En plus du 5D Mark III, Canon annonce également aujourd'hui le renouvellement de ses multifonctions haut de gamme, comme tous les ans, après avoir récemment renouvelé l'entrée de gamme.
Pixma MX895
La « Canon Pixma MX895 » succède effectivement à la MX885 lancée il y a un tout petit peu plus d'un an. La nouvelle venue suit la même tendance que l'entrée de gamme en accueillant tout particulièrement des fonctionnalités connectées.
Si sa devancière disposait déjà d'une connectivité Wi-Fi N et Ethernet, celle-ci ne servait qu'à couper le cordon avec l'ordinateur. Elle permet dorénavant d'imprimer depuis un smartphone ou une tablette Android ou iOS au travers de l'application « Easy Photo-Print », et depuis des appareils prenant en charge les protocoles propriétaires Apple AirPlay et Google Cloud Print.
Son écran LCD de 3 pouces (7,6 cm) permet quant à lui d'imprimer du contenu hébergé en ligne, en toute autonomie et sans aucun autre appareil, tel que des photos stockées sur Picasa ou des modèles de calendriers, d'enveloppes, de papiers à en-tête, etc., depuis Web Template Print.
En pratique, la « Pixma MX895 » imprime d'une part jusqu'en 9600 ppp et jusqu'à 12,5 ipm en monochrome ou 9,3 ipm en couleur (norme ISO), et numérise d'autre part jusqu'en 2400 ppp et jusqu'à 35 pages avec son chargeur, vers un ordinateur ou directement sur un support de stockage USB. Elle copie en 14 secondes (norme ISO à nouveau).
Pixma MX715
Variante de gamme immédiatement inférieure, la « Canon Pixma MX715 » inaugure un nouveau palier. Elle ne se distingue de la MX895 que par son écran de 2,5 pouces (6,2 cm) et par l'absence de la panoplie de fonctions connectées Pixma Cloud Link susmentionnée. Elle offre en revanche strictement les mêmes caractéristiques en impression et en numérisation.
Les multifonctions « Canon Pixma MX895 » et « MX715 » seront lancées en France courant avril pour 200 et 180 euros.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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