression des internautes, vient de publier un rapport mettant en évidence la singularité des configurations des navigateurs Internet. En effet, dans 83.6% des cas, un navigateur peut-être traçable, à la manière d'une adresse IP.
Alors que la version 5.x du navigateur Chrome est toujours en cours de développement, Google annonce sur l'un de ses blogs la disponibilité au téléchargement du logiciel Chromium en version 6.0. Rappelons que Chromium est le projet open source associé à Chrome au sein duquel les nouvelles fonctionnalités sont premièrement implémentées.
Aujourd'hui, la plupart des navigateurs embarquent peu à peu les spécificités du HTML5 recommandées par le consortium du W3C. Parmi ces dernières, la balise est sans doute la plus connue. Cette nouveauté devrait permettre aux développeurs d'insérer un clip au sein d'une page web sans reposer sur une technologie propriétaire faisant appel à un plugin tel que Adobe Flash Player ou Microsoft Silverlight. Cependant les différents éditeurs restent divisés sur le format à adopter (Theora vs H.264). Pour Firefox, Mozilla a choisi le codec libre Theora mais une version en préparation entend bien y implémenter la prise en charge de H.264.
Sur son blog personnel Mike Beltzner, directeur du développement de Firefox chez Mozilla, présente un aperçu de la prochaine mouture majeure du navigateur. Pour Firefox 4.0 trois objectifs ont été fixés : un surf toujours plus rapide, une prise en charge plus poussée des standards et de meilleures fonctionnalités offertes aux internautes.
Le navigateur d'Apple est touché par une vulnérabilité de type 0-day. La firme Secunia informe sur son site de la vulnérabilité découverte par ses services. Même l'une des versions les plus récentes du navigateur, la 4.0.5, est touchée par cette faille jugée critique.
Pas la peine de sauter sur un moteur de recherche pour chercher une version testable du futur navigateur de Microsoft : la deuxième pré-version d'Internet Explorer 9 est disponible ici. Pour l'instant, ce n'est ni plus ni moins qu'une fenêtre remplie de liens vers des tests avec un menu de signalement des bugs. Pas d'interface livrée, mais l'intérêt pour les développeurs est surtout d'en savoir un peu plus sur le moteur du futur Internet Explorer.
Hier soir, sur l'un de ses blogs officiels, Google a annoncé une nouvelle bêta pour son navigateur Chrome. Une fois de plus ce sont principalement les performances du logiciel qui ont été optimisées et plus particulièrement le moteur JavaScript V8.
Chacun prendra l'information à sa guise : soit Internet Explorer vient de passer sous la barre des 60% de parts de marché dans le monde, soit 60% des internautes sur Terre utilisent encore Internet Explorer, qui tient donc toujours la dragée haute à une concurrence accrue.
La semaine dernière, la polémique entre Apple et Adobe au sujet du lecteur Flash a repris de plus belle après que Steve Jobs lui-même s'est exprimé dans un communiqué de presse. Le patron d'Apple a en effet vivement critiqué la technologie d'Adobe pour promouvoir les standards ouverts que sont le HTML5, le CSS et le JavaScript. De son côté Adobe estime que le plugin Flash, s'il n'est pas « open source » reste cependant bel et bien ouvert puisqu'il est disponible sur de multiples plateformes et peut être affiché sur une multitude de dispositifs. Il s'agirait alors d'un avantage considérable pour le développeur qui n'aurait pas à jongler entre différents systèmes d'exploitation pour une même application.
La lettre ouverte de Steve Jobs a indéniablement suscité de nombreuses réactions. Dans un billet du blog officiel d'Adobe, Kevin Lynch a complété la semaine dernière la réponse de Shantanu Narayen. Si le PDG d'Adobe avait plutôt répondu aux attaques du PDG d'Apple, le directeur technique d'Adobe a quant à lui mis l'accent sur ce qui se préparait. Son billet s'intitule d'ailleurs : « Aller de l'avant ».
Round 3 ! La lettre ouverte de Steeve Jobs a relancé hier l'éternel débat de la vidéo sur Internet et Microsoft veut à son tour sa part du gâteau. « Il y a eu de nombreuses réactions concernant la vidéo et les formats de vidéo du Web récemment, » peut-on ainsi lire en introduction d'un billet du blog officiel d'Internet Explorer. Doux euphémisme. « C'est une bonne opportunité pour parler du point de vue de Microsoft, » ajoute-t-on.
Début avril, le PDG de Skyfire Jeff Glueck annonçait l'abandon - temporaire - du développement du navigateur sur Blackberry, pour se concentrer sur Android.
Depuis hier, la version Android du navigateur Web Firefox, plus connue sous le nom de Fennec, est disponible en téléchargement dans sa version pre-alpha.
L'éditeur norvégien Opera vient de publier une version desktop de son navigateur mobile, pour que les développeurs web puissent tester le rendu de leurs pages ou créer des widgets. Opera Mobile peut être téléchargé pour Windows, Mac OS et Linux, et affiche les pages telles qu'elles apparaîtront sur un téléphone équipé du navigateur.
La fondation Mozilla a mis en ligne mardi la première mouture bêta du futur Firefox 3.6.4. Principale nouveauté : l'intégration en standard de Lorentz, un outil qui permet d'assurer le bon fonctionnement du navigateur lorsqu'un composant logiciel tiers installé sous la forme d'un plugin vient à planter. Cette fonctionnalité n'est pour l'instant prise en charge que sous Windows et Linux.
Une version du navigateur Google Chrome, disponible pour les développeurs, souhaite apporter un changement symbolique dans la façon dont nous envisageons Internet chaque jour. Puisque le http:// signifie ni plus ni moins qu'une adresse web va suivre, et puisqu'ils considèrent que tout le monde est peu ou prou au courant, les développeurs de Google ont décidé de le cacher.
Disponible sur l'App Store depuis le 13 avril, Opera Mini pour iPhone démarre sur les chapeaux de roue. L'application a effectivement été téléchargée plus d'un million de fois le jour de son lancement. Elle occupait ce matin la première place du classement des applications gratuites dans le monde entier, comme le montrait alors le classement officiel, que l'éditeur s'est empressé de relayer.
La récente validation d'Opera Mini pour iPhone par Apple donne visiblement quelques idées à certains autres navigateurs, qui se verraient bien eux aussi en haut de l'affiche, ou plutôt de l'App Store.
Le 23 mars dernier, la société norvégienne Opera Software annonçait la soumission à l'App Store d'une version d'Opera Mini pour iPhone. Trois semaines plus tard, Apple vient d'approuver le navigateur, qui est désormais disponible sur la plateforme de téléchargement iTunes.
La société norvégienne Opera Software, qui communique généralement sur ses statistiques mensuelles pour Opera Mini, annonce cette fois un chiffre global pour l'ensemble de ses utilisateurs. Aujourd'hui, le navigateur mobile Opera Mini regrouperait 50 millions de mobinautes. La version du logiciel pour les systèmes Windows, Mac OS X et Linux enregistrerait également 50 millions d'internautes au total.
Le site de Mozilla propose depuis quelques jours de télécharger la bêta de la nouvelle mouture de Firefox, dont l'évolution majeure est de protéger contre les crashs de plugins. Il s'agit de la seconde pre-release basée sur la version 1.9.3 du moteur de rendu Gecko, destinée à stabiliser le navigateur.
Dans un message publié sur le fil de discussion officiel de l'équipe de développement du moteur Webkit, Anders Carisson et Sam Weinig, développeurs chez Apple, annoncent la disponibilité prochaine de Webkit2. WebKit ? C'est le moteur de rendu embarqué au sein de certains navigateurs parmi lesquels nous retrouvons Safari, Google Chrome, iCab ou encore Omniweb. Initialement, Webkit découle des projets KHTML et KJS (KDE JavaScript Engine) de l'équipe de chargée du développement de l'environnement de bureau KDE pour GNU/Linux. En 2002 Apple a repris une partie de ce code d'abord pour son moteur de recherche Sherlock puis pour Safari.