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Selon TNS Media, la publicité sur téléphones mobiles français aurait atteint 2,4 millions d'euros bruts sur les quatre premiers mois de l'année.
Petit écran, petits revenus. Selon une étude menée par l'institut TNS Media en collaboration avec la Mobile Market Association, la publicité sur téléphones mobiles français aurait atteint 2,4 millions d'euros bruts sur les quatre premiers mois de l'année.
Encore balbutiant si on le compare à la publicité sur le web ou dans les autres médias, ce marché se ventile entre le wap (58%), le SMS (33%) et le MMS (9%). Avec plus de 400.000 euros dépensés, c'est qui est le premier annonceur, précédant NewsTech, CellCast, Utel ou encore Moustik.
Incomplète puisqu'elle ne consolide pas les données d'opérateurs majeurs comme SFR ou Bouygues Telecom, cette étude a surtout pour ambition de marquer l'acte de naissance de la publicité sur les téléphones mobiles.
La montée en puissance de l'internet mobile n'a d'ailleurs pas non plus échappé à des grands noms du web comme Google qui teste en toute discrétion sur le marché japonais l'insertion de liens sponsorisés et autres "click to call" sur les pages web accessibles depuis un téléphone mobile.
Petit écran, petits revenus. Selon une étude menée par l'institut TNS Media en collaboration avec la Mobile Market Association, la publicité sur téléphones mobiles français aurait atteint 2,4 millions d'euros bruts sur les quatre premiers mois de l'année.
Encore balbutiant si on le compare à la publicité sur le web ou dans les autres médias, ce marché se ventile entre le wap (58%), le SMS (33%) et le MMS (9%). Avec plus de 400.000 euros dépensés, c'est qui est le premier annonceur, précédant NewsTech, CellCast, Utel ou encore Moustik.
Incomplète puisqu'elle ne consolide pas les données d'opérateurs majeurs comme SFR ou Bouygues Telecom, cette étude a surtout pour ambition de marquer l'acte de naissance de la publicité sur les téléphones mobiles.
La montée en puissance de l'internet mobile n'a d'ailleurs pas non plus échappé à des grands noms du web comme Google qui teste en toute discrétion sur le marché japonais l'insertion de liens sponsorisés et autres "click to call" sur les pages web accessibles depuis un téléphone mobile.
