Nvidia poursuit l'extension par le bas de sa dernière génération de cartes graphiques en lançant aujourd'hui la « GeForce GTX 550 Ti ». Cette nouvelle représentante de l'architecture Fermi promet de combiner performance et tarif abordable.
La firme au caméléon joue cette fois à fond la carte de la transparence en situant les performances de sa carte d'entrée de jeu. Elle indique effectivement que la « GTX 550 Ti » permet de profiter des jeux DirectX 11 jusqu'en 1680 x 1050 pixels, mais pas au-delà, et qu'elle est la façon la plus abordable de jouer au très attendu Crysis 2.
La « GeForce GTX 550 Ti » s'articule pour ce faire autour d'un nouveau GPU GF116 cadencé à 900 MHz (contre 783 MHz pour la GTS 450), abritant 192 unités de calcul fonctionnant à 1800 MHz (contre 1566 MHz), le tout épaulé par 1 Go de mémoire GDDR5 fonctionnant à 2050 MHz (contre 1804 MHz) sur un bus d'une largeur de 192 bits (contre 128 bits).
La carte de référence est identique à sa devancière d'aspect extérieur : on retrouve un circuit imprimé de 210 mm de long, recouvert par la même système de refroidissement occupant deux emplacements. Deux sorties DVI et une sortie mini HDMI 1.4 en constituent enfin la connectique.
La « Nvidia GeForce GTX 550 Ti » est disponible dès à présent au prix public conseillé de 139 euros.
De multiples partenaires ont d'ores et déjà annoncé leurs variantes plus ou moins personnalisées :
Asus pousse le GPU à 1015 MHz en dépit d'un système de refroidissement de petite taille
Club 3D fait dans l'anecdotique avec une puce overclockée de seulement 20 MHz
Gainward propose un modèle proche de celui de référence à tous points de vue, et un autre modèle cadencé à 1000 MHz
Gigabyte overclocke quant à lui le GPU à 970 MHz, tout en offrant un bon potentiel avec un ventilateur de 10 cm de diamètre
PNY ne prend même pas la peine de communiquer les spécifications de son modèle
Sparkle se contente lui aussi des spécifications de référence mais coiffe sa carte d'un système de refroidissement efficace
Zotac propose enfin deux modèles, l'un offrant un compromis à 1000 MHz et une sortie DisplayPort supplémentaire
Romain Heuillard
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma no...
C'est vers l'âge de 12 ans, lorsque j'ai reçu mon premier ordinateur (un Pentium 100), que j'ai décidé d'abandonner ma prometteuse carrière de constructeur de Lego pour me consacrer pleinement à ma nouvelle passion pour l'informatique.
Depuis je me suis aussi passionné pour l'imagerie en général et pour la photo en particulier, mais je reste fan de sujets aussi obscurs que les procédés de fabrication de composants électroniques ou les microarchitectures de processeurs, que l'infiniment grand et l'infiniment petit.
Je suis enfin foncièrement anti-DRM et pro-standards ouverts.
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