Le Kindle est mort, vive le Kindle ! Amazon a aujourd'hui annoncé puis lancé la précommande du nouveau Kindle. Voilà qui explique que le produit le mieux vendu d'Amazon ait pu se retrouver en rupture de stock. Le nouveau lecteur de livre électronique offre notamment un contraste amélioré, un encombrement et un poids réduits ainsi que de meilleures performances.
Le nouveau produit phare bénéficie naturellement d'une variante du nouvel écran à encre électronique du récent modèle haut de gamme, offrant un contraste amélioré de 50 % par rapport au précédent modèle et à la concurrence, et un temps de réponse accéléré de 20 %. Ce type d'écran imitant le papier présente pour rappel l'intérêt d'être parfaitement lisible en plein soleil et de ne consommer d'énergie qu'au changement de page. Il est en contrepartie monochrome et son temps de réponse ne permet pas d'afficher d'animation.
Avec des mensurations de 12,2 x 19 cm, contre 13,5 x 20,3 cm pour son prédécesseur, le nouveau Kindle est plus compact de 21 %, bien qu'il dispose toujours d'un écran de 6 pouces de diagonale (15 cm). Amazon a pour ce faire aminci les bordures et réorganisé le clavier physique. Son épaisseur de seulement 8,5 mm reste quant à elle identique, mais son poids baisse de 17 % à 240 g.
Sur le plan fonctionnel le nouveau Kindle embarque en outre un lecteur de PDF encore amélioré, tirant parti du dictionnaire intégré et des fonctions de prise de note et de surlignage, jusqu'à présent réservées aux livres électroniques. Il bénéficie enfin d'un nouveau navigateur Web reposant sur WebKit, le même moteur de rendu que Chrome ou Safari, fonctionnant à proximité d'un point d'accès Wi-Fi. De quoi élargir l'horizon du lecteur de livre électronique.
Le nouvel Amazon Kindle est donc dès à présent en précommande au prix inchangé de 190 dollars. Ce prix comprend l'accès 3G qui permet d'acheter et de télécharger des livres depuis 100 pays. Amazon profite enfin du lancement de ce Kindle 3 pour lancer une variante uniquement Wi-Fi, facturée 140 dollars en réponse à son rival américain.
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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